

par Patrice Gibertie.
Vous les avez tous entendus se gargariser de statistiques fabuleuses sur l’efficacité vaccinale ! « On peut débattre de tout sauf des chiffres ! » Oui mais quand les chiffres sont pipés ! La DREES finit par reconnaitre mais la propagande se poursuit…
Depuis des mois je passe en revue toutes les informations officielles et je débusque les magouilles :
Le 31 juillet :
Les preuves de la magouille, le gouvernement communique 926 décès covid entre le 31 mai et le 11 juillet, il précise 720 non vaccinés, les chiffres officiels que l’on retrouve sur Geodes sont différents : il y a eu en réalité 1 880 décès covid sur la même période. Pourquoi avoir triché et magouillé ?
On apprend que les 926 décès correspondent à des personnes ayant un test PCR avant ou après l’entrée à l’hôpital. Étrange quand on sait que les vaccinés malades sont le plus souvent non testés, consignes obligent…
Soit la France est le seul pays au monde dans lequel les vaccinés deux doses représentent 2% des décès (partout ailleurs, Israel, UK, c’est plus de la moitié), soit c’est du truandage et les décès planqués sont dans leur immense majorité des vaccinés…
Décoder l’info et France Soir vous expliquent
Tout l’été, nous avons entendu que les cas covid dans les hôpitaux étaient principalement des non-vaccinés. Pierre s’est intéressé en statisticien à la validité des déclarations de Patrice Gibertie… pour les confirmer !
Il y a quelques jours, la DREES s’est fendue d’un addendum donnant raison au travail de « Décoder l’eco ». Il manquait bien 900 décès dans l’analyse, ce qui entraîne une inversion du message que 85% des hospitalisés étaient des non-vaccinés. Une correction qui fait un peu tache pour l’organisme se présentant comme « l’expertise statistique publique en santé et en social ».
Cette erreur a été justifiée par la DREES : cependant l’explication n’est pas convaincante pour le statisticien : il nous explique pourquoi en détail dans ce debriefing.
La DREES devra se fendre d’analyses supplémentaires pour fournir une analyse complète de l’effet de la vaccination. Les données sont là, et cela ne prendrait que quelques semaines pour une bonne équipe.
Les conséquences de cette erreur sont complexes à analyser, mais sans doute importantes : elles peuvent par exemple avoir affecté le consentement libre et éclairé des personnes qui auront été se faire vacciner sur la base de la déclaration du ministre.
Il devient critique pour les médias de questionner les chiffres et communiqués de presse du ministre : le diable est vraiment dans le détail et c’est la précision, l’intelligence collective et le travail de citoyens qui tentent de rebâtir une confiance. Comme le dit Pierre, « c’est facile de vérifier, faites-le ».
À quoi doit correspondre la situation de la France ?
La France a quelques semaines de retard sur Israël ou la Grande-Bretagne, ainsi en aout, en Israël, 390 personnes vaccinées deux ou trois doses sont décédées soit 58,5% des décès pour une population vaccinée qui représente à cette date 62% DES HABITANTS.
Présenté ainsi l’avantage vaccinal serait très très faible.
Calculés en décès pour 100 000 habitants on obtient 8 décès pour 100 000 non vaccinés contre 7 pour 100 000 deux ou trois doses…
15/09/21
Sydney,Australie
Des personnes se font arrêtés par la police car elles ont dépassé le quota autorisé pour assister à l’enterrement de leur proche.
Le mec à la caméra:
“Oh ils haussent le ton contre ceux qui vont voir leur proche.
(Il s’adresse ensuite au policier)
Alors vous les embarquez car ils vont voir leur proche (décédé)?
Ils vont juste les voir une dernière fois,vous les embarquez pour ça,c’est ça l’Australie?”
Policier:
“Quel est votre nom,montrez-moi votre carte d’identité.”
(Ils embarquent un autre près de lui)
Vous êtes en état d’arrestation pour poser des questions.”
Les fabricants de vaccins covid-19 ont obtenu des autorisations de mise sur le marché conditionnelles (AMMC) auprès de l’EMA (Agence européenne du médicament). Ces autorisations nécessitent le respect d’un calendrier comprenant des points d’étapes, notamment pour ce qui s’agit des demandes de renouvellement, qui doivent s’effectuer tous les six mois. De plus, certains documents sur la composition des vaccins entres autres choses, devaient être versés au dossier par les fabricants.
