Mois : mars 2021
Le gouvernement s’apprêterait à publier un décret pour autoriser les vétérinaires à pratiquer la vaccination dans des centres dédiés placés sous la responsabilité d’un médecin. Un texte similaire avait été publié le 11 mars en faveur des pompiers.
Selon le Journal du Dimanche, le ministère de la Santé aurait approuvé le principe selon lequel les vétérinaires pourraient prêter main-forte aux soignants et médecins dans le cadre de la campagne de vaccination. Le gouvernement serait sur le point de publier un décret qui autoriserait ces praticiens animaliers à procéder aux vaccinations dans des centres dédiés qui resteraient néanmoins placés sous l’autorité d’un ou plusieurs médecins.
L’ancien président de la République à appelé à ne «pas faire un drame» du carnaval qui a réuni près de 6 500 personnes dans les rues de Marseille. Selon lui, ce rassemblement était «un risque» mais «on peut comprendre que les gens en aient marre».
Le 24 mars, lors d’un déplacement à Marseille, l’ancien président de la République François Hollande a déclaré à propos du carnaval qui s’est tenu dans la cité phocéenne le 21 mars en violation des mesures sanitaires que l’atmosphère y était «bon enfant» et qu’il ne fallait pas «en faire un drame», comme le rapporteLa Provence. «On peut comprendre que les gens en aient marre mais donnons leur les informations et évitons les cris d’orfraie», a-t-il encore commenté.
Interrogé par la chaîne de télévision locale Azur TV, l’ancien président a précisé ses propos en rappelant que ce rassemblement de plus de 6 000 fêtards était «interdit et pas souhaitable», tout en affirmant qu’il ne voudrait pas «qu’une fois encore on donne de Marseille une image qui n’est pas la bonne».
« Une pneumologue roumaine fait des miracles : elle a guéri 100% de ses malades du Covid » – C’est sous ce titre que vient de paraître un article assez long dans le quotidien roumain Național, vendu dans tout le pays. Le secret de cette femme médecin d’Oradea ? Pour guérir ses patients, elle n’applique pas le protocole médical dont l’usage est devenu obligatoire presque partout. Nos confrères du Visegrad Post ont traduit l’article, disponible ci-dessous.
L’entretien publié par le Național a aussi été mise en ligne en langue hongroise sur ce site, qui reprend, concernant l’épidémie, diverses nouvelles alternatives que la presse de grand chemin refuse de publier. Nous ne sommes pas en mesure de vérifier la crédibilité des matériaux souvent touffus que reprend le site, mais nous pouvons, en revanche, évaluer celle de la traduction hongroise de l’entretien : le contenu de la traduction hongroise correspond bien à l’original. Voici donc cette traduction, à laquelle nous n’avons ajouté que d’infimes améliorations stylistiques :
Dans un communiqué de presse du 22 mars 2021, l’Agence européenne des médicaments annonce déconseiller l’utilisation de l’ivermectine pour la prévention ou le traitement de la Covid-19.
Au total, ce serait plus de 46 documents qui auraient été consultés pour l’établissement de cette recommandation sans que le détail de l’analyse ne soit donné :
« L’EMA aurait examiné les dernières preuves sur l’utilisation de l’ivermectine pour la prévention et le traitement du Covid-19 et a conclu que les données disponibles ne soutiennent pas son utilisation pour la Covid-19 en dehors d’essais cliniques bien conçus . »
L’usage de l’ivermectine
Dans l’UE, les comprimés d’ivermectine sont approuvés pour le traitement de certaines infestations de vers parasites, tandis que les préparations cutanées à l’ivermectine sont approuvées pour le traitement d’affections cutanées telles que la rosacée. L’ivermectine est également autorisée à usage vétérinaire pour un large éventail d’espèces animales pour les parasites internes et externes.
Les médicaments ivermectine ne sont pas autorisés pour une utilisation dans COVID-19 dans l’UE, et l’EMA n’a reçu aucune demande pour une telle utilisation. Rappelons cependant que Me Teissedre a saisi le Conseil d’Etat pour que l’ANSM s’auto-saisisse d’une étude pour une recommandation temporaire d’utilisation pour le traitement ivermectine. Lors de l’audience au Conseil d’état, le représentant de l’ANSM avait mentionné n’avoir reçu aucune demande des fabricants pour une RTU pour ce médicament, mais que l’ANSM allait solliciter les laboratoires détenteurs de RTU en France – Ils seraient sept en apparence.
