Décédé le 13 septembre à l’âge de 15 ans – trois jours après le vaccin de Pfizer
Elias, âgé de seulement 15 ans, est décédé 3 jours après avoir reçu le vaccin de Pfizer.
Il a reçu son jab le 10 septembre et a été retrouvé sans vie dans sa chambre le lundi 13 septembre. La famille cherche des réponses pour la mort soudaine du garçon en bonne santé.
Il a été transporté à l’hôpital général de Pan Arcadian et malgré les « efforts surhumains » des médecins pour le ramener à la vie, ils n’ont pas réussi.
Son frère, Nikos, 31 ans, a déclaré: « Mon frère était un enfant très fort, il ne s’est jamais plaint de rien. Ils parlaient dans son école de se faire vacciner, alors vendredi, il est allé se faire vacciner dans un centre de vaccination à Tripoli. Il est rentré à la maison et s’est senti bien au début », a déclaré Nikos, ému, aux journalistes lors des funérailles.
La nouvelle ne changera rien à la peine des familles, mais se veut éclairante d’un point de vue démographique. Au cours de l’année 2020, quelque 68 000 personnes sont mortes du Covid-19 en France, mais le nombre de décès total n’a augmenté « que » de 55 000. En fait, une partie des morts du Covid « seraient de toute façon » décédés d’une autre cause, analyse une étude démographique publiée ce mercredi.
Sur les 55 000 décès supplémentaires, toutes causes confondues, constatés par les services d’état-civil en 2020 (par rapport à 2019), 13 000 sont statistiquement imputables au vieillissement de la population, observé « chaque année en l’absence de gain d’espérance de vie ». Cela entraîne mécaniquement une hausse annuelle du nombre de décès, indépendamment de tout contexte épidémique.
« Restent donc 42 000 décès supplémentaires en 2020, liés à la pandémie de Covid-19 », observent les auteurs de cette étude, Gilles Pison et France Meslé, de l’Institut national d’études démographiques (Ined). Or, Santé Publique France a comptabilisé environ 65 000 victimes du virus en 2020. Les auteurs de l’étude préfèrent toutefois réestimer ce bilan à « un peu plus de 68 000 » en comptant les morts à domicile, soit « environ 5 % des décès, si l’on s’aligne sur les taux observés à l’étranger ».
Moins de grippe et d’accidents de la route
Les deux démographes avancent plusieurs explications à cette différence entre les 68 000 morts du virus et les 42 000 décès supplémentaires constatés, une fois défalqués les 13 000 décès dus au vieillissement de la population. D’une part, la grippe saisonnière a été beaucoup moins meurtrière début 2020 que début 2019, et les accidents de la route ont également fait nettement moins de victimes, conséquence des restrictions de circulation pendant les périodes de confinement.
D’autre part, « d’autres causes de décès ont aussi probablement reculé comme le diabète, les maladies cardiovasculaires et l’insuffisance respiratoire chronique », observent les auteurs. « Une partie des personnes fragiles souffrant de ces maladies sont en effet mortes de Covid-19 », alors que, sans la pandémie, « elles seraient de toute façon décédées en 2020 » de l’une de ces pathologies.
Des scientifiques de l’université de Gand en Belgique ont publié une étude indiquant que les personnes qui sont tombées gravement malades de la Covid-19 ont un point commun, à savoir une carence alimentaire.
« Presque tous les patients qui finissaient par tomber gravement malades ou même mourir à l’hôpital présentaient une grave carence en sélénium et en zinc dans leur sang à l’admission ». Voilà les résultats insolites d’une étude menée par les scientifiques de l’université de Gand. Pour arriver à de tels résultats, ils ont étudié le sang de 138 malades du virus ayant été admis l’année dernière dans deux hôpitaux. « Nous voulions vérifier le niveau de certains nutriments dans le sang des patients« , explique le professeur Gijs Du Laing au média belge 7sur7. « Nous savions, grâce à des études antérieures, que les personnes présentant des carences en certains nutriments sont beaucoup plus gravement atteintes par certaines infections virales. Nous voulions savoir s’il en était de même pour le Covid-19« , indique le chercheur.
Parmi les patients atteints de Covid qui sont décédés dans les unités de soins qu’ils ont étudiés, sept sur dix présentaient donc une grave carence en sélénium et en zinc, comme le rapporte le scientifique. « Les patients qui ne présentaient pas cette carence, ou chez qui elle était moins prononcée, ont quant à eux plus souvent survécu au Covid-19 et se sont rétablis plus rapidement. Ils sont tombés nettement moins gravement malades« , ajoute le professeur.
Une carence en sélénium ou en zinc dans le sang au moment de l’admission à l’hôpital s’est même avérée être un facteur de risque plus important que le diabète, du cancer, de l’obésité ou des maladies cardiovasculaires.
Depuis le 27 août 2021, c’est sur cette présente nouvelle page que je présente mes informations quotidiennes que j’ai dénommées “Nouvelles des Brigades Anti-Graphène” – tout en tentant, en même temps, de me focaliser, avec autant d’attention, sur les ramifications tentaculaires de la seconde partie de ce dossier consacrée, une fois de plus, aux pénuries alimentaires, au Grand Minimum Solaire, à la destruction programmée de l’agriculture et de l’élevage par les Guignols de Davos, à la destruction de l’agriculture de par les conséquences du Grand Minimum Solaire ( à savoir des extrêmes de température et d’hygrométrie), aux fausses viandes à base d’insecte, aux fausses viandes cellulaires, à la grande réinitialisation du dément Bolchévique Klaus Schwab, etc, etc.
Pour d’autres nouvelles régulières, concernant le dossier de la contamination par le graphène, vous êtes invités à consulter le blog: Bistro Bar Blog. Ce blog existe depuis 10 années et il porte sur de nombreux sujets: la Nouvelle Médecine Allemande de Hamer, la fausseté du paradigme Pasteurien, les dangers du graphène dans les injections, etc.
Consulter, également, le blog de Quantum Leap qui fait un travail admirable de traduction des vidéos les plus essentielles.
Consulter, également, le blog de Guy Boulianne – qui fut l’un des premiers, en France, à évoquer le phénomène de magnétisation des injectés CoqueVide.
Une magnifique photographie d’une “Couronne Nécro-Moléculaire” d’argent
Alors que je parcourais une multitude d’études et articles de biologistes, d’électroniciens et d’autres scientifiques en laboratoires, en quête de photographies de micro-bulles de graphène, j’ai découvert une magnifique photographie d’une “Couronne Nécro-Moléculaire” d’argent dans un article intitulé “Dynamic protein coronas revealed as a modulator of silver nanoparticle sulphidation in vitro” et publié dans la revue Nature en 2016. [96] C’est une magnifique découverte qui permet d’interroger, encore plus, tous ces biologistes et médecins sincères qui ne jurent que par la protéine Spike du coronavirus tellement “invisible” qu’il en est inexistant…
… ou tellement inexistant qu’il en est invisible. Il est aimable de pouvoir bénéficier d’alternatives.