Lorsque les chercheurs de l’Institut Pasteur ont été questionnés sur la possibilité que le SARS-Cov2 soit un virus manipulé, ils ont répondu que si c’était le cas des vestiges de manipulations devraient se retrouver dans le génome. Ils entendaient par-là que, dans le cas d’un accident non intentionnel de laboratoire, la présence de sites de clivage d’enzymes de restriction devrait révéler la manipulation. Cependant, comme nous l’avons montré dans la première partie de ce chapitre qu’il est tout à fait possible depuis le début des années 2000 de manipuler des coronavirus entiers sans laisser de trace. Ils sont restés très discrets également sur la nouvelle technique de manipulation génétique CRISPR-Cas9. Elle permet ce que l’on appelle à présent l’édition de génome, tant la comparaison avec les logiciels qui permettent la modification rapide et simple d’un texte est tentante. Ils ne pouvaient pas l’ignorer. D’ailleurs, notons qu’ Emmanuelle Charpentier est un peu l’enfant prodige de l’Institut Pasteur puisqu’elle y a poursuivi des recherches doctorales entre 1992 et 1995.
14/12/2020 :
Le cardinal Burke : Les forces de la « Grande Restitution » ont utilisé le COVID pour faire avancer un « programme maléfique ».
« Tant de personnes dans l’Église semblent ne pas comprendre comment le Christ poursuit son œuvre de salut en temps de peste et d’autres catastrophes. »
À une époque où « nous devons être proches les uns des autres dans l’amour chrétien, les forces du monde nous isoleraient et nous feraient croire que nous sommes seuls et dépendants des forces séculières, ce qui ferait de nous des esclaves de leur programme impie et meurtrier », a déclaré le cardinal Raymond Burke lors d’une homélie prononcée samedi.
Le cardinal Burke, fondateur du sanctuaire de Notre-Dame de Guadalupe, a prononcé une puissante homélie sur le site de pèlerinage de La Crosse, dans le Wisconsin, samedi soir.
14/12/2020 JUSTIN TRUDEAU – LE TRAITRE DE LA CHINE – DOCUMENTS TOP SECRET REVELES