L’ivermectine dans les médias
Dans la suite de son communiqué, l’EMA écrit : À la suite de récents rapports des médias et de publications sur l’utilisation de l’ivermectine, l’EMA a examiné les dernières preuves publiées issues d’études de laboratoire, d’études observationnelles, d’essais cliniques et de méta-analyses. Des études en laboratoire ont montré que l’ivermectine pouvait bloquer la réplication du SRAS-CoV-2 (le virus responsable du COVID-19), mais à des concentrations d’ivermectine beaucoup plus élevées que celles obtenues avec les doses actuellement autorisées. Les résultats des études cliniques étaient variés, certaines études ne montrant aucun bénéfice et d’autres rapportant un bénéfice potentiel. La plupart des études examinées par l’EMA étaient de petite taille et présentaient des limites supplémentaires, notamment des schémas posologiques différents et l’utilisation de médicaments concomitants. L’EMA a donc conclu que les preuves actuellement disponibles ne sont pas suffisantes pour soutenir l’utilisation de l’ivermectine dans COVID-19 en-dehors des essais cliniques . »
Rappelons que lors du debriefing avec le Dr Andrew Hill, ce dernier avait déclaré « que les études n’étaient peut-être pas l’étalon or des études mais qu’il était satisfait de la validité des résultats. » Cette étude a depuis fait l’objet d’un debunkage avec l’ingérence de Dominique Costagliola de l’Inserm qui est mentionnée comme ayant eu des échanges avec le Dr Hill à ce sujet alors qu’elle n’est pas auteur sur la méta-analyse du Dr Hill. Une fraude supplémentaire qui ne manquera pas de faire parler et rappelle le traitement réservé à la bithérapie Raoult à base d’hydroxychloroquine et d’azithromycine.
A ce jour il y a sept méta-analyses qui montrent l’efficacité du traitement et l’absence d’effets secondaires est notoire pour ce traitement qui a été découvert par le Pr Omura, prix Nobel de médecine et pourtant l’EMA écrit :
« Bien que l’ivermectine soit généralement bien tolérée aux doses autorisées pour d’autres indications , les effets indésirables pourraient augmenter avec les doses beaucoup plus élevées qui seraient nécessaires pour obtenir des concentrations d’ivermectine dans les poumons efficaces contre le virus. La toxicité lorsque l’ivermectine est utilisée à des doses supérieures aux doses approuvées ne peut donc pas être exclue. »
L’EMA a donc conclu que l’utilisation de l’ivermectine pour la prévention ou le traitement du COVID-19 ne peut actuellement pas être recommandée en dehors des essais cliniques contrôlés . D’autres études randomisées bien conçues sont nécessaires pour tirer des conclusions sur l’efficacité et l’innocuité du produit dans la prévention et le traitement du COVID-19.
Cette conclusion ne manquera pas de faire sursauter les médecins qui ont utilisés ce médicament. Rappelons que l’Inde, le Japon, la Tchéquie, la Slovaquie, le Mexique, l’Argentine utilisent ce médicament avec succès. Il est donc surprenant que l’Inde l’utilisant dans son « pack covid » n’ai pas été consulté par l’EMA. Rappelons que l’EMA a autorisé le remdesivir pour moins que cela et qu’elle a émis un avis favorable sur les anticorps monoclonaux avec des données moins favorables que celles de l’ivermectine. De plus l’EMA ne prend toujours pas en considération les dernières études parues sur l’efficacité de la bithérapie Raoult. Ce deux poids deux mesures devient de plus en plus visible et amène une dimension dépassant l’aspect sanitaire.
Sur VigiAccess voila les données de pharmacovigilance : l’ivermectine avec 16 décès, soit moins d’un décès par an depuis son utilisation et 4673 effets adverses est bien plus sure que tous les autres traitements y compris l’aspirine. De son côté le Remdesivir qui a obtenu une autorisation temporaire de l’EMA a connu 467 décès déclarés en un an et 5763 effets adverses enregistrés. Les vaccins Covid enregistrent 2400 décès depuis leur utilisation, sur quelques mois. De quoi se poser des questions.
