
ROME – Le Vatican prend très au sérieux la position pro-vaccin du pape François: tout employé du Vatican qui refuse de se faire vacciner contre le coronavirus sans raison médicale valable risque d’être licencié.
Un décret du 8 février signé par le gouverneur de la cité-État du Vatican stipule que les employés qui se retirent de la vaccination sans raison médicale prouvée pourraient être passibles d’une sanction jusqu’à l’interruption de la relation d’emploi.
La directive a cité la nécessité de protéger les employés du Vatican sur le lieu de travail, ainsi que les lignes directrices émises par la commission consultative COVID-19 de François, selon laquelle les individus ont la responsabilité morale de se faire vacciner « étant donné que refuser un vaccin peut constituer un risque pour les autres ».
Le décret a suscité de vifs débats jeudi, ses dispositions vont bien au-delà du caractère généralement volontaire des vaccinations COVID-19 en Italie et dans une grande partie du reste du monde. Le Vatican est une monarchie absolue au cœur de Rome qui fonctionne indépendamment du droit italien et des protections du travail italien.
Le gouvernement d’Irlande du Nord a décidé jeudi de prolonger les mesures de confinement jusqu’au 1er avril. Certains assouplissements entreront néanmoins en vigueur le 8 mars.
Pour le moment le chômage partiel a coûté plus de 30 milliards d’euros à notre pays et se pose comme prévu la question de l’arrêt des aides, des perfusions et du « quoi qu’il en coûte » car notre pays n’a pas les moyens d’un quoi qu’il en coûte durable.
Pourquoi ?
Parce que nous n’avons pas notre souveraineté monétaire, et si nous l’avions, cela ne serait pas facile pour autant, puisque notre taux de change subirait les conséquence de nos politiques monétaires. Mais c’est un autre débat.
« Le gouvernement cherche à réduire la facture : les salariés pourraient ne plus être payés 84 mais seulement 72 % de leur salaire net.
Comment sortir du quoi qu’il en coûte ? C’est tout le dilemme du gouvernement. Après plusieurs reports dus à la situation sanitaire, un premier signal était censé être envoyé le 1er mars, l’exécutif ayant prévu de durcir les règles du chômage partiel classique.
Mais comme l’a confirmé Elisabeth Borne sur BFM Business ce mardi, il n’en sera rien, en tout cas pour encore un mois supplémentaire.
Reste que la perspective d’un débranchage progressif est clairement actée. Actuellement, la règle générale est que le salarié est indemnisé à hauteur de 70 % de son salaire brut (84 % net) avec un reste en charge de 15 % pour les entreprises. A l’avenir, le reste à charge passera à 40 % (avec une indemnisation du salarié baissant à 60 %)« .
L’arrêt de ces aides va pousser les entreprises les plus fragiles à licencier pour de bon ce qui va faire augmenter le nombre de chômeurs fortement, dès que le débranchement sera effectif.

Les grandes plateformes technologiques telles que Google, Amazon, Apple et les sites de réseautage social tels que Facebook, Twitter et d’autres devront désormais faire attention à censurer les opinions alors que la Pologne prend des mesures pour leur couper les ailes.
La Pologne va faire progresser une nouvelle législation pour amender les plates-formes Big Tech jusqu’à 13,5 millions de dollars par cas qui censurent les utilisateurs ou suppriment des postes pour des raisons idéologiques.
« La Pologne a passé 45 ans sous le communisme, dit le vice-ministre de la Justice, elle nous a appris la valeur de la liberté d’expression ».
Il a noté que le pays ne tolérera pas la censure big tech basée sur des idéologies.
Les grandes entreprises technologiques ont fait l’objet d’un examen minutieux et de critiques en raison de leur rôle dans la censure des plateformes et des personnalités conservatrices ces derniers temps.
Leur pouvoir de censure s’est rapidement fait jour après la suspension définitive de l’ancien président américain Donald Trump après les émeutes du Capitole le 6 janvier.
Tribune : Il m’aura fallu attendre jusqu’à la semaine dernière que l’Assurance maladie daigne mettre en ligne ses données mensuelles de nombres de boites délivrées, bases de remboursement et montants remboursés pour les médicaments sur la totalité de l’année 2020 [1], pour que je puisse enfin actualiser ce que je rapportais avec effroi dans ma chronique N°33 « Combien de morts sur ordonnances dans les EHPADs ou à domicile avec le Rivotril®, à cause du covid et des refus d’hospitaliser ? »
[1] Vous trouverez les données MEDIC’AM mensuelles 2020 au bas de la page ici. Pour réaliser les graphiques que je vais vous présenter, il vous faudra aussi récupérer les données mensuelles depuis janvier 2015 (cliquer en haut de page sur « Medic’AM 2015 » voir la première capture d’écran ci-dessous, puis pour télécharger les fichiers, ceux-ci se trouve en bas de page, voir la seconde capture d’écran ci-dessous), les importer dans une base de données relationnelle (personnellement, j’utilise Microsoft Access), créer les tables et les requêtes. Exporter le résultat de ces requêtes dans un tableur (Microsoft Excel en ce qui me concerne)

Depuis quelques semaines, contrôles et amendes se multiplient pour lutter contre le « non-respect du couvre-feu ». Le dispositif légal est pourtant fragile.
