Cette découverte du laboratoire du Dr Henri Joseph va faire bouger les lignes dans la lutte contre le covid-19. C’est tout simplement énorme.
C’est lors du grand forum citoyen organisé par la Région-Guadeloupe, consacré justement à la santé, que le Dr Henri Joseph, a fait cette révélation. Son laboratoire Phytobokaz, connu pour sa capacité à valoriser la pharmacopée locale, a fait une découverte retentissante pour faire barrière au covid-19.
Dans un entretien accordé à Mario Moradel, le président d’ECLAIR FMTV, le Dr Henri Joseph a confirmé cette information. « Nous avons découvert dans une des plantes de notre pharmacopée, des molécules qui sont capables d’inhiber, la réplication de tous les virus Arn. C’est-à-dire, le covid, mais aussi la dengue, la grippe et le chikungunya » a-t-il déclaré.
Entre mars et juin prochains, chaque Belge à qui on n’aura pas encore inoculé ses doses de vaccin recevra une lettre de trois pages l’invitant à se faire vacciner contre le coronavirus. Cette lettre contiendra un code personnel de 33 caractères, rapporte le Belang van Limburg.
« Enormément de travail préalable a été réalisé pour cette lettre. Il me paraît difficile de la rendre encore plus simple« , commente Dirk Ramaekers, président de la taskforce vaccination.
Deux semaines avant leur vaccination programmée, chaque Belge devrait recevoir une invitation sous trois formes différentes: par lettre donc, mais également par courriel et par sms. Les autorités obtiendront ces informations auprès des mutuelles, et ces convocations seront gérées par l’Aviq en Wallonie et par Iriscare en région bruxelloise.
S’enregistrer avant sa venue
La procédure est encore en cours de finalisation, mais cette lettre d’invitation contiendra trois pages. La première se présentera sous la forme d’un ticket électronique avec un code barres et un code QR (quick response), ainsi qu’un lien vers un site où l’on pourra s’enregistrer.: voir www.jemevaccine.be . Il faudra également emporter cette page lors de la visite auprès du centre de vaccination.
La deuxième page spécifiera le créneau horaire auquel chaque personne est attendue dans son centre de vaccination, et ce aussi bien pour la première que la seconde injection.
La dernière page contient, elle, des informations pratiques sur la vaccination en elle-même.
Il est important que chaque personne recevant cette invitation s’enregistre préalablement afin de confirmer sa venue afin de permettre aux centres de vaccination de se préparer au mieux et d’anticiper ainsi le nombre de personnes attendues chaque jour.
Un vent de liberté souffle sur le Bade-Wurtemberg. Depuis le 11 février, et malgré le confinement partiel qui règne en Allemagne, plusieurs villes et arrondissements de ce Land frontalier de la France ne sont plus soumis au régime du couvre-feu, en vigueur partout ailleurs, rapporte notamment France 3 Grand Est. Les communes concernées peuvent remercier une habitante de Tübingen, dans le centre de la région, qui avait contesté cette restriction devant la justice et a obtenu gain de cause.
Cette Allemande anonyme avait en effet saisi en urgence le tribunal administratif de Mannheim pour faire cesser cette mesure qu’elle jugeait inutile. La justice lui a finalement donné raison, estimant qu’un couvre-feu ne se justifiait plus au regard de la situation sanitaire. Les magistrats ont notamment fait valoir le taux d’incidence du Bade-Wurtemberg, qui est passé de 200 nouveaux cas pour 100 000 habitants au moment de Noël à 59 mardi 9 février, détaillent Les Dernières Nouvelles d’Alsace. Ils ont donc décidé qu’un couvre-feu généralisé ne se justifiait pas et qu’il contrevenait même à la liberté fondamentale de circuler.
Un couvre-feu rétabli localement en cas de besoin
Ainsi, 18 villes et arrondissements du Bade-Wurtemberg sur 44 sont concernés par cette levée du couvre-feu nocturne. Parmi eux, trois arrondissements frontaliers de la France (Rastatt, Emmendingen, Fribourg-Forêt-Noire) et trois villes voisines (Karlsruhe, Baden-Baden et Fribourg). En revanche, dès qu’une de ces collectivités locales verra son taux d’incidence dépasser la limite des 50 cas positifs pour 100 000 habitants, elle devra rétablir localement le couvre-feu, précise France 3.
- L’Institut Pasteur de Lille avait annoncé, en octobre, avoir peut-être trouvé un médicament anti-Covid.
- Restait à effectuer les essais cliniques pour lever les incertitudes car ce médicament avait déjà une autorisation de mise sur le marché dans une autre indication.
- Un comité du ministère de la Santé a décidé, mardi, de refuser la demande d’accélération des essais cliniques pour cette molécule prometteuse.
Un blocage incompréhensible. En octobre, l’Institut Pasteur de Lille (IPL) annonçait avoir peut-être trouvé un médicament anti-Covid. Restait à effectuer les essais cliniques pour lever les dernières incertitudes. Or, un comité du ministère de la Santé a décidé, mardi, de ralentir considérablement le processus d’homologation de ce médicament contre le Covid, comme le révèle La Voix du Nord. Pourquoi ?
« Visiblement, ce comité ne comprend pas ce qu’est un repositionnement », regrette, dans le quotidien régional, Terence Beghyn, président d’Apteeus, une start-up qui collabore avec Pasteur sur ce projet. Ce comité, c’est le Capnet, comité de pilotage national des essais thérapeutiques, une instance chargée de prioriser la recherche clinique autour du Covid-19.
Molécule prometteuse
Et le Capnet vient de refuser d’accélérer les essais cliniques mis en place par Pasteur dès le mois d’octobre. A l’époque, l’Institut estimait qu’une molécule était prometteuse dans la lutte contre le coronavirus. Il s’agissait d’un vieil anti-infectieux qui avait montré son efficacité lors des différents tests in vitro « pour inhiber la réplication du virus », mentionne Pasteur dans un communiqué.
C’est une affaire qui secoue la classe politique allemande. Une enquête du journal allemand Die Welt révèle comment le Ministre de l’intérieur a utilisé dans sa communication sur le Covid des messages et des chiffres alarmistes, afin de faire peur et fabriquer un soutien aux mesures de confinement.