Samedi 20 mars, le Pr Satoshi Omura, prix Nobel de médecine nous disait :
« La problématique n’est pas nécessairement reliée à la science ».
Cette décision n’est pas sans rappeler le sort réservé au soldat hydroxychloroquine l’été dernier. Visiblement les traitements précoces n’ont pas la cote quand il s’agit de la présomption d’efficacité. Comme l’ont fait la Tchéquie et la Slovaquie, cet avis peut être annulé par chaque pays
Cher membre du Parlement européen,
Le « Green Pass » nécessite un débat, pas une adoption d’urgence (COM 2021 130)
Nous vous écrivons en tant que président de Children’s Health Defense (CHD), une organisation à but non lucratif basée aux États-Unis, et présidente de CHD-Europe.
Notre organisation internationale a pour mission de défendre la santé des enfants en exposant les causes qui leurs sont néfastes et en traduisant en justice ceux qui nuisent à leur santé.
Nous sommes profondément préoccupés par les conséquences involontaires de la crise du COVID y compris la façon dont elles affectent les enfants dans le monde entier.
Nous nous opposons à l’adoption par le Parlement du Certificat vert numérique, introduit le 17 mars 2021 avec la proposition #COM 2021 130) sans la tenue d’un débat approfondi et vigoureux. Alors que l’intention annoncée du Certificat est de faciliter les voyages pendant la pandémie de COVID-19, nous craignons qu’il ne fasse exactement le contraire : étouffer les voyages et les interactions humaines.
Nous sommes extrêmement préoccupés par la proposition de règlement qui affectera tous les déplacements dans la zone Schengen, pour les citoyens européens comme pour les autres, en exigeant que les individus prouvent qu’ils ont reçu un vaccin expérimental ou qu’ils se sont soumis à des tests expérimentaux.
La proposition part du principe que ces mesures empêcheront la transmission du SRAS-Cov-2, mais elle repose sur des bases scientifiques et juridiques fragiles et nécessite un débat approfondi pour les raisons énumérées ci-dessous.
1. L’on ignore si la vaccination bloque la transmission de SARS-CoV-2.
L’Agence européenne des médicaments (EMA) a déclaré à plusieurs reprises qu’il n’y pas de données permettant d’affirmer que les vaccins COVID-19 bloquent la transmission du coronavirus. C’est la raison pour laquelle les personnes vaccinées doivent continuer à maintenir une distance sociale et à porter un masque.
Alors que l’Agence Européenne des Médicaments espère que les vaccins réduiront le COVID, l’inverse peut se produire ; la vaccination de masse peut augmenter la propagation de la maladie. Un tel cas s’est produit avec le vaccin Dengvaxia aux Philippines et a été exposé au Sommet de l’OMS sur la sécurité des vaccins en décembre 2019. Des scientifiques indépendants évaluant les résultats en Israël et au Royaume-Uni remettent en question le succès de la vaccination de masse. Les coronavirus étant en constante mutation, l’efficacité de ces nouveaux vaccins contre les nouveaux variants est inconnue.
2. Les test PCR ne sont pas des instruments de santé publique fiables.
Si les tests PCR peuvent contribuer au diagnostic d’une personne malade dans un court laps de temps, ils ne sont pratiquement d’aucune utilité pour les personnes qui ne présentent pas de symptômes de maladie. Les tests PCR positifs ne confirment ni la maladie ou ni la contagiosité d’une personne et donnent souvent lieu à des « faux positifs ».
Une étude récente publiée dans la revue médicale The Lancet estime que l’isolement des faux cas positifs constitue « une perte nette pour la santé et le bien-être social et économique des communautés » et conclut que « le test PCR n’est donc pas l’instrument de référence (‘golden standard’) approprié pour évaluer un test de santé publique relatif au SRAS-CoV-2. »
En janvier 2021, l’OMS a publié de nouvelles recommendations sur les tests PCR, mettant également en garde contre le danger des résultats faussement positifs : « à mesure que la prévalence de la maladie diminue, le risque de faux positif augmente ».
