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Un parfum de LancetGate ? L’invraisemblance statistique de l’étude israélienne sur le vaccin

L’étude israélienne sur l’efficacité du vaccin bute sur des invraisemblances statistiques

Tribune – La fameuse étude publiée dans le NEJM aboutissant à démontrer que le vaccin est bien efficace à 95 % présente bien des point communs avec les publications de la call girl du LancetGate (et du NEJM gate). Il y a une contradiction entre les effectifs pris en compte dans l’étude et les possibilités de la population israélienne. Ainsi le groupe des non vaccinés âgés de plus de 70 ans qui concentre tous les décès comprendrait 78000 personnes , c’est trois fois plus que les effectifs à la disposition de l’étude. Comment ont-ils fait pour les inventer ?

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https://www.nejm.org/doi/10.1056/NEJMoa2101765

Les deux groupes ne sont pas exactement représentatifs de la population , les moins de 16 ans n’apparaissent pas. Les juifs ultra orthodoxes sont plus nombreux

Les deux groupes sont issus d’une base statistique qui compte 3159000personnes. On peut supposer que la base ait la même composition démographique que les groupes qui en sont issus. Ce sera notre première hypothèse.

Toutes les personnes nouvellement vaccinées au cours de la période du 20 décembre 2020 au 1er février 2021 ont été appariées à des témoins non vaccinés dans un rapport de 1 pour 1 en fonction des caractéristiques démographiques et cliniques

Au final, de la base de 3159000 personnes ressortent deux groupes représentatif de la population :

Chaque groupe d’étude comprend 596 618 personnes, un de vaccinés et un de non vaccinés.

Pour que l’appariement répondent exactement aux même caractéristiques sociologiques, démographiques et médicales , la tâche est ardue. D’où la nécessite de piocher dans un base de plus de 3 millions de personne, plus du tiers de la population du pays.

Au début février, 90 % des personnes des plus de 70 ans avaient ainsi reçu leurs deux doses du vaccin à ARN produit par Pfizer/BioNTech

L’étude sur l’efficacité du vaccin s’appuie sur un groupe total de 3159000personnes dont 13% ont plus de 70ans soit 410 000 On peut estimer que 42 000 n’étaient toujours pas vaccinés début février.

L’étude porte sur 78 000 non vaccinés de plus de 70ans , 13% de 596000 ??? Comment ont-ils fait s’ils n’en avaient que 42000 de disponibles

Ajoutons que selon l’étude 20% du groupe initial des futurs vaccinés ont été éliminés car présentant des problème de santé juste avant la vaccination. Ils disent avoir fait de même pour les non vaccinés avec lesquels ils y avaient appariement … S’ils l’ont fait on tomberait à 33000 non vaccinés disponibles , sans doute moins car les problèmes de santé concernent les plus âgés.

Ils disposaient de 33000 non vaccinés de plus de 70 ans , ils en ont étudié 78 000…

Pour les plus de 80 ans, ils disposaient de 117000personnes sur les 3159000 ce qui donne 12000 non vaccinés et si on enlève les problèmes de santé on tombe à moins de 10000…

Ils en étudient 27000, trois fois plus que les effectifs dont ils disposent

On me répondra que la base de départ de 3159000 personnes intégrait par exemple tous les habitants du pays âgés de plus de 70 ans soit 1000 000 personnes et 100000 non vaccinés. Etudions cette deuxième hypothèse.

Dans ce cas on peut enlever ceux qui ont eu des problèmes de santé de de santé avant appariement et on retrouve 80 000 personnes disponibles pour l’étude, il en faut 80 000, ça passe …

Oui mais alors ça ne passera plus pour trouver les effectifs nécessaires à l’étude des 20%de vaccinés ayant entre 16 et 39 ans. Ainsi 80000 vieux en plus c’est autant de jeunes en moins dans la base de départ.

