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Les vaccins protègent-ils vraiment ? les services de Véran exposent officiellement leurs doutes

Les vaccins protègent-ils vraiment contre la contamination et contre la contagion ? Ces questions éminemment complotistes ne sont pas posées par des officines exotiques… mais par les services du ministère de la Santé eux-mêmes, sous l’autorité du grand gourou Olivier Véran. Ces hauts fonctionnaires prêts à nous imposer de façon plus ou moins autoritaire la vaccination obligatoire sont aussi les premiers à douter de leurs propres potions. Ahurissant !

Les vaccins protègent-ils vraiment contre le COVID ? Et plus précisément, empêchent-ils d’attraper le COVID ou de transmettre le COVID ? Cette question jugée totalement complotiste par la presse mainstream (toujours prête à débusquer tous ceux qui ne confondent pas discours officiel et information) n’est pas posée par des hurluberlus… mais par les services du ministère de la Santé lui-même, lors d’une audience en référé devant le Conseil d’Etat.

Pour notre plus grand malheur, le Conseil d’Etat n’a pas fourni les documents préparatoires de cette audience. Mais l’ordonnance qu’il a prise à son issue (que nous détaillons ici avec la circulaire de riposte du ministère de la Santé) est sans ambiguïté sur la méfiance d’Olivier Véran et de ses services vis-à-vis du vaccin. 

Nous reproduisons ici l’attendu numéro 10 de l’ordonnance, qui fait état de cette méfiance. Selon l’administration (de la Santé), des « études récentes » invitent à la « prudence » quant à l’absence de contagiosité des personnes vaccinées, et quant à « l’immunité conférée » par le vaccin. Cette prudence justifierait que les résidents d’EHPAD, même vaccinés, soient interdits de sortie : faire une promenade en famille risquerait de les exposer à la contagion, ou de favoriser des contaminations. 

Avec malice, le Conseil d’Etat souligne que la Haute autorité de santé a pour sa part considéré que cette méfiance n’était pas de mise. 

Il y aurait donc des anti-vaccins dans la bureaucratie de l’avenue de Ségur, qui ont le droit de s’exprimer au nom d’Olivier Véran devant le Conseil d’Etat ? Savoureux. 

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le monde du spectacle poursuit la mobilisation avec l’occupation de l’Odéon

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Merkel plombée par une affaire de corruption de députés de la CDU lors d’achats de masques

Deux députés de la CDU sont soupçonnés d’avoir obtenu des avantages financiers dans des opérations d’achat public de masques contre le Covid-19. Un scandale qui ternit l’image du parti d’Angela Merkel.

Le Parti chrétien-démocrate allemand (CDU) et son allié bavarois (CSU) tentent d’en finir, à quelques jours de scrutins clés, avec «l’affaire des masques» dans laquelle sont impliqués deux parlementaires, en exigeant de ses députés qu’ils déclarent d’éventuels avantages perçus.

Les députés doivent ainsi assurer d’ici le 12 mars au soir qu’en 2020 et 2021, ils n’ont retiré aucun avantage financier, directement ou par l’intermédiaire d’une entreprise, de l’achat ou de la vente de produits médicaux tels que des équipements de protection anti-Covid, selon un courrier adressé par les chefs du groupe parlementaire CDU-CSU.

«En tant que membres du Bundestag, nous considérons que nous avons une responsabilité particulière pour assurer le bien commun. C’est particulièrement vrai dans une crise telle que la pandémie actuelle. La mauvaise conduite d’individus ne doit pas jeter le discrédit sur l’ensemble d’un groupe parlementaire», écrivent Ralph Brinkhaus (CDU) et Alexander Dobrindt (CSU) dans une lettre adressée aux 244 membres du groupe.

Les deux députés exclus de la CDU

Cette demande fait suite à l’affaire dite «des masques», impliquant deux députés, Georg Nüsslein (CSU) et Nikolas Löbel (CDU).

Les deux parlementaires ont touché, directement ou indirectement, des commissions de plusieurs centaines de milliers d’euros sur des achats de masques. Ils ont depuis été poussés hors de leur parti. Nikolas Löbel a quitté son siège au Bundestag, Georg Nüsslein assurant lui qu’il ne se représentera pas aux élections du 26 septembre.

Cette affaire, qui a entraîné l’ouverture d’une enquête pour fraude et corruption par le parquet de Munich (sud) et des perquisitions, tombe au mauvais moment pour le parti de la chancelière allemande, à quelques jours de scrutins régionaux qui auront, le 14 mars, valeurs de tests.