Les États membres devraient cesser de tester les personnes en bonne santé et réaffecter les montants alloués à cette politique inutile pour améliorer la prise en charge et le traitement des malades.
3. Le certificat vert numérique est juridiquement disproportionné.
La réglementation proposée porte atteinte aux droits fondamentaux de l’homme, notamment aux droits de voyager, de se réunir, de respecter la vie privée, la conscience et le consentement libre et éclairé. Des études scientifiques récentes jettent de sérieux doutes sur l’efficacité des mesures draconiennes visant à limiter la propagation des maladies, notamment les restrictions de voyage et les mesures de confinement.
La mise en œuvre du laissez-passer vert nécessitera des ressources massives sans espoir fondé de succès. Il serait plus efficace et plus économique d’investir dans les hôpitaux et de protéger les personnes à risque. À tout le moins, une analyse coûts-avantages et un débat sont absolument nécessaires.
4. Le Parlement européen est tenu d’appliquer le principe de précaution.
Les vaccins COVID-19 n’ont reçu qu’une autorisation de mise sur le marché conditionnelle ; les essais cliniques ne seront pas terminés avant des mois ou des années. Exiger que les citoyens et visiteurs de l’Union européenne soient soumis à des produits médicaux expérimentaux pour exercer leurs droits fondamentaux viole le principe de précaution inscrit dans l’article 191 du Traité de fonctionnement de l’Union européenne.
On ne sait pas comment ces vaccins affecteront les gens dans les mois ou les années à venir. Le risque de facilitation de la maladie est réel, c’est-à-dire que les personnes vaccinées exposées à de nouvelles souches virales peuvent courir un risque accru par rapport à celles qui n’ont pas été vaccinées. Ce risque qui peut mener à un emballement immunitaire potentiellement mortel est bien connu des experts et constitue l’une des principales raisons pour lesquelles les fabricants de vaccins refusent d’accepter la responsabilité des blessures et des décès liés à ces vaccins.
Plusieurs vaccins COVID-19 sont basés sur une nouvelle technologie génétique (ARN messager) jamais utilisée auparavant chez des individus sains. Les fabricants ont ignoré les risques de modification du génome humain et de déclenchement de maladies auto-immunes dans leur course effrénée à la commercialisation des vaccins. Le 15 juillet 2020, le Parlement européen a voté la suppression de l’évaluation de ces risques dans le cadre du règlement sur les organismes génétiquement modifiés (OGM) pour les vaccins COVID-19. D’éminents scientifiques et médecins ont récemment abordé ces préoccupations dans une lettre ouverte adressée à l’AEM.
Une étude plus approfondie sur l’impact de ces thérapies géniques est absolument nécessaire avant de les rendre obligatoires.
5. Les fabricants ne garantissent ni l’efficacité, ni la sécurité des vaccins Covid-19.
D’éminents avocats belges ont récemment conclu que la Commission européenne a accordé des exemptions de responsabilité et de garantie non valables aux fabricants du vaccin COVID-19. Compte tenu de l’absence de preuves de sécurité ou d’efficacité, les fabricants refusent, sans surprise, de garantir l’une ou l’autre. Les États membres, et en fin de compte l’électorat, supporteront la charge de l’indemnisation et de la prise en charge des victimes de blessures dûes aux vaccins.
6. Menace sur la vie privée.
Bien que la proposition de règlement stipule que les États membres protégeront les données médicales, rien ne garantit cette protection. Ces données médicales peuvent être utilisées pour discriminer les individus en violation des droits et libertés fondamentaux.
7. Le risque de substitution des souches et de mutation virale.
La vaccination de masse avec des vaccins imparfaits – et aucun des vaccins disponibles n’est parfait – peut conduire à un remplacement de type et à une mutation virale. Dans ce cas, il se pourrait bien que ce soit les individus vaccinés, plutôt que les non-vaccinés, qui présentent le plus grand risque d’être infectés par de nouveaux types de coronavirus plus virulents.
L’exemple classique de ce type de remplacement de souches s’est produit avec l’utilisation généralisée du vaccin contre la coqueluche qui a entraîné de nouvelles mutations virales contre lesquelles le vaccin existant n’a pas pu agir.
