Les scientifiques ont alerté en amont de la campagne de vaccination : il est criminel d’inoculer à des enfants et des individus en parfaite santé un produit que les laboratoires n’ont pas fini d’évaluer (les essais cliniques se poursuivent en parallèle, d’autres ont été lancés à la lueur des premières données). Ils ont d’ailleurs eux-mêmes anticipé les risques de blessure et de décès puisqu’ils ont refusé d’assumer les dommages provoqués par les injections et qu’ils ont précisé dans les contrats qu’ils n’en connaissent pas les effets.
Olivier Véran et Emmanuel Macron le martelaient pourtant encore ces jours-ci : les vaccins sont sûrs et efficaces. Rien ne semble en mesure d’infléchir cette doxa au nom de laquelle des millions de Français ont été incités ou forcés à se vacciner ; ils nieront jusqu’au bout, les conséquences pénales auxquelles serait exposé le ministre de la Santé au titre des mensonges qu’il a proférés depuis un an sont incalculables. Peuvent-ils ignorer les alertes de la communauté scientifique ? Non, et ils le peuvent d’autant moins que ces risques se concrétisent aujourd’hui de manière palpable à travers plusieurs indicateurs. À quoi jouent donc Emmanuel Macron et Olivier Véran qui se dit prêt à « appuyer sur le bouton pour réactiver le pass vaccinal » quelques jours seulement après avoir déclaré qu’il ne servait à rien ?
L’obligation vaccinale envisagée par Emmanuel Macron relève-t-elle d’une intention de blesser ?
Études et séries de cas cliniques, autopsies, données de pharmacovigilance… le volume de preuves accumulées depuis plus d’un an interdit d’avoir aujourd’hui le moindre doute sur l’extrême toxicité des vaccins. BioNTech a pris le soin d’avertir ses actionnaires le 30 mars 2022 : il redoute que son vaccin, distribué par Pfizer, ne puisse jamais être homologué définitivement, voire que les pertes soient à ce point astronomiques qu’elles mettent en péril la viabilité de la société et la production de nouvelles doses.
Et pour cause : Pfizer espérait que les données des essais cliniques ne seraient publiées que dans 75 ans, la justice américaine a refusé et l’a condamné à les divulguer. Mais au-delà de ce que révèlent les premières données, une série de publications et d’annonces confirment qu’il est urgent de s’inquiéter sur la volonté du Gouvernement d’imposer demain les vaccins à l’ensemble de la population, notamment les enfants.