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La Chine bloque l’enquête de l’OMS sur les origines du SARS-CoV-2

Les dix experts-enquêteurs internationaux n’ont toujours pas reçu les autorisations pour entrer sur le territoire chinois.

Par Frédéric Lemaître(Pékin, correspondant) et Stéphane FoucartPublié aujourd’hui à 11h21 

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La Chine ne semble pas disposée à laisser l’Organisation mondiale de la santé (OMS) enquêter sur l’origine du SARS-CoV-2. Alors qu’une équipe internationale de dix scientifiques était, mardi 5 janvier, en route pour Pékin, certains de ses membres avaient encore des « problèmes de visas ». « Aujourd’hui, nous avons appris que les responsables chinois n’ont pas encore finalisé les autorisations nécessaires à l’arrivée de l’équipe en Chine », a déclaré Tedros Adhanom Ghebreyesus, directeur général de l’OMS.Article réservé à nos abonnés Lire aussi  Les silences de la Chine, un virus repéré dès 2013, la fausse piste du pangolin… Enquête sur les origines du SARS-CoV-2

« Je suis très déçu de cette nouvelle, étant donné que deux membres avaient déjà commencé leur voyage et que d’autres n’ont pas pu voyager à la dernière minute », avait ajouté le diplomate, pourtant considéré depuis le début de la crise comme proche de Pékin. Mercredi 6 janvier, Pékin a pourtant confirmé que le problème n’était pas qu’administratif. « La recherche de la source est très compliquée. Pour assurer le bon déroulement des travaux du groupe international d’experts en Chine, les procédures nécessaires doivent être respectées et des arrangements spécifiques pertinents doivent être pris. A l’heure actuelle, les deux parties sont en cours de négociation à ce sujet », a déclaré Hua Chunying, porte-parole du ministère des affaires étrangères chinois.

La désignation des dix experts-enquêteurs avait déjà été au centre d’intenses tractations entre Pékin et l’OMS. La Chine avait déjà obtenu de coopter les scientifiques en question et de restreindre leur marge de manœuvre. En particulier, les termes de l’accord conclu entre la Chine et l’organisation onusienne stipulent que leur enquête « s’appuiera (…) sur les informations existantes et viendra compléter, plutôt que dupliquer, les efforts en cours ou existants ». Les enquêteurs de l’OMS devront donc se fonder, au moins en partie, sur des travaux déjà conduits sous l’égide de Pékin, sans être habilités à reproduire eux-mêmes certaines analyses.

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Le directeur de Sciences Po reconnaît avoir été alerté depuis 2019 des accusations d’inceste visant Olivier Duhamel

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Scandale Vaccination : l’Etat a recruté en secret le cabinet McKinsey qui facture 13 000 dollars par jour

Un nouveau scandale d’Etat qui risque de fragiliser Emmanuel Macron en pleine crise sanitaire. En effet, au moment où la colère gronde concernant la lenteur de la campagne de vaccination en France, il a été révélé dans la presse que l’Exécutif a sollicité les conseils du cabinet américain, McKinsey. Dans son travail de journalisme d’investigation, Lecourrier-du-soir.com a pu trouver un document du site Consultancy.eu qui relaie toutes les informations relatives à ce secteur. D’après le document de Consultancy.eu qui cite le média américain Politico.com, McKinsey a été recruté par le gouvernement français pour conseiller le gouvernement sur la question liée à la logistique.

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Légion d’Honneur : l’Elysée a supprimé le médecin Philippe Juvin de la liste pour avoir critiqué Macron

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Affaire Olivier Duhamel : pourquoi Elisabeth Guigou est appelée à la démission

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Covid-19 : l’ivermectine, une piste à suivre

C’est un médicament éprouvé et bien toléré qui, en attente d’un vaccin ou pour ceux qui le refusent ou n’y ont pas accès, serait prophylactique et également curatif, surtout s’il est pris tôt.  

Depuis le début de la pandémie, les grandes institutions de l’hémisphère Nord et l’industrie pharmaceutique en général se sont concentrées sur des médicaments récents (par exemple le remdésivir) ou la mise au point de vaccins. Parfait ! D’autres groupes de chercheurs, vu l’urgence de la situation, ont aussi pensé intéressant de passer au crible des produits anciens, peu coûteux, au profil bien connu et potentiellement efficaces contre le Sars-CoV-2.

Lire aussi:Covid-19 : antiviraux et anti-inflammatoires, où en est-on ? Le plus célèbre d’entre eux, l’hydroxychloroquine (HCQ), a été l’objet de plus de 200 études dont 35 randomisées, avec des conclusions parfois diamétralement opposées qui ont fait naître des doutes sur des conflits d’intérêt ou des intérêts concurrents. Nous y reviendrons. Un autre produit ancien, déjà évoqué dans cette page, à la tolérance exceptionnelle et qui aurait des vertus prophylactiques contre le Covid-19, est la nitazoxanide, actuellement en phase 3 (la dernière avant une éventuelle commercialisation). Voici maintenant qu’un troisième vieux produit fait le buzz : l’ivermectine !