En d’autres termes, il n’est pas certain que la vaccination de masse permette de mettre fin à la crise des coronavirus.
8. Le risque de passer de mesures temporaires à des permanentes.
Si le Parlement considère le règlement sur le certificat vert numérique comme une mesure temporaire, il est peu probable qu’il en soit ainsi. De telles restrictions deviennent généralement permanentes, ce qui rend d’autant plus important le besoin d’un débat solide. Des vaccins supplémentaires pourraient-ils être exigés ultérieurement dans le cadre du passeport vert ? Pourquoi le directeur général de l’Organisation mondiale de la santé devrait-il avoir le pouvoir de prendre des décisions à leur sujet ? Les implications à long terme du Pass Vert nécessitent une délibération.
9. Le Parlement Européen doit défendre la démocratie en Europe.
Depuis le début de la pandémie de coronavirus, les chiffres ont trop souvent prévalu sur la règle de droit. De petites coteries d’experts interprétant les chiffres ont défini les politiques au lieu de législatures démocratiques et de la société civile. Les chiffres et les études sont trop souvent conçus pour servir ceux qui les produisent. L’Europe ne peut prospérer si elle s’appuie sur des modèles mathématiques à l’exclusion des modèles humains. Le Parlement est chargé de défendre les valeurs démocratiques.
Veuillez prendre en considération les points ci-dessus et exiger un débat ouvert à partir d’une analyse indépendante de la situation avant d’adpter d’autres mesures concernant ce passeport vert.
Les citoyens d’Europe et du monde entier vous regardent – notre liberté et notre sécurité sont entre vos mains. Ne nous laissez pas tomber ! Ne mettez pas en péril l’avenir de l’Union européenne en profanant l’un de ses principes les plus fondamentaux : la libre circulation au sein de l’espace Schengen.
En vous priant d’agréer, chère Madame, cher Monsieur, l’expression de nos sentiments distingués,
Robert F. Kennedy, Jr.
Chair, Children’s Health Defense
Senta Depuydt
President, Children’s Health Defense Europe
Auteur(s) : FranceSoir – 23/03/2021 – 12:04
L’ivermectine fait vraiment parler d’elle comme traitement contre la Covid comme en atteste l’article du 22 mars de la journaliste d’investigation Mart Beth Pfeiffer, contributrice régulière au site Trial Site News. Hier nous avons eu la surprenante décision de l’EMA (agence européenne du médicament) de ne pas recommander l’ivermectine contre la covid alors que ce médicament est utilisé avec succès dans beaucoup de pays comme l’inde, le Mexique, l’Argentine, la Tchéquie et la slovaquie entre autres.
Nous reproduisons une traduction de cet article qui reprend les informations d’un professeur de l’Université de Yale et chercheur renommé sur le cancer ayant étudié la littérature sur le COVID-19 et traité plusieurs dizaines de patients. Ce dernier ne peut plus garder le silence.
Le Dr Alessandro Santin, oncologue et scientifique en exercice qui dirige un grand laboratoire à Yale, croit fermement que l’ivermectine pourrait réduire considérablement la maladie COVID-19. Santin rejoint un groupe croissant de médecins engagés à utiliser le médicament générique sûr à la fois comme traitement précoce à domicile pour prévenir l’hospitalisation et parallèlement aux traitements hospitaliers tels que les stéroïdes et l’oxygène.
«L’essentiel est que l’ivermectine fonctionne. J’ai vu cela chez mes patients ainsi que dans le traitement de ma propre famille en Italie » a déclaré Santin dans une interview, faisant référence à son père, 88 ans, qui a récemment souffert d’un grave épisode de COVID. «Nous devons trouver un moyen de l’administrer à grande échelle à un grand nombre de personnes.»
Les déclarations de Santin sont endorsées par le prestige de la position de leadership à la Yale School of Medicine et la gravité d’un chercheur de haut niveau sur le cancer de l’utérus, qui est l’auteur de plus de 250 articles de revues scientifiques et a été le pionnier du traitement, utilisé dans le monde entier, pour la forme la plus agressive de cancer de l’utérus. À Yale, il est professeur chef d’équipe en oncologie gynécologique au Smilow Comprehensive Cancer Center et co-chef de l’oncologie gynécologique.