Or pour trouver les effectifs de jeunes vaccinés nécessaires à l’étude, la base de départ doit impérativement compter plus de 1200 000 jeunes de 16 à 35 ans soit plus de 35% du total.

Au début février, 20% des 16/39 ans sont vaccinés soit 1225000 sur la base totale de départ si sa composition est de même nature que les groupes ce qui donne 250000 vaccinés disponibles pour cette tranche d’âge. Ils en étudient finalement 213 000, c’est limite mais possible mais ils auront du mal à assurer le quota de 42000 arabes israéliens…

Pour trouver les effectifs de jeunes vaccinés nécessaires à l’étude, la base de départ doit donc impérativement ne pas comprendre de vieux en surplus.

Conclusion : plus de la moitié, sans doute les deux tiers des plus de 70 ans non vaccinés, le groupe qui concentre les décès, sont tout bonnement des créations virtuelles…


Article repris du blog de Patrice Gibertie, avec l’aimable autorisation de son auteur.

Auteur(s): Patrice Gibertie, pour FranceSoir

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Covid-19 et surveillance massive : c’est officiel, l’Etat vient de commander 650 drones pour 4 millions d’euros

L’Etat français qui avait passé, en avril dernier, un appel d’offres pour acheter 650 drones vient de trouver ses deux fournisseurs (Rivolier et Milton-Innovation). Le prix du contrat annoncé en avril dernier est estimé à 4 millions d’euros

Face à une colère sociale qui couve et qui menace sérieusement d’exploser à tout moment, l’Etat français n’exclut plus aucune mesure pour éviter un éventuel soulèvement populaire. Ainsi, malgré la vive indignation provoquée par sa fameuse loi “Sécurité Globale”, l’Etat ne recule devant rien. Sa priorité est désormais de verrouiller le pays, quitte à recourir à une surveillance massive. Et c’est exactement ce qui est en train de se passer.

En effet, souvenez-vous, en avril 2020, un article de notre média, Lecourrier-du-soir.com, avait été très largement partagé sur les réseaux sociaux. Notre média révélait à l’époque un appel d’offre du gouvernement français pour l’achat de 650 drones. Le montant total était estimé à 4 millions d’euros.

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Soignants : «S’ils m’obligent à me faire vacciner, je démissionne»

A l’hôpital Bichat, à Paris, les propos d’Olivier Véran, qui envisage d’obliger les soignants à se faire vacciner, divisent le personnel. Certains estiment l’option envisageable mais d’autres s’agacent d’être montrés du doigt par l’exécutif.«Obliger, c’est un mot un peu rude», souffle Quentin S., étudiant en cinquième année de médecine.

Ce vendredi matin, devant l’hôpital Bichat, dans le XVIIIe arrondissement de Paris, les injonctions de l’exécutif – qui appelle les soignants à se faire massivement vacciner et envisage même de rendre le geste obligatoire – fracturent la communauté hospitalière. L’étudiant reprend : «Avant d’obliger, il faudrait au moins laisser encore un mois pour voir s’il n’y a pas une augmentation des vaccinés chez nous.» Au rez-de-chaussée, Isabelle (1) prend sa pause. Infirmière à Bichat depuis une vingtaine d’années, «longtemps réfractaire», elle a reçu sa première dose d’AstraZeneca, mardi. Alors pourquoi alors avoir accepté la piqûre ? Parce qu’elle en a «assez d’entendre que les personnels soignants sont des vecteurs» de transmission. «Je ne veux plus être stigmatisée, ni qu’on me dise que je suis responsable de contaminations de patients, insiste Isabelle. On se sent vraiment pointés du doigt.»

Vu l’ampleur de la pandémie, l’infirmière aguerrie comprend que le «gouvernement informe et aille dans le sens de la vaccination», mais forcer ses collègues à faire de même n’est pas la bonne démarche à ses yeux : «Ce n’est pas parce qu’on est soignant qu’on doit le faire. Avant d’être soignant, on est humain. On a chacun nos peurs, chacun a besoin de réfléchir. Il y a toujours dans le mental l’idée qu’on va nous injecter de la maladie dans les cellules. Tout le monde ne perçoit pas cela de la même façon.»

