Le Dr Daniel Neides a présenté des excuses émouvantes à ses anciens patients, admettant qu’il n’avait pas pleinement compris ni communiqué les risques et les détails entourant les vaccins au cours de sa carrière médicale.
« À ma connaissance, il n’existe aucune formation dans les écoles de médecine… sur les vaccins, leur contenu, les dossiers de sécurité, le consentement éclairé ou le programme d’indemnisation des victimes de vaccins », a-t-il déclaré en larmes.
En réfléchissant à sa formation, il a ajouté : « Qu’est-ce qu’on nous apprend sur les vaccins ? On nous apprend à mémoriser le calendrier vaccinal. »
Le Dr Neides a également souligné les près de 4 milliards de dollars versés aux personnes blessées par les vaccins depuis 1992, un fait dont, selon lui, la plupart des prestataires de soins, y compris lui-même, n’ont jamais parlé.
« J’étais l’un de ces professionnels de santé qui ne remettaient pas de fiches de sécurité avant la vaccination », a-t-il admis. « C’est absolument déplorable de ma part, et je présente mes excuses à mes patients. »
❇️ Les témoignages poignants des victimes ❇️ La maltraitance médicale et les jugements hâtifs ❇️ Le déni, la non-assistance ❇️ Les assurances qui refusent la prise en charge des frais médicaux ❇️ Des témoignages sur le traitement infligé à ceux qui violaient la loi du silence ❇️ La loi modifiée en amont (mai 2020), limitant les compensations
😱 Une idée de la sous-reconnaissance des dommages ? Un médecin témoigne : « Sur les quelque 150 ou 160 patients post-vac que je soigne, AUCUN n’a été reconnu comme ayant subi un dommage dû au vaccin, bien que la maladie soit apparue immédiatement après le vaccin »
🙏🏻 Puissent ces témoignages offrir également des pistes d’espoir ou de traitement à ceux qui en ont besoin.
Au-delà des souffrances indicibles, il y a une résilience, un courage et une détermination qui forcent le respect, ainsi qu’un découragement tellement compréhensible qu’il devrait inciter à la compassion et au désir d’aider.
« S’accrocher et savoir que ce cœur intérieur est toujours là pour nous, afin que, quoi qu’il arrive, nous ayons toujours cette identité, nous-mêmes, et que nous recommencions à nous faire confiance. » Nike 🫶
➡️➡️🖱🔗 📽 sur Odysee (https://odysee.com/@vcuendet:1/IN-VISIBLE—2e-partie:7?r=GfgcXMkyNuAXMxwiKBa54SiaXQBebDMP) ⬅️⬅️
Chapitres : 00:00:00 JULIA – ÉTUDIANTE EN MÉDECINE 00:09:36 MÉDECIN-CHEF D’UN HÔPITAL EN ALLEMAGNE 00:10:26 KARL LAUTERBACH – MINISTRE DE LA SANTÉ 00:10:46 JOACHIM CÄSAR-PRELLER – AVOCAT 00:16:21 KARL LAUTERBACH – MINISTRE DE LA SANTÉ 00:17:18 MÉDECIN-CHEF D’UN HÔPITAL EN ALLEMAGNE 00:21:12 PETRUS – MUSICIEN ET INFIRMIER 00:27:18 NICOLE – ANCIENNE ASSISTANTE SOCIALE 00:34:36 NIKE – ATHLÈTE DE HAUT NIVEAU 00:46:02 LOUIS LEON – ÉTUDIANT EN DROIT ET SPORTIF DE HAUT NIVEAU 00:57:58 EVA – ATHLÈTE DE HAUT NIVEAU 01:06:56 MÉDECIN-CHEF D’UN HÔPITAL EN ALLEMAGNE 01:09:12 EVA – ATHLÈTE DE HAUT NIVEAU 01:10:04 MARION BIMMER – ING. DIPL. DIAGNOSTIC AUTO-ANTICORPS AGONISTES 01:13:41 MÉDECIN-CHEF D’UN HÔPITAL EN ALLEMAGNE 01:16:03 MARION BIMMER – ING. DIPL. DIAGNOSTIC AUTO-ANTICORPS AGONISTES 01:18:30 KARL LAUTERBACH – MINISTRE DE LA SANTÉ 01:19:08 JULIA – INFIRMIÈRE
🔗 📄 PDF de la transcription en 🇫🇷 (21 pages) (https://drive.google.com/file/d/1rCpPJ7ba2wZVJ5IpyUfnaF9wOFoJ_7mv/view?usp=sharing) avec les titres des différentes partie, afin de pouvoir y rechercher les traitements, par exemple.
À partir des données officielles du gouvernement italien 🇮🇹 concernant près de 300 000 personnes suivies pendant 30 mois, une étude historique évaluée par des pairs révèle que les vaccins à ARNm augmentent le risque de :
📈 Cancer en général : +23 % (statistiquement significatif) 📈 Cancer du sein : +54 % (significatif) 📈 Cancer de la vessie : +62 % (significatif) 📈 Cancer colorectal : +35 % (significatif)
📈 Cancers hématologiques : +31 % (non statistiquement significatif) 📈 Cancer de l’utérus : +77 % (non significatif) 📈 Cancer de l’ovaire : +86 % (non significatif) 📈 Thyroïde : +58 % (non significatif)
Modèles statistiques ajustés en fonction de l’âge, du sexe, des comorbidités, des antécédents de cancer et des antécédents d’infection par le SARS-CoV-2.
Les conclusions relatives à l’augmentation des risques de cancer après l’injection d’ARNm contre le COVID-19 sont cohérentes avec les données publiées précédemment.
