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Coronavirus : la commercialisation du spray nasal « COV-Defense » suspendue

La commercialisation prévue du spray nasal « COV-Defense », également dénommé spray nasal « Biokami », est suspendue sur décision de police sanitaire de l’Agence du médicament (ANSM), faute d’avoir reçu les données démontrant sa performance et sa sécurité.

Selon les communications récentes du fabricant, la société Pharma & Beauty-Centrepharma, ce spray virucide, à base d’eau ionisée, « assure l’inactivation du virus Sars-CoV-2 à plus de 99%« .

Le fabricant avait annoncé la commercialisation de ce spray le 1er mars en pharmacie et mi-mars en parapharmacie et pharmacie en ligne.

Mais malgré ses allégations, l’ANSM affirme lundi n’avoir « reçu aucune donnée de validation clinique démontrant la performance et la sécurité d’utilisation de ce spray, condition indispensable pour qu’un dispositif médical puisse être mis sur le marché selon la réglementation européenne« .

« En l’absence de telles garanties et dans l’attente d’informations complémentaires, la mise sur le marché, la distribution, la publicité et l’utilisation du spray sont suspendues jusqu’à leur mise en conformité avec la réglementation« , ajoute le gendarme des produits de santé.

La société Pharma & Beauty-Centrepharma est en outre tenue de faire le rappel des lots de ces pulvérisateurs qui auraient déjà été distribués et d’informer toutes les personnes physiques ou morales susceptibles d’en détenir.

Cette décision de police sanitaire a été signée le 19 février par la directrice générale de l’ANSM, la Dr Christelle Ratignier-Carbonneil.

Les dispositifs médicaux sont des produits de santé, qui font l’objet d’une surveillance de la part de l’ANSM, visant à contrôler le respect de la réglementation qui leur est applicable, notamment en matière de performances et de sécurité d’utilisation pour les patients, rappelle l’agence sanitaire.

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Covid-19 : le gouvernement britannique espère lever les dernières restrictions fin juin

Boris Johnson a présenté le 22 février un plan de déconfinement axé en trois étapes : la première se matérialisera par la réouverture des écoles le 8 mars. L’objectif final consiste en la levée de l’ensemble des restrictions d’ici fin juin.

Pays d’Europe le plus durement touché par le coronavirus avec plus de 120 000 morts, le Royaume-Uni s’est confiné pour la troisième fois en début d’année face à une explosion de l’épidémie due à un variant plus contagieux apparu dans le sud de l’Angleterre et qui a conduit les hôpitaux au bord de la submersion.

Selon un calendrier décidé dans chacune des nations le composant, le pays s’apprête désormais à relâcher un peu la vis, les restrictions et la campagne de vaccination massive ayant entraîné un repli des contaminations, des hospitalisations et des décès. 

«Nous ne pouvons persister indéfiniment avec des restrictions qui affaiblissent notre économie, notre bien-être mental et physique», a expliqué le 22 février le Premier ministre Boris Johnson devant les députés, présentant un plan en quatre grandes étapes pour l’Angleterre. «C’est pourquoi il est essentiel que cette feuille de route soit prudente mais aussi irréversible.»

Première étape du déconfinement : la réouverture des écoles le 8 mars 

En Angleterre, nation la plus peuplée avec 56 millions d’habitants, les écoles seront les premières à bénéficier du relâchement des restrictions, avec une réouverture prévue le 8 mars. 

A partir du 29 mars, la consigne de rester à la maison sera levée et les rassemblements en extérieur, limités à six personnes ou deux foyers différents, seront autorisés. Les magasins non essentiels, les coiffeurs, les pubs – mais seulement en extérieur – et musées devront en revanche attendre le 12 avril. Les cinémas, hôtels, stades (avec maximum 10 000 personnes), l’hôtellerie-restauration (en intérieur) suivront le 17 mai, date à laquelle les membres de foyers différents pourront se rencontrer en intérieur.

Si la situation sanitaire le permet, les restrictions limitant les contacts sociaux seront levées le 21 juin au plus tôt, de même que la consigne de télétravail. 

