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« On sait à présent que la vaccination ne permettra pas d’éradiquer le SARS-CoV-2 », dixit l’Académie de médecine !

Après l’OMS, c’est au tour de l’Académie de médecine d’avouer que la vaccination ne permettra pas d’éradiquer le Covid-19 ! Il reste néanmoins que les déclarations de l’Académie de médecine sont incompréhensibles puisqu’elle affirme que l’immunité collective n’est pas atteignable mais qu’il faut essayer de l’atteindre quand même ! Nous apprenons également que le célèbre et controversé virologue allemand, Christian Drosten, vient de découvrir que l’immunité naturelle est beaucoup plus solide et durable que l’immunité vaccinale !

Il semble de plus en plus évident que toute la propagande initiale de la Doxa est en train de s’écrouler sous nos yeux. Tout ce qui consistait à vendre la solution vaccinale comme la panacée, ce qui allait sauver l’humanité de l’extinction, est totalement faux et mensonger.

Mais ce sont bien les vaccins qui permettront de faire évoluer l’épidémie « vers un profil d’infection banale à recrudescence saisonnière », selon l’Académie de Médecine.

«On sait à présent que la vaccination ne permettra pas d’éradiquer le SARS-CoV-2», le coronavirus provoquant le Covid-19, a reconnu mercredi, dans un communiqué, l’Académie de médecine, l’instance censée porter le discours de la discipline en France.

Depuis plusieurs semaines, les données s’accumulent pour témoigner d’une moindre efficacité des vaccins face au variant Delta du SARS-CoV-2, nettement plus contagieux. Des vaccinés ont, en proportion non négligeable, été infectés par le virus, même s’ils restent très bien protégés contre les formes graves. Il devient donc difficile d’envisager l’immunité collective, c’est-à-dire un seuil suffisant de personnes immunisées pour que l’épidémie ne progresse plus.

Une « infection banale à recudescence saisonnière »

Pour autant, l’Académie de médecine appelle à « ne pas renoncer » à cette immunité collective. Car une nuance de taille est souvent mal comprise. L’immunité collective ne revient pas à faire disparaître complètement le virus. L’objectif, c’est que le nombre de contaminations reste stable au fil du temps ou, du moins, ne connaisse que des fluctuations régulières au fil des saisons.

Et c’est la vaccination du plus grand nombre qui permet d’accélérer cette évolution « vers un profil d’infection banale à recrudescence saisonnière », selon l’Académie.Pour cela, le rôle initial des vaccins ne fait quasiment aucun débat au sein de la communauté scientifique.

Mais, au-delà, il est moins évident de trancher la question de la stratégie des années à venir. Doit-on tout miser sur les vaccins et multiplier les rappels pour compenser leur perte d’efficacité ? « L’objectif, ce n’est pas de continuer à devoir vacciner pour l’éternité », a nuancé début septembre le virologue allemand Christian Drosten, sur la chaîne NDR.

Une immunité globale construite par briques

Selon lui, pas de doute, il faut actuellement vacciner le plus de personnes possibles, afin d’éviter qu’une première rencontre avec le virus se traduise par une forme grave de la maladie. Mais, par la suite, on pourra laisser des infections se produire en grand nombre parmi la population, du moins quand les personnes ne sont pas à risque.

Chez des individus déjà vaccinés, ces contaminations auront peu de risque d’être dangereuses, selon le virologue, qui table ainsi sur une immunité globale construite par briques successives (vaccin et infection naturelle).

M. Drosten, qui exprime là une position personnelle, se base sur une notion cruciale, celle qu’une infection par le virus permet d’être immunisé plus longtemps et plus efficacement que si l’on a été vacciné.

Fin août, une étude rétrospective menée sur plusieurs centaines de milliers de personnes en Israël – pays particulièrement en avance pour la vaccination – concluait que les contaminations étaient nettement plus fréquentes chez les personnes vaccinées que chez celles ayant déjà été infectées par le virus.