Le parti CDU a ces derniers jours perdu plusieurs points dans les sondages, même s’il reste en tête des formations politiques.

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Le patron de BFM TV, qui assurait qu’aucun employé n’avait été arrêté dans un resto clandestin, y mangerait lui-même

Marc-Olivier Fogiel, directeur général de BFM TV, est lui-même allé dans le restaurant clandestin à Paris où plusieurs journalistes de la chaîne ont été verbalisés en février, affirme Le Canard enchaîné.

Lors d’une descente de police le 24 février dans un restaurant clandestin parisien, de nombreux journalistes de BFM TV ont été verbalisés. Marc-Olivier Fogiel, patron de la chaîne, a assuré à l’époque qu’«aucun journaliste ni consultant de BFM TV n’a été arrêté» dans un établissement clandestin «à Paris fin février». Mais selon Le Canard enchaîné, M.Fogiel est lui-même allé dans ce restaurant situé près du siège de la chaîne.

«Secret de polichinelle»

Ainsi, le 9 février, le Palmipède cherche à le joindre à propos du départ de la journaliste Ruth Elkrief. Il apprend que M.Fogiel déjeune dans un restaurant clandestin où, «secret de polichinelle, il a son rond de serviette». Il est 13h13 et Le Canard appelle l’établissement en question. Une dame décroche.

«Bonjour, nous n’arrivons pas à joindre Marc-Olivier Fogiel dans son bureau, mais nous savons qu’il déjeune régulièrement dans votre restaurant. Pourriez-vous nous le passer?», demande Le Canard.

«Pas de problème, ne quittez pas», répond la dame. Selon le journal satirique, son journaliste entend que l’interlocutrice traverse, en talons, «tout le restaurant», le téléphone à la main, afin de le donner à M.Fogiel. «Un appel pour vous», dit-elle.

Après un «long» silence et des bruits de frottement, il prend le combiné: «Allô, oui?».

«Allô, bonjour, c’est Le Canard enchaîné. Bon appétit, Marc-Olivier Fogiel!»

Pas fermés «pour tout le monde»

La gêne est «palpable» à l’autre bout du fil. «Cela fait plaisir que de voir que les restos ne sont pas fermés pour tout le monde», glisse le journaliste.

Au terme d’une conversation sur le départ de Ruth Elkrief, Le Canard conclut: «Eh bien, au revoir, et encore bon appétit!». «Merci, oui, je suis en train d’emporter de la nourriture», répond le patron de BFM TV.

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Pourquoi il faut s’opposer à un Pass sanitaire

par Finn Andreen.

La lutte pour la préservation de ce qui reste de liberté en Occident doit continuer. Nous devons rejeter les tendances liberticides de l’État, notamment avec le pass sanitaire.

Les rumeurs à propos de l’arrivée d’un pass sanitaire pour la Covid-19 deviennent de plus en plus concrètes. De nombreux signes rendent probable son introduction en France et ailleurs. Il s’agirait d’une sorte de laissez-passer qui permettrait uniquement à ceux qui le détiendraient d’accéder à des lieux tels que les restaurants, les cafés, les musées, les expositions, etc.

Le pass sanitaire sur le plan pratique

La première critique d’un pass sanitaire doit se faire sur le plan pratique. Pour qu’il fonctionne, il doit garantir qu’une personne ne soit pas en mesure de contaminer autrui. Mais si une vaccination est suffisante pour obtenir un pass sanitaire, qu’en est-il de cette personne sur dix environ pour laquelle le vaccin est inefficace ? Qu’en est-il de la possibilité que des personnes vaccinées puissent encore transmettre la maladie ?

Si un test PCR négatif permet également d’obtenir un pass sanitaire, alors avec quelle fréquence faudrait-il devoir se faire insérer une tige dans le nez pour continuer à avoir le droit d’aller au restaurant ? De telles questions, et bien d’autres, suggèrent les difficultés à en faire une barrière efficace à la propagation du virus.

Et que dire de tous ces jeunes qui seront les derniers à recevoir le vaccin ou qui tout simplement le refuseront ? On voit bien qu’un pass sanitaire obligatoire pourrait entrainer une inégalité de traitement et un manque de respect de la vie privée (données médicales).

De plus, l’inefficacité et l’incompétence avec lesquelles le gouvernement français a géré la pandémie ont été tout simplement scandaleuses. Il ne serait donc pas impensable qu’il rate aussi l’introduction de ce pass, initiative aussi complexe sur le plan logistique que controversée sur le plan éthique. Mais l’orgueil du pouvoir politique ne connaît pas de limites, de sorte que les échecs passés n’empêcheront pas les échecs futurs.