«Le programme de vaccination a changé la donne»

BorisJohnson a affirmé que toute décision serait prise en fonction des éléments scientifiques à sa disposition, comme l’efficacité des vaccins anti-Covid et le repli des hospitalisations. 

Le gouvernement a fondé sa stratégie de sortie de crise sur la campagne de vaccination lancée début décembre qui bat son plein. Un adulte sur trois a déjà reçu une première dose, soit plus de 17,5 millions de personnes, et d’ici à mi-avril, les plus de 50 ans devraient tous avoir été partiellement vaccinés. Le gouvernement a promis que tous les adultes se verront proposer une première injection de vaccin anti-Covid d’ici fin juillet.

«Je crois fondamentalement que le programme de vaccination a changé la donne en notre faveur», a souligné Boris Johnson. 

Au Royaume-Uni, chacune des quatre nations du pays décide de sa stratégie en matière de déconfinement. En Ecosse et au Pays de Galles, les écoles ont rouvert progressivement à partir du 22 février, en commençant par les plus petites classes de primaire.

Tout en se préparant à un déconfinement, le gouvernement a durci les contrôles aux frontières pour éviter l’importation de variants. Depuis le 15 février, les résidents britanniques et citoyens irlandais arrivant en Angleterre en provenance de 33 pays classés en risque doivent observer dix jours de quarantaine dans un hôtel, à leurs frais.

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En Australie, il n’est plus possible de lire ou de partager des actualités sur Facebook

La nouvelle fait polémique dans le monde entier: désormais, les Australiens ne trouveront plus d’actualités sur Facebook. Même depuis la France, lorsque l’on essaie de publier une actualité australienne sur Facebook, la plateforme fait savoir que cela n’est plus possible.  Quel délit ont donc commis les Australiens pour que Facebook ait pris une telle décision? Le coupable est une proposition de loi, qui obligerait les plateformes numériques comme Facebook et Google à rémunérer directement les médias pour la diffusion de leurs contenus.

Google préfère négocier pour ne pas perdre ses utilisateurs Australiens

Face à cette décision radicale de Facebook, qui peut être interprétée comme du chantage, pour forcer l’Australie à retirer son projet de loi, le Premier ministre australien a annoncé qu’il ne se laissera pas intimider, et que le gouvernement mettra en place la réglementation qui vise à obliger Facebook et Google à rémunérer les médias pour la reprise de leurs contenus. 
Google a adopté une position bien différente. Dans une lettre d’intention, le géant d’Internet s’engage à verser une somme de 19,2 millions d’euros pendant cinq ans, à Nine Entertainment Co. , suivant ainsi la même stratégie qu’en France, qui vise à payer certains médias, pour diviser la presse et stopper ses revendications.
Microsoft, de son côté, a profité de la situation pour se positionner du côté des éditeurs presse en espérant faire basculer les australiens vers son moteur de recherche Bing.

Facebook ou Google pourraient-ils faire de même en France?

 En France, Facebook compte lancer cette année le service News, et du côté de Google, un contrat de près de 90 millions d’euros sur trois ans a été signé entre Google et l’APIG (Alliance de la presse d’information générale), ce qui bénéficiera à 120 médias (seulement). Dans ces conditions, il est peu probable qu’une telle polémique, avec une interdiction de la diffusion d’articles par Facebook, voit le jour en France.

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Chantage des laboratoires à l’Union Européenne : “en cas d’effets secondaires, nous ne payerons pas”

Dans cette pandémie à Coronavirus, les géants pharmaceutiques ont été clairement les grands gagnants. C’est du moins ce que ce révèle un document exclusif obtenu par France TV Info et intégralement lu par Lecourrier-du-soir.com. Un document qui explique comment Big Pharma a mis la pression sur l’UE pour lui tordre la main en pleine crise sanitaire.