«Un souci de liberté»

Entre deux cigarettes, elle liste les différents profils au sein de la communauté médicale : «Il y a des complotistes, des réfractaires, d’autres qui souhaitent s’immuniser naturellement… Le panel de la société se retrouve aussi dans l’hôpital. On peut donc trouver injuste qu’à un moment donné on nous y oblige.» Le cas échéant, cela poserait «un souci de liberté, un problème éthique, parce qu’on est aussi des citoyens».

Nawal et Sabah, toutes deux aides-soignantes, âgées de 21 et 34 ans, partagent cet avis. Pour la première, fraîchement débarquée à Bichat depuis un mois, la vaccination n’est pas une option. «Je ne veux absolument pas être vaccinée. S’ils m’obligent, je démissionne. Je change de milieu. Je ne vais pas m’obliger à m’injecter quelque chose pour continuer à travailler. Il y a plein d’autres boulots», fulmine-t-elle.

Aide-soignante depuis 2013 venue à Bichat «en renfort Covid» courant novembre, Sarah renchérit : «Je pense que beaucoup de monde ici fera pareil. La majorité des personnes à qui j’en ai parlé ne veulent pas le faire.» Elle rejette l’argument selon lequel les soignants sont plus exposés au virus : «On a le matériel, on a tout ce qu’il faut, on fait attention

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Assez d’attente sans traitement : le Piémont conteste les directives

Dans un article d’Andrea Zambrano paru le 3 mars 2021 sur le site italien La Nouvelle Boussole (La Nuova Bussola), que nous avons traduit ci-dessous, on prend le pouls des dernières décisions juridiques en Italie obtenues par les docteurs Salvucci, Stramezzi, Szumsky et Poretti assisté par Me Grimaldi contre le ministère de la Santé et l’AIFA (équivalent de notre Agence nationale de sécurité du médicament).

Le docteur Grimaldi nous confie : « Nous avons obtenu en décembre un arrêt contre l’AIFA pour légaliser la prescription de l’hydroxychloroquine comme traitement contre la Covid ». closevolume_off

Suite à cela, le Dr Grimaldi et trois de ses confrères ont attaqué la décision du ministère de la santé et de l’AIFA avec l’avocat Grimaldi afin d’obtenir la suppression du protocole « Rester à domicile et paracétamol en cas de symptômes » . Me Grimaldi déplorait que les patients soient laissés chez eux, sans traitement, ou avec un mauvais traitement, en attendant que la situation s’empire avant d’être traités en soin intensif à l’hopital.

« On a gagné ! » nous dit-il. « Maintenant, les Médecins ont le droit et le devoir d’aller traiter les patients à la maison, selon Science et Conscience. C’est un jugement historique, même s’il dit quelque chose de simple et logique : les malades doivent être traités par les Médecins! » 


Le Piémont est donc la première région à désavouer les directives ministérielles sur la stratégie médicale choisie pour le soin à domicile contre la Covid qui prévoient de rester « chez soi » en prenant du « paracétamol en cas de symptômes ». Le nouveau protocole sanitaire régional inclut une obligation du médecin de rendre visite au patient déclaré positif ainsi qu’un traitement « en temps opportun » afin d’éviter l’hospitalisation sont inclus dans le nouveau protocole autorisé par le CTS régional. Le Conseiller Icardi dit :

« Les gens doivent être traités à domicile, le gouvernement doit les prendre en charge. »

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La Chine rend les tests anaux obligatoires pour les voyageurs étrangers

Malgré les critiques, la Chine persiste et signe. Pékin a décidé de rendre obligatoires les dépistages anaux du coronavirus pour tous les voyageurs étrangers arrivant dans le pays.

