Catégorie : Actualité
Effets secondaires OSEZ Témoigner !
L’homme primé aux Oscars s’est expliqué sur sa façon d’avoir strictement respecté les décrets gouvernementaux lors de la pandémie, écouté les experts de la santé sur les plateaux de télévision, de la vaccination, des confinements et du masquage. « J’y ai adhéré. … Je me cachais partout. Je gardais mes distances sociales. J’adhérais aux demandes qui m’étaient faites et je me sentais en colère contre les gens qui ne le faisaient pas. » Tout en adhérant pleinement au récit officiel construit autour du covid-19, ses rencontres dans la vie réelle vont bouleverser ses croyances et générer un sentiment de dissonance cognitive, pour finalement douter du récit officiel.
Alors qu’il se rendait en Grande-Bretagne, il a remarqué que beaucoup de gens ne respectaient plus les consignes faites par le gouvernement. « J’ai pensé, eh bien, ils vont avoir une dure journée à venir, il y aura des morts ici. […] Quand j’ai vu qu’il n’y avait pas un taux de mortalité énorme [en Grande-Bretagne], après avoir été personnellement témoin de ce qui se passait, j’ai commencé à me demander de plus en plus si ce qu’on nous disait était vrai ou non. »
Par curiosité Tim Robbins s’est rendu à une manifestation contre les restrictions à Londres et s’est rendu compte de la différence de traitement des médias sur les manifestants et la réalité du terrain. « J’ai vu la façon dont ils étaient décrits dans la presse, et ce n’était pas vrai. Ce n’étaient pas, vous savez, des nazis. C’étaient des gens qui croyaient en la liberté. »
Le gouvernement britannique admet que les vaccins ont endommagé le système immunitaire naturel des personnes doublement vaccinées. Le gouvernement britannique a admis qu’après une double vaccination, on ne sera plus jamais en mesure d’acquérir une immunité naturelle complète contre les variantes du Covid – ou éventuellement contre tout autre virus. Regardons donc la « vraie » pandémie commencer maintenant ! Dans son « Rapport de surveillance du vaccin COVID-19 » de la semaine 42, l’autorité sanitaire britannique reconnaît, à la page 23, que « les niveaux d’anticorps N semblent être plus faibles chez les personnes infectées après deux doses de vaccin ». Il est également précisé que cette baisse des anticorps est en fait permanente. Qu’est-ce que cela signifie ? Nous savons que les vaccins n’empêchent pas l’infection ou la transmission du virus (en fait, le rapport indique ailleurs que les adultes vaccinés sont désormais beaucoup plus susceptibles d’être infectés que les adultes non vaccinés). Les Britanniques constatent maintenant que le vaccin altère la capacité de l’organisme à produire des anticorps après l’infection, non seulement contre la protéine spike, mais aussi contre d’autres parties du virus. En particulier, les personnes vaccinées ne semblent pas produire d’anticorps contre la protéine de la nucléocapside, l’enveloppe du virus, qui est un élément crucial de la réaction chez les personnes non vaccinées. À long terme, les personnes vaccinées sont beaucoup plus vulnérables à d’éventuelles mutations de la protéine spike, même si elles ont déjà été infectées et guéries une ou plusieurs fois. Les personnes non vaccinées, en revanche, acquerront une immunité durable, voire permanente, contre toutes les souches du prétendu virus après l’avoir contracté naturellement, ne serait-ce qu’une fois.
Les premières compagnies d’assurance font marche arrière, car une énorme vague de dommages les attend.
Anthony Fauci confirme que le test PCR ne permet pas de détecter les virus vivants.
Anthony Fauci confirme que ni le test antigène, ni le test PCR ne permettent de dire si quelqu’un est contagieux ou non !!!
Tous les fondements de la soi-disant pandémie sont donc caducs.
Le test PCR était le seul indice d’une pandémie
Sans test PCR, pas de pandémie
Pour tous les collaborateurs de la presse, les médecins, les avocats, les procureurs, etc. C’est la dernière clé, la preuve ultime que toutes les mesures doivent être levées immédiatement
VEUILLEZ PARTAGER EN MASSE.👍🏿
Par contre, on imagine qu’elle était parfaitement bien vaccinée – avec ses 5 doses – afin d’éviter le satané Covid-19 ! Cette dame a été assassinée par les responsables politiques et administratifs, ce n’est pas la première, loin de là, ils sont des dizaines à mourir comme l’a indiqué un article du Canard enchaîné de mercredi dernier. La destruction de l’hôpital public a eu des conséquences, elle tue les malades, ceux qui ont besoin de soins. Il serait temps que la population se réveille et demande des comptes aux responsables de ce carnage, aux criminels coupables de ce désastre. Il faudra commencer par juger très sévèrement les traîtres membres du gouvernement puis ensuite les directeurs d’ARS et tous les cabinets de conseil privé impliqués. La peine de prison minimale sera de 30 ans avec des amendes exemplaires.
Il faudra enfin que la population se pose les bonnes questions comme par exemple : comment est-il possible de mourir aussi bêtement dans un pays qui dépense 250 milliards d’euros chaque année dans son système de soins ? Où va l’argent ?
La saturation des urgences en Indre-et-Loire a-t-elle mené à un drame, dimanche 25 décembre 2022 ?
La journée de Noël touche à sa fin pour un couple de Fondettes lorsque la sexagénaire commence à présenter des difficultés pour respirer.
Son mari la conduit aussitôt aux urgences de la clinique de l’Alliance à Saint-Cyr-sur-Loire (1). Là-bas, on lui explique qu’elle ne peut pas être prise en charge : elle doit appeler le 15 ou se déplacer aux urgences du CHRU Trousseau de Tours.
En arrêt cardiaque
Le couple rentre à son domicile d’où il contacte le Samu. La situation est prise au sérieux : une ambulance des sapeurs-pompiers est envoyée chez eux.
Alors que les secours sont en route pour Fondettes, le sexagénaire recontacte le Samu – sa femme est en arrêt cardiaque. À leur arrivée, les pompiers ne parviendront pas à la réanimer. Elle décède un peu après minuit.
Un accès critique aux soins en Indre-et-Loire
Depuis plusieurs semaines, la situation médicale est critique en Indre-et-Loire. Trois épidémies simultanées, des urgences saturées, des médecins généralistes débordés… Se soigner relève désormais du parcours du combattant.
Le 23 décembre, le CHRU Trousseau de Tours a demandé aux patients de ne plus se présenter directement aux urgences mais de passer impérativement par le Samu au préalable.