Ainsi, dans le document lu par Lecourrier-du-soir.com, le média français expose le traitement humiliant que les puissants laboratoires pharmaceutiques ont imposé à l’Union Européenne. En guise d’exemple, France TV Info évoque un rendez-vous que des eurodéputés ont décroché le 12 janvier 2021 dans les locaux de la Direction Générale de la Santé de la Commission Européenne

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Bercy veut transformer l’«épargne Covid» des Français en moteur de la reprise

DÉCRYPTAGE – Depuis la pandémie, les Français ont mis de côté 200 milliards d’euros. Une manne que le gouvernement veut orienter vers la dépense et les investissements.

Fermeture des magasins, des restaurants et des salles de spectacle, couvre-feu à 18 heures, difficultés de voyager mais aussi peur de l’avenir… Autant de raisons qui incitent les Français à brider leur consommation. Depuis le début de la crise sanitaire, ils mettent de côté 276 euros par mois en moyenne, selon un sondage d’OpinionWay pour Meilleurplacement.com. Dans ses premiers calculs, la Banque de France estime que, en 2020 et 2021, 200 milliards d’euros supplémentaires auront été déposés par les ménages sur leurs comptes en banque, dont 130 milliards pour la seule année 2020. Pendant ces deux années, le flux d’épargne des Français a donc doublé par rapport à l’habitude.

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Auto-confinement des personnes âgées : « on n’a plus qu’à mourir alors ? » réactions à Besançon

La proposition, très controversée, a été émise par des membres du Conseil Scientifique dans la revue professionnelle The Lancet : instaurer un « contrat social », où les personnes âgées et les plus fragiles accepteraient de s’auto-isoler, pour que le reste de la population évite un nouveau confinement. A Besançon, ce samedi 20 février au matin, l’idée était rejetée par la plupart des concernés que nous avons rencontrés.

Ils étaient au rendez-vous, ces aînés et ces seniors qui n’auraient pas voulu rater le premier marché de l’année aux allures de printemps. Et bien sûr, ils avaient entendu parler de cet « auto-confinement ». Une proposition blessante pour certains d’entre eux, comme cette dame de 84 ans, assise sur un banc, et venue justement « voir du monde » : « Pour quelles raisons on ferait ça ? On n’a plus qu’à mourir alors ? », dit-elle, avant d’ajouter « c’est déjà bien assez dur pour les vieux dans les Ehpads, qui ne peuvent pas sortir ». Dans les allées du marché, la suggestion est la plupart du temps vertement reçue. « J’ai 86 ans, je n’ai d’ordres à recevoir de personne » invective une dame « Je respecte les lois, et c’est tout. ». Une autre passante refuse catégoriquement l’idée : « Si on nous confine encore à la maison avec nos casseroles et notre télévision ? Ah non. J’ai rien contre la télévision, mais au bout d’un moment … » Un peu plus loin, un retraité, casquette sur la tête, soupire « En somme, les personnes âgées gênent les autres ». En réalité, la plupart d’entre eux restent déjà beaucoup plus chez eux que d’ordinaire, et ont déjà réduit les contacts depuis des mois. Une femme indique être prête à pousser encore d’un cran la réclusion : «  Les gens sont toujours à dire ‘on m’enlève ma liberté’, mais ma liberté de quoi ? D’attraper le virus ? ».

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65 sénateurs écrivent à Macron pour demander la réouverture des restaurants à midi

Toujours fermés depuis fin octobre à cause des restrictions dues à la crise du coronavirus, les restaurants ont reçu le soutien d’élus de la chambre haute : 65 sénateurs, en majorité du centre et de droite, ont demandé le 18 février à Emmanuel Macron la «réouverture des restaurants sur le temps de midi en appliquant des mesures sanitaires adéquates» et «la vente à emporter après 18h pour les personnes munies d’une attestation».

