Mois : mai 2022
« Chers compatriotes.
Je vous ai dis récemment que depuis le 1er Mars un groupe de négociation intergouvernemental s’est rencontré pour établir un calendrier pour remodeler les contrats entre l’OMS et les États membres.
Ces changements de traités visent à donner à l’OMS, dans l’éventualité d’une pandémie, de fait, une autorité gouvernementale sur les États membres. (Cf lien (https://t.me/ChrisInfosTrumpAndCo/5878) )
Sans impliquer ou consulter les gouvernements/parlements nationaux.
Mesdames et messieurs, cela signifie que le droit du peuple, le principe de base de toute démocratie est anéanti.
La composition de l’OMS n’est pas basé sur des élections démocratiques.
Leurs décideurs sont donc autorisés à émettre des instructions à votre encontre mais ne sont pas responsables des conséquences de celles-ci et ne peuvent être tenus responsables politiquement par vous.
En tant que citoyen, vous n’aurez alors même plus aucune influence politique sur qui vous confiez l’administration des droits fondamentaux, ces derniers temps cela a d’ailleurs été davantage le retrait de ces derniers…
J’ai donc soumis une question à la Commission européenne pour une réponse écrite.
J’ai demandé à la Commission dans quelle mesure elle veillerait à ce que les principes du pouvoir du peuple et de la responsabilité politique des élus soient préservés et que les citoyens ne soient pas soumis à l’arbitraire d’un corps non élu et qu’une de-démocratisation toujours plus poussée soit encouragée ici.
La réponse que j’ai reçue il y a quelques heures est claire :
« Pas une seule (mesure) ! »
Pas une seule fois la réponse ne mentionne les mots « citoyen », »démocratie », »droit du peuple » ou « responsabilité politique ».
En faisant cela,la Commission aurait pu renforcer la confiance des gens et exposé comme fausses informations et théories du complot tous les messages Telegram qui parlent de « Nouvel Ordre Mondial » ou de « Gouvernement mondial sous couvert d’OMS ».
En indiquant simplement que cela garantirait aux processus démocratiques de prises de décision de se maintenir.
La Commission aurait pu simplement indiquer que cela était important de ne pas contourner les citoyens et de ne pas les prendre de haut.
Mais ils ne l’ont pas fait ! »
(…)
Source:
https://youtu.be/ysDcFJ1AtXo
Une dizaine de pays de l’UE, dont le Danemark, la Suède, la Finlande et la Bulgarie, s’opposent au lancement d’une procédure pour changer les traités européens, comme le souhaite Emmanuel Macron et Ursula.
« 2000 Mules » est différent, radicalement à presque tous les égards sauf un. Vous n’entendrez jamais les arguments avancés dans le film dans les médias ou d’autres écosystèmes traditionnels.
Sauf que vous devriez. Et, si le film a l’impact qu’il mérite, cela pourrait très bien changer.
D’Souza est à nouveau au centre, mais cette fois, il aborde un sujet qui peut faire bannir quelqu’un par Big Tech – remettre en question les résultats des élections de 2020.
Nous sommes autorisés à douter de ce qui s’est passé en 2016, mais les responsables culturels insistent sur le fait que cela ne peut pas être appliqué à la bataille Trump/Biden. Et, pour être juste, l’équipe Trump a fait un travail moche en exposant son cas dans les semaines qui ont suivi la victoire éventuelle de Joe Biden.
Le film s’ouvre avec D’Souza et des stars de la radio de la galaxie Salem Media – pensez à Dennis Prager, Sebastian Gorka et bien d’autres – reconnaissant cette réalité. Ils sont également déchirés quant à savoir s’ils croient que les démocrates ont triché pour entraîner Biden sur la ligne d’arrivée.
«Je suis agnostique», dit Prager. La conversation est inconfortable et crue.
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D’Souza nous présente ensuite True the Vote, un groupe datant de 2009 qui se bat pour l’intégrité électorale. Ils ont enquêté sur les résultats présidentiels de 2020 d’une manière que les générations précédentes ne pouvaient pas. Ils ont examiné les empreintes de géolocalisation des personnes autour des urnes dans les États swing pour connaître leurs comportements au cours des semaines critiques précédant le jour du scrutin.
Et True the Vote sentait un rat.
« 2000 Mules » permet au groupe de partager méthodiquement ses découvertes, et c’est comme regarder une suite de « Vendredi 13 » au ralenti déchirant.
Est-ce notre pays ?
Les données de géolocalisation, glanées sur les téléphones portables, ont montré le mouvement de personnes surnommées «mules» qui déposaient des bulletins de vote dans des urnes dans des parties critiques du pays. Pensez au quartier d’Atlanta en Géorgie, par exemple.
Ce n’est pas un Joe ou Jane déposant les bulletins de vote de leurs parents ou voisins. Ce sont des gens avec une poignée de bulletins de vote, les déposant sournoisement à toute heure de la journée.
Les données suivent ces individus, montrant comment leurs schémas déclenchent l’alarme. Ces mules se sont rendues à plusieurs reprises dans des organisations à but non lucratif (vraisemblablement libérales) sur de courtes périodes de temps tout en visitant également les lieux de dépôt des bulletins de vote.
Encore et encore.
Méfiant. Mais « 2000 mules » a plus. True the Vote a également obtenu des images de vidéosurveillance de certains emplacements des urnes. Certaines mules portaient des gants chirurgicaux bleus tout en déposant les bulletins de vote, les retirant instantanément une fois l’acte accompli.
D’autres ont pris des photos d’eux-mêmes pour prouver qu’ils ont visité les boîtes en question.
Qui fait ça ?
Plus de questions demeurent. L’argent a-t-il changé de mains ? Qui se rend aux urnes en pleine nuit, avec ou sans gants ? Et pourquoi tant d’emplacements d’urnes manquaient-ils de séquences vidéo en premier lieu ?