par M.K. Scarlett
Selon Valeurs actuelles, une étude, publiée le 5 janvier dernier, signée par un grand épidémiologiste de Stanford, établit que le confinement n’est pas d’une plus grande utilité que les gestes barrières.
Alors que le conseil de défense sanitaire s’est réuni ce vendredi pour décider et annoncer dans la foulée des restrictions sanitaires plus strictes, une étude publiée par la revue scientifique European journal of clinical investigation critique sévèrement l’impact du confinement.
Le confinement aurait-il aggravé la situation sanitaire ?
L’étude menée par John Ioannidis, un des plus grands experts en épidémiologie au monde et l’un des scientifiques les plus cités dans le monde, dit en substance la même chose que le Professeur Raoult dans son interview donnée à Sud Radio.
Cette étude souligne que le confinement et la fermeture des lieux culturels, bars et restaurants n’a été d’aucune utilité. Il n’aurait pas eu d’impacts sur le nombre de cas de contaminations et c’est même tout l’inverse. L’effet escompté par le confinement n’est pas là, comme le révèlent les chiffres analysés par l’équipe de John Ioannidis.
Le confinement a favorisé les contaminations à l’intérieur des foyers
Toujours selon Valeurs actuelles, pour arriver à ces conclusions, l’équipe de John Ioannidis a mis en place un protocole. Parmi les dix pays analysés par l’équipe : la France. Les scientifiques ont mis le nombre de contaminations dans l’hexagone — à partir du moment où le confinement a été déclaré- et les entreprises fermées, en face de celles de pays où le confinement n’a pas été prononcé. Comme cela a été le cas en Suède ou en Corée du Sud. Le résultat est sans appel. L’effet des mesures restrictives n’a presque pas apporté d’avantages en termes de contaminations.
Le ministre slovaque de la Santé a déjà enregistré l’Ivermectine comme prophylaxie approuvée et traitement du SRAS-CoV-2, le virus à l’origine du COVID-19. Dans les dernières nouvelles, l’autorisation a eu lieu hier que les médecins ont reçu la nouvelle qu’ils pourraient procéder à des ordonnances officiellement autorisées à la fois dans les hôpitaux et les patients externes. Le 26 janvier, le ministre de la Santé Marek Krajci a accordé un permis pour le médicament non enregistré, car le médicament a déjà été utilisé sur une base humanitaire au cours du dernier semestre. TrialSite a interviewé Ondrej Halgas, un chercheur de l’Université de Toronto et originaire de Slovaquie. Halgas a participé activement à l’organisation et au lobbying d’un réseau pour obtenir l’approbation du médicament pendant la pandémie. Ce pays enclavé d’Europe de l’Est de 5,4 millions d’habitants, membre de l’Union européenne depuis 2004, vient d’entrer dans l’histoire.
Un biochimiste de l’Université de Toronto, M. Halgas, vient également d’être présenté dans un récent communiqué de presse à ce sujet. TrialSite a pu entrer en contact avec lui pour en savoir plus.
Un remède fabriqué dans un laboratoire israélien a permis d’améliorer l’état de santé de 29 des 30 patients souffrant de formes graves du Covid-19, relate i24news.
Testé sur 30 patients se trouvant dans un état grave, le médicament anti-Covid EXO-CD24 fabriqué à l’hôpital Ichilov de Tel Aviv, en Israël, a démontré une efficacité de 96%, rapporte la chaîne i24news.
Développé dans le laboratoire du professeur Nadir Arber, le précieux remède est destiné aux personnes atteintes de formes moyennes à graves du Covid-19, évitant une détérioration critique de leur santé. Au cours de l’essai impliquant 30 patients, chez 29 d’entre eux, l’état de santé s’est amélioré en deux à trois jours, et quelques jours après la plupart ont pu rentrer chez eux.
Vers une production mondiale?
Le docteur Shiran Shapira, directeur du laboratoire du professeur Arber, qui dirige la recherche sur la protéine CD24 depuis plus de 20 ans, a expliqué au média que ce médicament anti-inflammatoire «est basé sur des exosomes qui sont libérés de la membrane cellulaire et utilisés pour la communication entre les cellules».
Dans un entretien au Figaro, Didier Raoult dresse le bilan de son action contre le Covid-19, affirmant ne pas regretter ses propos sur l’évolution de l’épidémie ou sur l’efficacité de la chloroquine. Il dénonce le rôle des médias et des lobbys pharmaceutiques dans la confusion qui règne autour du virus.
Interrogé par Le Figaro, Didier Raoult a réaffirmé ses positions médicales sur le Covid-19. L’infectiologue a déclaré n’avoir aucun regret concernant ses propos passés, notamment ceux tenus en mai et juin, qui prédisaient la fin prochaine de l’épidémie. Le spécialiste fait la distinction entre deux phases de la pandémie, précisant que «le virus d’août n’est pas celui du printemps».
À propos de la chloroquine, le professeur se veut également ferme, alors qu’une récente lettre publiée par l’IHU de Marseille pouvait fait croire à un mea culpa de ses équipes sur le sujet. Il rejette en bloc les soupçons de toxicité du remède, fustigeant des «études bidonnées» et des attaques «délirantes». Il soutient toujours que l’hydroxychloroquine peut être efficace pour les patients qui ne sont pas en phase finale.
Dans un entretien accordé à RT France, Fabrice Di Vizio, avocat du médecin Fabien Quedeville récemment convoqué par l’Ordre des médecins pour avoir pris publiquement position contre le confinement, dénonce une «convocation surprenante». Interrogé par RT France ce 4 février, Fabrice Di Vizio, l’avocat du médecin Fabien Quedeville récemment convoqué par l’Ordre des médecins après avoir pris position contre le confinement, manifeste son incompréhension face à une telle situation. L’avocat juge en effet la convocation de son client «surprenante», se demandant pourquoi les partisans du confinement, qui prennent publiquement position en faveur de cette mesure, ne sont pas logés à la même enseigne, alors même qu’il n’existe pas de consensus scientifique sur le sujet.