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Macron dévoile sa stratégie pour accélérer la vaccination

Emmanuel Macron a dévoilé mardi soir aux élus locaux de Touraine, qu’il a rencontrés durant deux heures à Tours, les grandes lignes de l’accélération de la stratégie vaccinale, critiquée pour sa lenteur, ont rapporté des élus après la réunion.

Face aux nombreuses critiques sur le lent démarrage de la campagne de vaccination en France, le Président français a présenté le 5 janvier aux élus locaux de Touraine une nouvelle stratégie pour l’accélérer.

«Le Président de la République nous a indiqué qu’il y aurait deux phases: l’une jusqu’à fin mars pour vacciner les plus fragiles et les soignants, avec une simplification du recueil du consentement dans les Ehpad», a expliqué à l’AFP le président du conseil départemental d’Indre-et-Loire Jean-Gérard Paumier.

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BFMTV : 80 % des soignants à l’EHPAD de Saint Ouen ne veulent pas se faire vacciner

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Singapour a menti sur son système de traçage du virus

Anouch SeydtaghiaAnouch SeydtaghiaPublié mardi 5 janvier 2021 à 18:46
Modifié mardi 5 janvier 2021 à 18:46

La tentation était sans doute beaucoup trop forte. Les autorités de Singapour ont menti à leurs citoyens. Le système de traçage des contacts ne devait être destiné qu’à la seule lutte contre le virus. Or cette plateforme informatique peut aussi être utilisée par la police. A plusieurs reprises, les organisations de défense des droits humains avaient averti des risques de dérives liés à ces systèmes numériques, à des fins de surveillance. Singapour vient d’en faire la démonstration.

Cette révélation n’est pas le fruit d’une enquête externe ou d’investigations de la part de spécialistes de la technologie. C’est le ministre de l’Intérieur lui-même qui l’a admis lundi au parlement. Répondant à une question d’un député l’interrogeant sur une possible utilisation du système de traçage TraceTogether par la police, Desmond Tan a déclaré que «les forces de police de Singapour ont l’autorisation d’obtenir toutes les données, y compris celles de TraceTogether, pour des enquêtes criminelles». Et pourtant, les autorités avaient toujours affirmé que les données de ce système n’allaient être utilisées que pour la lutte contre le virus.

«Surveillance renforcée»

Le ministre des Affaires étrangères a tenté de rassurer mardi. Vivian Balakrishnan a affirmé qu’à sa connaissance les données de TraceTogether n’avaient été utilisées qu’une seule fois par la police, dans le cadre d’une enquête sur un meurtre. Et «une fois que l’épidémie sera terminée et qu’il n’y aura plus besoin de traçage des contacts, nous clôturerons volontiers le programme TraceTogether». En théorie, les données sont stockées de manière chiffrée et détruites après vingt-cinq jours.

Mais, pour l’heure, la polémique est vive. Ces informations «révèlent comment le gouvernement a exploité secrètement la pandémie pour renforcer sa surveillance et son contrôle sur la population», a ainsi affirmé à l’AFP Phil Robertson, directeur pour l’Asie de l’ONG Human Rights Watch.

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Le Sénégal démontre l’efficacité de l’hydroxychloroquine

05/01/2021 Le Sénégal a choisi de suivre les recommandations du Professeur Raoult et constate une diminution de la durée d’hospitalisation pour les patients traités à la chloroquine.

VU LES RÉSULTATS PRÉLIMINAIRES, NOUS ALLONS CONTINUER NOTRE PRISE EN CHARGE AVEC L’HYDROXYCHLOROQUINE.

Alors que l’épidémie du coronavirus prend de l’ampleur au Sénégal, le Ministre de la Santé Abdoulaye Diouf Sarr, a mis en avant une analyse préliminaire démontrant une réduction de la durée d’hospitalisation avec un traitement à base d’hydroxychloroquine pour les malades atteints du Covid-19

Les autorités sanitaires sénégalaises ont rapidement fait le choix de suivre les recommandations du Professeur Raoult et de la prescrire, en milieu hospitalier, de l’hydroxychloroquine, antipaludique disponible sur le marché.

Les résultats d’une analyse préliminaire montrent que, sur 181 patients, la durée moyenne d’une hospitalisation était de 13 jours pour les malades n’ayant reçu aucun traitement, 11 pour ceux ayant été traité à l’hydroxychloroquine, 9 pour ceux ayant reçu de l’hydroxychloroquine associée à l’azithromycine (antibiotique), et 8 pour les personnes ayant consulté au tout début des symptômes et démarré le traitement dans les 24 heures.

Selon cette analyse portant cette fois sur 362 sujets, des effets secondaires, non précisés, ont été observés chez 12 personnes. Le traitement a alors été maintenu pour 4 d’entre elles parce que les effets n’étaient pas gênants, et arrêté pour les 8 autres, mais il n’y a eu aucun effet secondaire grave tous les signes ont régressé à la fin du traitement a rapporté l’infectiologue en charge du recensement des cas au Sénégal.

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