Une amélioration à tous les niveaux
Lorsque la Covid-19 est arrivée, Santin a commencé à lire sur la meilleure façon d’aider ses patients cancéreux, dont 10 à 20% étaient infectés par le COVID. Il a commencé à utiliser l’ivermectine après que le NIH (National Institutes of Health) ait modifié son avis en janvier pour autoriser l’utilisation du médicament en dehors des essais COVID.
L’approbation de Santin est non seulement importante mais large. Il a déclaré avoir vu l’ivermectine agir à chaque étape du COVID – la prévenir, éliminer l’infection précoce, étouffer la tempête destructrice des cytokines en fin d’infection et aider jusqu’à présent une douzaine de patients qui ont souffert des mois après le COVID. L’une d’elles est une athlète et mère de deux enfants, 39 ans, qui avait été handicapée par des douleurs thoraciques post-COVID, un essoufflement et de la fatigue; Elle m’a confirmé dans un e-mail sa joie de pouvoir à nouveau gravir une colline et de mieux respirer dans les 72 heures suivant sa première dose.
«Lorsque vous avez des gens qui ne peuvent pas respirer pendant cinq, six, huit, neuf mois et qu’ils ont essayé plusieurs médicaments et suppléments sans succès, et que vous leur donnez de l’ivermectine», a déclaré le Dr Santin à propos des patients Covid long, «et vous voyez qu’ils commencent immédiatement à se sentir mieux, ce n’est pas un placebo. C’est réel. »
A 74 ans, la ministre de la Culture a été testée positive à la Covid ce samedi 20 mars.
« À la suite de symptômes respiratoires, j’ai fait un test qui confirme que je suis positive au Covid », pouvait-on lire sur twitter. « À l’isolement, je vais aménager mon programme pour la semaine qui vient. Je ne manquerai pas de vous donner des nouvelles régulièrement ! ».
La veille, elle avait remis la Légion d’honneur à Michel Sardou, qui aujourd’hui a déclaré s’être isolé avec son épouse.
Ce 22 mars 2021, le site franceinfo publie un article selon lequel les médecins ont indiqué à Roselyne Bachelot que la contamination était antérieure à sa première dose de vaccin. A 74 ans, elle faisait évidemment partie des personnes prioritaires pour la vaccination.
Peu d’information ont filtré sur les symptômes ou le traitement administré à la ministre. Pas plus d’ailleurs que les traitements qui avaient été pris par Brigitte et Emmanuel Macron lors de leur contamination Covid en décembre dernier. Rappelons que lors du Covid de l’ancien président Trump, ses bulletins médicaux et traitements utilisés avaient été publiés, une approche différente aux Etats-unis. A ce jour nous ne savons toujours pas si Brigitte Macron a été vaccinée ou pas, tout en rappelant que les fabricants de vaccins recommandent de ne pas se faire vacciner dans une période de 3 mois après avoir eu la Covid.
Le secret médical est bien sûr là pour consacrer la confidentialité de la relation patient_médecin. Cependant à l’heure où le ministre de la Santé Véran se fait vacciner sous les yeux des caméras pour montrer l’exemple ou que le premier ministre Castex l’a fait avec le vaccin AstraZeneca pour rassurer les Français, on est en droit de se demander pourquoi le traitement de Mme Bachelot ou du couple présidentiel ne devrait pas faire état de plus de transparence pour rassurer.
Rappelons que le gouvernement prône depuis l’an passé la solution « rester à la maison, prenez du doliprane et appelez le 15 en cas de danger » car d’après ces mêmes personnes « il n’y a pas de traitement précoce contre la Covid ». Pourtant pas plus tard que vendredi 19 mars, le ministre Véran déclarait qu’une antibiothérapie pourrait être administrée.
Un début de changement de doctrine qui intervient bien tard pour les patients qui n’ont pas été traités et qui arrive au moment ou certains médecins, comme le Dr Maudrux, s’étonnent du sort réservé à l’ivermectine comme traitement précoce contre la Covid.
Roselyne Bachelot n’a pas été hospitalisée.
Auteur(s): FranceSoirPARTAGER CET ARTICLE :
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