Mois : décembre 2021
Se dirige-t-on vers une quatrième dose de vaccin ? Face à la hausse des contaminations, le ministre de la Santé Olivier Véran a déclaré qu’une injection supplémentaire était «une possibilité».
Elle pourrait, en théorie, réactiver les anticorps et protéger du Covid-19. Mais pour l’instant, «nous n’avons pas de recul sur la durée de l’efficacité» du vaccin, a noté le ministre en conférence de presse ce 27 décembre. La question de la quatrième dose «viendra en son temps».
Certains pays ont déjà franchi le pas. C’est le cas d’Israël, qui a administré une quatrième dose de vaccin à 150 soignants volontaires ce 27 décembre. Cet essai clinique devrait précéder le lancement d’une campagne de rappel à l’échelle nationale. Le Premier ministre Naftali Bennett n’a pas attendu les résultats pour annoncer que les plus de 60 ans et le personnel médical auraient prochainement le droit à une injection supplémentaire. closevolume_off
Depuis, plusieurs Etats se sont alignés sur cette position. Le Chili administrera une quatrième dose aux personnes à risque à partir de février. Au Brésil, ce sont les personnes immunodéprimées qui recevront la nouvelle injection. Le Pérou a quant à lui commandé plusieurs millions de doses de vaccin en vue d’une campagne de rappel supplémentaire.
L’OMS PERPLEXE
Cette stratégie est loin de faire l’unanimité. L’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), déjà sceptique sur la troisième dose, a réaffirmé sa position : «Aucun pays ne pourra sortir de la pandémie à coups de doses de rappel», a prévenu son directeur, Tedros Adhanom Ghebreyesus. «Il est important de se souvenir que la très grande majorité des hospitalisations et des morts sont des gens qui ne sont pas vaccinés, pas des gens qui n’ont pas eu de dose de rappel.»
1 . Un rapport de la Californie du Sud indique que les infirmières commencent à parler de leurs préoccupations et de leurs observations concernant le vaccin COVID.
Angela, infirmière depuis plus de 25 ans, confirme que dans la salle d’urgence de son hôpital, on dit voir davantage de problèmes cardiaques chez les jeunes adultes, qui ne sont jamais signalés au Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS) comme des effets indésirables potentiels des « vaccins » COVID.
Une autre infirmière, Jennifer, affirme que les infirmières des salles d’urgence disent en privé qu’elles voient « toutes les coagulations, les saignements et les choses que l’on pourrait attendre du vaccin six mois plus tard – hémorragies cérébrales, crises cardiaques chez des jeunes de 50 ans. Aucun médecin n’admettra que c’est dû au vaccin. Ils ne feront pas le rapport VAERS. »
- Après le reportage du Guardian sur les tendances alarmantes dans les hôpitaux du comté de Ventura, d’autres infirmières se sont manifestées pour dénoncer une augmentation des problèmes cardiaques inexpliqués, des accidents vasculaires cérébraux et des caillots sanguins dans les populations locales de patients vaccinés.
Ils affirment également que les médecins refusent de considérer qu’il pourrait s’agir de réactions indésirables aux vaccins Covid.
Sam, infirmier dans une unité de soins intensifs d’un hôpital du comté de Ventura, s’est présenté parce que « j’en ai assez de tout ce m…. qui se passe », a-t-il déclaré au Guardian. « C’est fou comme plus personne ne se pose de questions. » https://www.thegatewaypundit.com/2021/12/brain-bleeds-heart-attacks-younger-50-year-olds-no-doctor-will-admit-vaccine-wont-make-vaers-report-southern-california-nurse/