Saisi par trois associations dont BonSens, la LNLV (Ligne nationale pour la liberté des vaccinations) et l’AIMSIB (Association internationale pour une médecine scientifique indépendante et bienveillante), Me Teissedre avait d’abord envoyé un courrier à l’ANSM pour demander les informations. Devant l’absence de réponse, il a déposé un référé-liberté auprès du Conseil d’État pour enjoindre l’Agence nationale de sécurité du médicament à répondre à ses questions.
Questions importantes pour Me Teissedre, car les professionnels de santé sont soumis depuis hier à l’obligation vaccinale, sous peine de suspension de rémunération ou d’interdiction d’exercer. Une contrainte pour le moins importante, qui pose les questions de la discrimination, de la disproportion et du respect des droits fondamentaux, parmi lesquels le consentement libre et éclairé. Ce n’est pas la première fois que Me Teissedre interroge l’ANSM et remet en question son « obscure transparence ».
L’ANSM lui a répondu ce jour, avec un courrier en date du 7 septembre 2021: elle ne sait pas si les obligations réglementaires ont été respectées par les fabricants. Il aura donc fallu neuf jours pour faire parvenir cette réponse, alors qu’un simple courriel aurait suffi. Cela n’a pas empêché le gouvernement de pousser la représentation nationale à voter la loi sur l’obligation vaccinale et la mise en place du passe sanitaire fin juillet 2021, ni la décision du Conseil constitutionnel du 5 août 2021.
e professeur belge christophe de Brouwer[1] ex -professeur à ULB – Université libre de Bruxelles et ex Président de l’École de Santé publique à ULB [2] a publié sur son compte face book une très intéressante étude comparant les déclarations d’effets indésirables des pseudovaccins anticovid selon les différents pays européens.
Nous savons tous -et tous les sites répertoriant les toxicités des médicaments le rappellent depuis toujours- que les rapports officiels sur les effets toxiques sont toujours très inférieurs à la réalité avec un facteur de sous-estimations de 10 (voire 100 selon les auteurs).
La dernière évaluation des décès en UE (27 pays sur les cinquante de l’Europe) selon l’EMA est de l’ordre de 23500, ce qui permet de craindre au moins 200 000 décès dans le mois suivant l’injection (pour environ 112 Millions de vaccinés).
Pour environ deux millions d’accidents dont la moitié sont qualifés de graves, cela ferait environ vingt millions de personnes malades transitoirement ou handicapés à vie. (Ces chiffres estimés en prenant la fourchette basse de dix fois plus d’incidents que déclarés.)
Malgré ces chiffres incertains, on peut remarquer que certains pays pour une population inférieure déclarent beaucoup plus d’ennuis, comme les Pays- Bas. Voyons les conclusions du Professeur belge.
Déclarations des effets secondaires liés aux vaccins covid selon les pays européens entourant la Belgique.
Extrait de son post face book
« Nous avons examiné les effets secondaires déclarés par le VAERS (USA) et EudraVigilance en début de semaine (sur FB, commentaires).
Pour l’Europe, nous savons que ce sont les Pays-Bas qui déclarent le plus d’effets secondaires (en termes de cas individuel).
Si nous considérons les Pays-Bas comme un idéal à atteindre, en sachant que probablement là aussi nous avons un certain degré de sous-déclarations :
Combien les autres pays qui entourent la Belgique, auraient dû déclarer pour être au même niveau que les Pays-Bas ?
La réponse est édifiante. Je vous la mets en graphiques. (ci-dessus)
*Les données de nombre de vaccins injectés par Pays a été repris de l’Agence européenne ECDC :
*Les données d’effets secondaires ont été repris de l’autre agence européenne EudraVigilance, pour les 4 vaccins (Moderna, Pfizer, AstraZeneca et J&J : https://www.adrreports.eu/fr/search_subst.html
Pharmacovigilance en France [3]
Pour compléter les informations sur les effets secondaires des vaccins anticovid (et des médicaments en général ) il faut consulter le site de l’hôpital de Cholet et les publications du dr Amine Umlil dont sa présentation en aout 2021 au conseil scientifique indépendant ( CSI) de réinfocovid [4] .
Lors de ce CSI, une « analyse des données de la base de données de pharmacovigilance américaine (VAERS) » par Christine COTTON. Et quelques notions utiles et notamment celles relatives au « lien de causalité en pharmacovigilance et en justice entre un effet indésirable et un médicament suspect » – par Amine UMLIL.
Mais on doit regretter que la direction de l’hôpital de Cholet ait cru bon de supprimer le 27 Juillet toute référence au dr Umlil patron du centre de pharmacovigilance et auteur de très nombreux articles qui ont fait la réputation du centre.
En pleine discussion sur l’obligation vaccinale, est-ce normal d’instaurer la censure et de priver les citoyens de sources fiables d’information ?