«Vous nous dites baser vos décisions sur des avis scientifiques. Pourtant, quelle étude sérieuse a démontré que les contaminations se faisaient principalement dans les restaurants ? Si tel était le cas, pourquoi autoriser dans plusieurs départements la réouverture des restaurants pour les ouvriers durant le temps de midi ?», demandent les 65 cosignataires dans une lettre adressée au président de la République par le sénateur du Tarn-et-Garonne, Pierre-Antoine Levi, membre du groupe Union centriste

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La Maison Blanche solliciterait l’aide des réseaux sociaux contre la «désinformation» anti-vaccinale

Selon un haut fonctionnaire de l’administration Biden cité par Reuters, la Maison Blanche a contacté des réseaux sociaux comme Facebook et Twitter pour les encourager à lutter contre la «désinformation à l’origine de l’hésitation sur la vaccination». «La désinformation à l’origine de l’hésitation sur la vaccination est un grand obstacle à ce que tout le monde soit vacciné et il n’y a pas d’acteurs plus importants dans ce domaine que les plateformes de réseaux sociaux», a indiqué auprès de Reuters un haut fonctionnaire de l’administration Biden anonyme qui, selon l’agence de presse, «a une connaissance directe des décisions de la Maison Blanche». Selon ses propos, la présidence américaine discute avec ces géants du web afin qu’ils «comprennent l’importance de la désinformation et dans quelle mesure ils peuvent s’en débarrasser rapidement». Selon la même source, la Maison Blanche souhaite tout particulièrement que des publications de ce type «ne deviennent pas des tendances sur ces plateformes et ne se muent pas en un mouvement plus large». D’après ce haut fonctionnaire, les GAFA contactés par la Maison Blanche se sont montrés «réceptifs» aux attentes de la présidence américaine, mais il serait trop tôt d’affirmer que ces géants du web vont prendre de nouvelles actions pour limiter les contenus mis en cause. Selon Reuters, un porte-parole de Twitter a déclaré que son entreprise était en contact régulier avec la Maison Blanche sur un certain nombre de sujets «critiques», parmi lesquels la «désinformation sur le Covid-19». Facebook, selon un de ses porte-parole, a proposé à l’administration américaine «toute l’assistance qu’il peut fournir» sur le sujet et a récemment annoncé une nouvelle politique visant à supprimer les comptes, pages et groupes relayant de manière répétée des contenus qui désinformeraient sur le Covid ou les vaccins. 

En savoir plus sur RT France : https://francais.rt.com/international/84055-maison-blanche-solliciterait-aide-gafa-contrer-desinformation-anti-vaccins-covid

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Covid-19 : les tests salivaires mis en place dans les écoles dès la rentrée

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Vaccins, hydroxychloroquine, communication… Véran sévèrement noté par les médecins, un an après sa nomination

Comment l’action d’Olivier Véran, nommé au ministère de la Santé il y a un an, est-elle appréciée par les médecins ? A-t-il été à la hauteur de la crise sanitaire et de la réforme de l’hôpital ? « Le Quotidien » a posé la question à ses lecteurs en les invitant à le noter sur cinq critères (voir ci-dessous). Plus de 900 internautes (*) ont participé à cette enquête réalisée du 13 au 18 février.

Le verdict est loin d’être favorable au neurologue qui obtient une note globale de 3,3/10. Près des deux tiers des participants ne lui attribuent pas la moyenne. Sa communication, ses relations avec les médecins, sa réforme de l’hôpital, sa gestion de l’affaire hydroxychloroquine, son action dans la campagne de vaccination… pas grand chose ne trouve grâce à leurs yeux.

Un ministre « arrogant » et « hautain » ?

Un véritable désaveu, que certains jugeront peut-être excessifs. Car les médecins n’ont pas fait dans la dentelle pour juger de l’action du ministre : près d’un quart d’entre eux lui attribuent un zéro pointé !

Que lui reprochent-ils dans le détail ? Sa personnalité, en premier lieu, passe mal auprès des praticiens ayant participé à notre enquête. « Arrogant »« hautain »« péremptoire »« prétentieux »« imbu de lui-même » et même « menteur », sont les qualificatifs qui reviennent souvent. Le ministre paye également ses quelques faux pas, sur les masques notamment, qu’il a longtemps jugés inutiles. Ses décisions dans le dossier hydroxychloroquine ont aussi braqué une partie de la profession.

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