Le danger sur le plan des libertés

Hormis ces obstacles pratiques, il ne faut pas sous-estimer l’atteinte à la liberté personnelle que constituerait un tel pass sanitaire.

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VIDEO : La Coordination santé libre monte en puissance

La troisième conférence de presse de la Coordination Santé Libre s’est tenue ce samedi 6 mars à Paris en présence d’une vingtaine de médecins. 

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En préambule, le Dr Guerin précise avoir envoyé des invitations à de nombreux médias et s’étonne de l’absence de ces derniers. À croire que le sujet de la santé n’a d’intérêt que pour certains ou certains jours de la semaine ? Ceci est regrettable à plusieurs titres, car la coordination represente plus de 30 000 médecins et soignants et 100 000 patients, indique-t-elle.

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Des syndicats et associations demandent la dissolution de l’Ordre des médecins, jugé « inutile » et « nocif »

Dans une tribune publiée en ligne, mardi 9 mars, plusieurs syndicats de médecins et associations de patients demandent la dissolution du Conseil national de l’ordre des médecins (CNOM) qui, selon eux, « protège des professionnels de santé corrompus et maltraitants ». Les 26 organisations signataires jugent l’instance déontologique des médecins français « inutile » et « nocive ».

Pour le dire, ils s’appuient notamment sur le rapport « accablant » publié par la Cour des comptes en décembre 2019 : ce dernier pointait des sanctions trop tardives contre des faits d’agressions sexuelles et des comptes « souvent incomplets et insincères ».

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Ordres médicaux – Nous appelons les soignants à se vacciner, pas à soigner

par Jacqueline.

Les ordres des professions médicales s’attaquent à leurs adhérents par une tribune dans le JDD du 7 mars. Ils menacent les praticiens de faute déontologique, s’ils ne se vaccinent pas. Les soignants sont pourtant les mieux placés pour connaître le risque et l’inutilité de vaccins expérimentaux trop vite mis sur le marché. Il ne s’agit certes que d’une première sommation, mais ceux qui n’obéiront pas risquent de se voir retirer le droit d’exercer.

L’Ordre des Médecins interdit de soigner

De plus, au mépris du code de santé publique et du serment d’Hippocrate, l’Ordre des Médecins, menace ceux qui veulent soigner leurs malades du Covid.

Ainsi plainte est-elle portée contre les Prs Raoult, Perronne, Joyeux et les Drs Delépine, Zeller et Rezeau-Frantz.

Le vaccin, ça peut rapporter gros !

L’interdiction de soigner le Covid sous la pression des ministres de la Santé et avec la complicité de l’Ordre des Médecins a-t-elle été prise afin de promouvoir un vaccin miracle ?

Les conflits d’intérêts, relevés par la Cour des Comptes, entre l’Ordre des Médecins et les laboratoires ne sont que pure coïncidence. Aucun rapport avec la tribune du JDD, bande de complotistes !

La corruption de l’Ordre des Médecins est de notoriété publique

L’Ordre des Médecins est mal placé pour donner des leçons de déontologie. La Cour des Comptes l’analyse comme une institution corrompue. « Approximations, manques, erreurs » et même « écritures délibérément faussées », le pré-rapport de la Cour des Comptes cité par Le Canard Enchaîné étrille la comptabilité de l’Ordre qu’elle juge « insincère ». Elle met en cause au passage l’aménagement en 2016 du nouveau siège de la rue Léon-Jost à Paris qui aurait coûté presque le double du devis initial (8,8 millions d’euros contre 4,9 annoncés).

L’Ordre des chirurgiens-dentistes est en plein conflits d’intérêts

L’Ordre des chirurgiens-dentistes est également signataire. Il a d’ailleurs beaucoup de traits communs avec celui des médecins :

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l’AFP ment et nie que les vaccins sont expérimentaux

par Gérard Delépine.

Décodons les décodeurs de l’info qui nous trompent

Dans ce qui est présenté comme une désinfox, terme favori des médias au service du gouvernement, l’AFP prétend que l’utilisation actuelle des vaccins anti-covid-19 ne serait pas expérimentale et qu’elle serait conforme au code de Nuremberg. Ces deux affirmations sont mensongères !

Les vaccins anti-covid-19 actuels sont expérimentaux

Un traitement est expérimental tant que les essais phase trois n’ont pas été terminés, analysés, publiés et validés par les agences sanitaires et des médecins indépendants des firmes pharmaceutiques.

