Pendant ce temps n’oublions pas le dossier des vaccins. Les Américains arrivent aux mêmes conclusions que nous : Pfizer a enterré ses données dans le processus d’autorisation – la fraude est devenue évidente – elle pourrait perdre ses protections.
Mois : mars 2022
Et en France les médias disent qu’il n’y a que de légers effets indésirables, aucun de grave, et pas de mort. Magique !
Et nous sommes censurés et avons été « fact checkés » pour avoir dit que c’était possible ! Le 1e mars dernier, le conseil de prud’hommes d’Alençon a statué en faveur de la requérante, une infirmière suspendue de ses fonctions depuis l’entrée en vigueur de l’obligation vaccinale pour les soignants. Cette dernière a invoqué sa situation familiale précaire et son état de santé pour justifier son choix. Le tribunal a entendu ses arguments et a estimé que la législation européenne l’autorisait à refuser la vaccination, à ce stade considérée comme un médicament expérimental.
L’infirmière, travaillant à l’EHPAD Les Laurentides à Tourouvre-au-Perche dans l’Orne, a obtenu sa réintégration mais aussi le versement des salaires non payés pendant les cinq mois qu’a duré sa suspension. Vous trouverez le détail vers cette décision ici (lien qu’un de nos lecteurs a eu la gentillesse de partager en commentaire)
Un risque disproportionné qui pèse sur son état de santé fragile et sur sa situation familiale précaire
L’infirmière justifie son refus de la vaccination pour les motifs suivants :
La requérante est malheureusement atteinte d’un cancer pour lequel “elle doit endurer des traitements très lourds, explique le conseil des prud’hommes dans sa décision, et dont elle déclare qu’il a fallu quatre ans pour éliminer de son corps la chimiothérapie.“
Elle élève également sa fille de 16 ans seule et n’a pas voulu prendre le risque de se faire injecter un vaccin “dont l’autorisation de mise sur le marché n’est que conditionnelle et dont on ne connait pas toutes les incidences en termes d’effets secondaires.”
On peut se féliciter que la juridiction soit sensible à cette situation personnelle délicate et à aux inquiétudes de la requérante qui paraissent tout à fait fondées – mais l’on peut aussi regretter que le tribunal ait besoin de telles justifications pour arrêter sa décision, la simple reconnaissance de son choix devrait suffire …
La législation européenne l’autorise à refuser un médicament expérimental
Le conseil des prud’hommes d’Alençon estime dans sa décision que “la législation européenne l’autorisait à refuser ce traitement dans la mesure où à ce stade il doit être considéré comme un médicament expérimental.”
L’Organisation mondiale de la santé a conseillé à l’Ukraine de détruire les « agents pathogènes à haut risque » dans les laboratoires de santé publique du pays afin d’éviter « tout déversement potentiel » qui pourrait infecter la population pendant l’invasion russe, rapporte Reuters.
« Dans le cadre de ces travaux, l’OMS a vivement recommandé au ministère de la Santé ukrainien et aux autres organismes responsables de détruire les agents pathogènes à haut risque afin de prévenir tout déversement potentiel », a déclaré l’agence des Nations unies.
Le rapport intervient après un va-et-vient tendu entre les responsables américains et russes au sujet des laboratoires biologiques « dangereux » du pays. La Russie, puis la Chine, ont accusé l’armée américaine d’être impliquée dans les laboratoires biologiques ukrainiens.
Mercredi, la porte-parole du ministère russe des affaires étrangères, Maria Zakharova, a réitéré une affirmation de longue date selon laquelle les États-Unis exploitent un laboratoire de guerre biologique en Ukraine, une accusation qui a été démentie à plusieurs reprises par Washington et Kiev.
Mme Zakharova a déclaré que les documents découverts par les forces russes en Ukraine montraient « une tentative urgente d’effacer les preuves des programmes biologiques militaires » en détruisant les échantillons de laboratoire. -Reuters
Les États-Unis ont nié ces allégations – publiant (entre autres) une déclaration jeudi selon laquelle « les États-Unis n’ont pas de laboratoires d’armes chimiques ou biologiques en Ukraine », ajoutant que l’Amérique « ne développe ni ne possède d’armes chimiques et biologiques nulle part ».
- Ils admettent que sous la qualification de « thérapie génique », ils ne seront pas approuvés.
- Ils admettent la nature expérimentale de leur produit.
- Ils admettent les nombreux dommages inconnus qu’il peut causer