Révélée par le quotidien britannique The Times, cette décision tombe quelques jours seulement après que le Japon a appelé la Chine à cesser de pratiquer des tests rectaux sur ses ressortissants, invoquant la «profonde souffrance psychologique» provoquée par ce procédé.

En les rendant désormais obligatoires pour tous les voyageurs étrangers, Pékin a donc fait fi de cette plainte. Les autorités chinoises jugent cette méthode, qualifiée d’humiliante par certains, plus efficace pour détecter le virus, expliquant que des traces du Covid-19 restent présentes plus longtemps dans le système digestif que dans les voies respiratoires.

Elle consiste à introduire un long écouvillon de 3 à 5 cm à l’intérieur de l’anus, et de le tourner tout doucement. L’opération prend 10 secondes, assure l’agence sanitaire chinoise. Des centres de dépistage dédiés vont être installés dans les aéroports de Pékin et Shanghai, indique le Times.

Une alternative pourrait être offerte aux récalcitrants, précise le célèbre journal britannique. Lu Hongzhou, un médecin basé à Shanghai, a affirmé aux médias d’Etat chinois que les voyageurs pourraient s’ils le préfèrent fournir un échantillon de selles à l’aéroport à leur arrivée.

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En Martinique deux semaines après le carnaval il y a rien

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Ce robot sert les clients d’un bar en Espagne pour éviter les contacts .

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Fermetures de lits temporaires à l’hôpital de Châteauroux

lors que les établissements hospitaliers viennent de passer en « organisation de crise », l’hôpital de Châteauroux-Le Blanc a décidé de fermer provisoirement 14 lits de chirurgie.

La direction parle d’un « ajustement de la capacité d’accueil ». La pilule ne passe pas à la CGT.

L’annonce a été faite mercredi dernier aux soignants de l’hôpital de Châteauroux-Le Blanc : 7 lits en chirurgie digestive et 7 autres dans le service de chirurgie orthopédique vont fermer provisoirement. Pour Karine Jouhanneau, secrétaire CGT du centre hospitalier, cette situation est inacceptable alors que les établissements hospitaliers du pays viennent de passer en « organisation de crise » pour prévenir une aggravation de la situation sanitaire. « 

On ferme des lits pour récupérer du personnel, parce qu’on a un gros manque d’effectifs » précise la syndicaliste. « On nous demande de passer en « organisation de crise mais avec quelles moyens ? Ça fait un an que cette crise sanitaire à commencé, à un moment donné il va falloir que le ministère de la Santé se réveille et attribue des moyens humains aux hôpitaux et qu’on ouvre des lits de réanimation pérennes. » Avec la fermeture provisoire de ces 14 lits en chirurgie, Karine Jouhanneau déplore par ailleurs une déprogrammation des interventions non urgentes et souligne que « seulement deux infirmières sont récupérées ; ça ne va pas sauver l’hôpital ! »

Non, nous n’avons pas déprogrammé d’interventions – Evelyne Poupet, directrice de l’hôpital

Contactée par France Bleu Berry, Évelyne Poupet, la directrice de l’hôpital de Châteauroux-Le Blanc confirme ces fermetures temporaires de lits en chirurgie digestive et orthopédique : « Plus que de fermetures, je préfère parler d’une réorganisation au fil de l’eau. Nous n’avons pas déprogrammé d’interventions dans ces deux activités. Ça veut dire simplement que temporairement, nous n’allons pas admettre de nouveaux patients. C’est une réorganisation interne qui va permettre aux professionnels de se reposer alors que les vacances viennent de débuter. Quand on peut réduire la capacité d’accueil, nous le faisons, nous ajustons au fur et à mesure. »

Évelyne Poupet confirme aussi que ces fermetures temporaires de lits vont permettre également de rééquilibrer les ressources humaines et soulager un peu des services très sollicités : « On continue malgré tout à faire appel à du personnel intérimaire, qui est difficile à trouver », précise la directrice de l’établissement castelroussin.