Les auteurs soulignent que le « biais des vaccinés en bonne santé » a donné l’impression que les personnes vaccinées présentaient une mortalité toutes causes confondues plus faible (HR 0,42), car les personnes en meilleure santé, plus aisées et soucieuses de leur santé étaient plus susceptibles de se faire vacciner.
D’un point de vue biologique, il est impossible que les injections d’ARNm, qui transforment les organes vitaux en usines de protéines Spike toxiques et non humaines, réduisent la mortalité toutes causes confondues.
Il est important de noter que les auteurs avertissent que ce biais pourrait signifier que les risques réels de cancer sont encore PLUS ÉLEVÉS que ceux rapportés.
Une chose est claire : les campagnes de « vaccination » massive contre le COVID-19 ont déclenché une épidémie de cancer fulgurante.
À leur horreur, le scan final montre une progression très rapide du lymphome (c’est-à-dire une « explosion »), avec une croissance rapide ainsi qu’une propagation importante de nouvelles lésions (voir l’image de droite).
Ce fut le premier exemple d’un « cancer fulgurant » après la vaccination COVID publié dans la littérature médicale par le Dr Serge Goldman en 2021.
De nombreux rapports de cas ont été publiés dans la littérature médicale depuis ce premier cas. »
🔗 En savoir plus de Jeffrey Dach MD : https://jeffreydachmd.com/2023/09/rapid-progression-of-lymphoma-after-booster/
Lorsque vous examinez les études préalables à l’homologation du vaccin contre l’hépatite B, développé par Merck, la notice révèle quelque chose d’inquiétant : les enfants ont été surveillés pour détecter les effets indésirables pendant seulement CINQ JOURS.
« Nous ne connaissons pas les risques à long terme. Et nous injectons ce vaccin aux nouveau-nés pour une maladie qu’ils ne rencontreront probablement jamais. »
Le hic, c’est que le vaccin était initialement destiné aux groupes à haut risque : les toxicomanes et les travailleurs du sexe. Mais comme ces derniers ne l’ont pas utilisé, Merck a subi des pertes colossales.
Alors que s’est-il passé ?
🔹 Ils ont fait pression sur l’OMS pour qu’elle le rende obligatoire.
🔹 Ils ont poussé le CDC à l’ajouter au programme de l’enfance.
🔹 Ils ont financé Every Child By Two, une campagne soutenue par Rosalynn Carter.
Aujourd’hui ? C’est une industrie de 8 milliards de dollars par an, qui devrait atteindre 13 milliards de dollars d’ici 2032.
« Ce n’est pas seulement de la médecine, c’est un secteur d’activité important. » — Jillian Michaels
Les parents méritent la transparence. Ils méritent d’avoir le choix. Mais surtout, ils méritent la vérité.
Après un an d’obstruction, les avocats de Fauci ont admis que RFK Jr. avait raison depuis le début.
« Il n’y a aucune responsabilité en aval, il n’y a pas de tests de sécurité en amont… et il n’y a pas de coûts de marketing et de publicité, car le gouvernement fédéral ordonne à 78 millions d’écoliers de se faire vacciner chaque année. »
« Quel meilleur produit pourriez-vous proposer ? Il y a donc eu une véritable ruée vers l’or pour ajouter tous ces nouveaux vaccins au calendrier… car si vous respectez ce calendrier, cela représente un milliard de dollars par an pour votre entreprise. »
« Nous avons donc reçu tous ces nouveaux vaccins, 72 injections, 16 vaccins… Et cette année-là, en 1989, nous avons assisté à une explosion des maladies chroniques chez les enfants américains… TDAH, troubles du sommeil, retards de langage, TSA, autisme, syndrome de Gilles de la Tourette, tiques, narcolepsie. »
« L’autisme est passé d’un enfant sur 10 000 dans ma génération… à un enfant sur 34 aujourd’hui. »
Les cliniques de fertilité sont témoins d’horreurs qu’elles n’ont jamais vues auparavant :
Le sperme des hommes à une motilité réduite .
Les ovules des femmes ne parviennent pas à se développer en embryons viables.
Les embryons qui se forment présentent des niveaux alarmants de contamination non organique.
L’étude Pfizer du NEJM (juin 2021) a révélé un taux de fausse couche de 80 % chez les femmes vaccinées au cours de leur premier ou deuxième trimestre (0 à 20 semaines). Le risque de fausse couche de base est de 1 sur 6, ce qui est 7-8x plus élevé.
Le Dr James Thorp confirme :
Augmentation de 79% des malformations fœtales.
Des mortinaissances sans précédent.
La censure est endémique : les femmes sont réduites au silence.
Le Dr Christiane Northrup et une équipe de scientifiques (dont le Dr Hooker) ont analysé plus de 6 000 témoignages de femmes – dont beaucoup provenaient d’un groupe Facebook de 20 000 personnes – qui ont connu des perturbations menstruelles extrêmes après la vaccination :
Des personnes de 90 ans saignent à nouveau soudainement.
Les femmes perdent des caillots massifs pendant des semaines.
Cas tragiques de fillettes de 18 mois décédées d’hémorragie.
La desquamation du cylindre décidual – un phénomène rare où la muqueuse utérine se détache d’un seul coup – a été signalée par 269 femmes participant à l’étude. La plupart n’avaient même pas été vaccinées, ce qui suggère une possible excrétion virale ou une transmission environnementale.
Ce n’est pas normal. Ce n’est pas une coïncidence. Les vaccins semblent perturber les voies de coagulation et la fonction reproductive d’une manière jamais observée.
Quand le monde se réveillera-t-il ? Lorsque les jeunes femmes réaliseront qu’elles risquent de ne jamais concevoir à cause de cette injection, l’horreur sera inimaginable. »