« On essaie, quand on invite des amis, de ne pas être plus de six à table. » En octobre dernier, à la veille du premier couvre-feu, Emmanuel Macron faisait part de cette recommandation aux Français dans le but de limiter la propagation de l’épidémie de coronavirus. Un deuxième confinement et un nouveau couvre-feu avancé à 18 heures plus tard, l’injonction reste toujours valable. Mais au contraire du Royaume-Uni, qui a formellement interdit les rassemblements à plus de six en septembre, la France, elle, a dû se contenter de le recommander, ne pouvant pas l’imposer par voie légale, même à travers la loi sur l’état d’urgence sanitaire.
En France, il est en effet impossible de porter atteinte au domicile, dont on dit qu’il est « inviolable et sacré ». « Le domicile est considéré comme la quintessence de la vie privée », rappelle Julia Courvoisier, avocate pénaliste au barreau de Paris. Aucune loi ne permet donc de limiter le nombre d’invités chez soi. Jeudi 4 février dernier, lors d’une conférence de presse, le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin annonçait pourtant le démantèlement de 190 « rassemblements festifs », assurant dans le même temps que les contrôles allaient « s’intensifier » dans les semaines à venir.
« Risque de mort immédiat »
« Le ministre de l’Intérieur, qui fait des conseils en matière de politique pénale, a donc demandé aux procureurs de la République de charger les policiers d’accroître les verbalisations pour non-respect du couvre-feu », explique Me Courvoisier. Sans motif valable et en cas de contrôle à l’extérieur entre 18 heures et 6 heures, l’amende est donc de 135 euros. Mais qu’en est-il des soirées privées à domicile, alors que la loi interdit formellement aux forces de l’ordre de pénétrer chez un particulier ? Depuis l’entrée en vigueur du couvre-feu le 15 décembre dernier, les forces de l’ordre ont le plus souvent recours à des verbalisations pour tapage nocturne ou mise en danger d’autrui, deux infractions qui ne sont pourtant pas toujours justifiées.
Jusqu’à 90 volontaires sains âgés de 18 à 30 ans seront contaminés dans un environnement sécurisé
Une étude qui exposera des volontaires au coronavirus, présentée comme la première mondiale du genre, doit commencer au Royaume-Uni dans les prochaines semaines, a annoncé mercredi 17 février le gouvernement, après approbation de cet essai clinique par les autorités chargées d’en vérifier l’éthique.
L’étude consistera à injecter une faible dose de coronavirus à jusqu’à 90 volontaires sains âgés de 18 à 30 ans dans un environnement sécurisé, a indiqué le gouvernement dans un communiqué.
L’essai tentera d’évaluer la plus petite quantité de virus nécessaire pour provoquer une infection, dans le but de développer des vaccins et des traitements contre la maladie.
« Bien qu’il y ait eu des progrès très positifs dans le développement de vaccins, nous voulons trouver les meilleurs vaccins et les vaccins les plus efficaces pour une utilisation à plus long terme », a déclaré le ministre chargé des Entreprises, Kwasi Kwarteng.
118.000 décès au Royaume-Uni
Il a expliqué que l’étude « aiderait à accélérer les connaissances des scientifiques sur la façon dont le coronavirus affecte les gens et pourrait favoriser le développement rapide de vaccins ».
La Commission européenne a annoncé mercredi un accord avec Moderna pour la fourniture de 150 millions de doses supplémentaires de son vaccin contre le COVID-19 en 2021, soit un quasi-doublement des volumes convenus précédemment avec l’entreprise biotechnologique américaine.
Dans le cadre de cet accord, dont Reuters avait fait état dès lundi, l’UE dispose d’une option sur 150 millions de doses supplémentaires en 2022. Soit, un total de 300 millions.
L’UE avait déjà passé commande de 160 millions de doses pour cette année. Les livraisons ont commencé en janvier avec l’objectif d’atteindre 10 millions de doses livrées d’ici fin mars. Des retards ont toutefois été enregistrés jusqu’à présent.
Avec cette nouvelle commande, qui a été confirmée par Moderna, l’UE recevra au total 2,6 milliards de doses de vaccins contre le COVID-19 auprès des différents laboratoires, a déclaré la Commission européenne.
L’UE s’est fixée pour objectif de vacciner d’ici la fin de l’été 70% des adultes qui composent sa population de 450 millions d’habitants.
« Cela nous rapproche de notre principal objectif: garantir que tous les Européens ont accès à des vaccins sûrs et efficaces le plus rapidement possible », s’est félicité la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen.