


02/01/2020
En Italie comme ailleurs, l’État profond gouverne. Et bien que le Président du Conseil Giuseppe Conte soit issu de la société civile et n’ait jamais appartenu à aucun parti politique, la pression que mettent les médias et les partis corrompus sur ses épaules, fait qu’il est obligé de se plier aux diktats sanitaires du soit disant Conseil scientifique composé de pseudo médecins, plus liés à l’argent qu’à la santé.
En Italie comme ailleurs, l’État profond gouverne…
La première chose qu’il faut savoir, c’est qu’en Italie, l’industrie pharmaceutique a un pouvoir énorme à tel point que les principales chaînes de TV de la péninsule, diffusent en permanence des spots publicitaires pour tous types de médicaments. À croire que cette industrie est le seul annonceur publicitaire du pays tant il est présent sur les écrans de télévision.
31/12/ 2020
Une femme au Royaume-Uni a été arrêtée par la police après avoir filmé une vidéo à l’intérieur d’un hôpital presque complètement vide et l’avoir mise en ligne.
Le clip montre la femme marchant dans des couloirs pratiquement vides et filmant des salles vides à l’hôpital royal du Gloucestershire.
« C’est une honte … il est si mort… toutes les personnes dans notre pays attendent désespérément un traitement, une maladie cardiaque de traitement du cancer, honnêtement, cela me rend tellement en colère », déclare-t-elle alors qu’elle filme une rangée de chaises d’attente vides.
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31/12/2020 : On peut l’affirmer aujourd’hui, les deux plus grandes victimes de cette crise sanitaire sont la science et la justice. La première a été piétinée car corrompue par les milliards de Big Pharma. Quant à la seconde, la justice, par cette décision de la Cour de Rome nous apprenons que toutes les décisions du gouvernement italien sont anticonstitutionnelles.
Il va de soi que la majorité des décrets qui ont été mis en place par Macron, Édouard Philippe et maintenant Jean Castex, sont également anticonstitutionnels. La seule réunion hebdomadaire du Conseil de défense est totalement illégale et antidémocratique et n’a strictement rien à voir avec une crise sanitaire.

Un an et demi après son élection à la tête de l’Ukraine, Volodymyr Zelensky se heurte aux résistances du système judiciaire, notoirement corrompu, et se retrouve engagé dans un bras de fer avec la Cour constitutionnelle. Le chef de l’Etat a annoncé, mardi 29 décembre, la suspension, pour deux mois, du président de la Cour, accusé de corruption. Oleksandre Toupytsky est soupçonné de subornation de témoin et d’avoir livré en 2018 et 2019 des « témoignages mensongers » dans le cadre d’une affaire pénale, a annoncé le parquet général.