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Madagascar – Quand France info se ridiculise et désinforme … Le pays qui compte 2 décès par jour face au variant sud-africain reste fidèle à l’artémisinine

À en croire France Info, ce serait le grand revirement, l’abandon de l’artemesinine, le recours au vaccin salvateur… Le président se ferait même vacciner… C’est pipo !

Le président sous la pression de son opposition autorise les vaccins mais refuse d’y avoir recours pour lui et sa famille.

En un an, le pays a enregistré 360 décès pour 25 millions d’habitants, 120 fois moins que la France par million d’habitants…

Madagascar énerve la presse savante française ; pensez donc ces sauvages se soignent, comme les Chinois et une partie de l’Asie avec une plante anti paludéenne, l’armoise ou artemisinine.

Pire ils guérissent à la différence de l’Afrique du sud totalement inféodée à big pharma.

Le Monde moins ridicule que France Info nous dit la vérité en oubliant de préciser que pour le président, les vaccins actuels ne sont pas efficaces et qu’il entendait les réserver à l’opposition…

Andry Rajoelina persiste et signe. Un an jour pour jour après sa première prise de parole pour annoncer la fermeture des frontières de Madagascar à cause du Covid-19, le chef de l’État a évoqué lors d’une émission spéciale à la télévision, samedi 20 mars, ses doutes quant aux bienfaits de la vaccination. « Nous ne sommes pas contre le vaccin. Mais nous sommes en phase d’observation pour le moment. Il y a trop d’effets secondaires […] Personnellement, je ne suis pas encore vacciné et je n’ai pas l’intention de me vacciner », a déclaré le président en montrant face caméra une boîte de CVO+, la formule galénique du remède traditionnel à base d’artemisia Covid-Organics (CVO) qu’il a lancé il y a près d’un an.

La production de CVO et de CVO+, dont Andry Rajoelina a fait le fer de lance de sa stratégie sanitaire, s’est accélérée pour faire face à la seconde vague de contaminations que connaît aujourd’hui Madagascar. Bien qu’aucune étude scientifique ne vienne pour le moment étayer les effets thérapeutiques de ces remèdes, la tisane devrait être bientôt distribuée gratuitement au niveau des fokontany (sorte de mairies de quartier) et des centres de santé de base.