Actuellement aucun des vaccins anti-covid-19 mis sur le marché ne satisfait à ces exigences de sécurité et ils sont donc expérimentaux. Le plus avancé, celui de Pfizer, aura son essai phase 31 terminé dans deux ans, en 2023, d’après le site gouvernemental américain qui enregistre tous les essais sur l’homme (clinicaltrials.gov/ct2).

Ces vaccins expérimentaux ont été mis sur le marché avec une autorisation temporaire dite conditionnelle qui ne deviendra définitive qu’après l’examen par les agences des résultats définitifs des résultats des essais phase 3.

Il faut espérer que d’ici là les vaccinations par ces médicaments expérimentaux n’auront pas causé trop de dégâts.

L’utilisation d’un médicament expérimental constitue une expérience médicale, même si elle est autorisée par les agences du médicament

La différence avec les essais habituels est que la vaccination à grande échelle qui se déroule actuellement n’offre pas les précautions normalement prises en cas d’essai validé par les comités de protection des personnes.

Les vaccinés ne sont pas enregistrés comme faisant partie d’un essai et ne bénéficient pas d’une surveillance médicale renforcée comme cela est obligatoire dans les essais cliniques officiels. Leurs complications ne sont donc pas recensées de manière systématique et les résultats de cette vaccination ne sont pas évalués, ni publiés obligatoirement contrairement aux essais traditionnels.

Il est certes admis par la Convention d’Helsinki2,3, que faute d’interventions avérées, le médecin peut recourir à une intervention non avérée si, selon son appréciation professionnelle, elle offre une chance de sauver la vie – dans tous les cas, le consentement éclairé du patient est indispensable – ou préserver la santé du patient. Les nouvelles informations doivent être enregistrées et, le cas échéant, rendues publiques.

Or ce n’est pas le cas, car les informations concernant les vaccins sont sévèrement censurées en France4, empêchant tout débat démocratique et leurs complications ne sont découvertes que si les médias indépendants les révèlent. C’est uniquement par les journaux que l’on a appris la mort, après vaccination de nombreux pensionnaires d’EHPAD en France et à l’étranger. Pour tenter d’en savoir plus, beaucoup d’entre nous tentent d’explorer les bases de données officielles, mais c’est un parcours du combattant (décès classés par maladie, par tranche d’âges, etc.)5 et ne tient compte que des cas déclarés volontairement puisque les vaccinés hors essai calibré surveillé sont « bénévoles » et non soumis à surveillance stricte.

Un vaccin expérimental injecté sans consentement éclairé reprend l’attitude de certains médecins nazis

Xavier Bioy, professeur d’université à Toulouse-1 s’insurge à l’AFP de cette comparaison.

« C’est très fort : on compare des scientifiques avec des médecins nazis qui mettaient de l’acide dans les plaies des pauvres détenus qui se faisaient torturer dans les camps ».

Il a manifestement oublié que les médecins nazis, eux aussi scientifiques, ont pratiqué de très nombreux essais sur les vaccins :

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Dunkerque : prolongement du confinement pour trois week-ends

a préfecture du Nord a annoncé ce 9 mars que le confinement le week-end en vigueur à Dunkerque et sa région depuis le 27 février, sera prolongé pour les trois prochains week-ends en raison d’une situation sanitaire jugée difficile. Le confinement le week-end entré en vigueur dans le Dunkerquois le 27 février, initialement jusqu’au 7 mars, sera prolongé pour les trois prochains week-ends, a annoncé le 9 mars la préfecture du Nord. Cette prolongation, dans le Dunkerquois, et la Communauté de communes des Hauts de Flandre répond à une situation sanitaire «qui demeure particulièrement tendue et justifie le maintien de mesures fortes a ajouté la préfecture dans un communiqué. 

«Les premiers effets des mesures déployées depuis le 13 février, et notamment le confinement le week-end, commencent à se ressentir, avec une baisse des taux d’incidence observés ces deux dernières semaines,» note-t-elle toutefois.  Le reconfinement de Dunkerque a été annoncé sur place le 24 février par le ministre de la Santé Olivier Véran, qui s’est inquiété de l’incidence «alarmante» de l’épidémie de coronavirus. Les mesures concernent les 17 communes (dont Grande-Synthe et Gravelines) de la Communauté urbaine de Dunkerque, et les 40 communes (dont Bergues) de la Communauté de communes des Hauts de Flandre