
5 mai 2022du Dr Peter F. Mayer5,4 minutes de temps de lecture
Les conséquences de la vaccination se font sentir dans de plus en plus de pays. Après l’analyse des compagnies d’assurance maladie en Allemagne, l’étude de la Charité et des rapports privés, les dégâts des vaccins sont désormais également révélés en Californie. Les hôpitaux du sud de la Californie sont balayés par une vague de maladies causées par les vaccins, et certaines infirmières courageuses se sont manifestées.
« Pas plus tard qu’hier, j’essayais d’obtenir des conseils médicaux et de l’aide pour un homme de 42 ans (!!) qui a failli mourir le troisième jour et souffre depuis de problèmes de foie et de tests sanguins parfois catastrophiques.
Et que disent mes amis primarii et double docteur avec titre de professeur (maintenant tout d’un coup ? ) :
Son original Primarius Prof.Dr.med :
CECI N’EST ABSOLUMENT PAS UN CAS UNIQUE – au contraire, ces cas mystérieux arrivent par centaines dans nos cliniques (de Vienne) !
Dans la langue originale plus loin : C’est maintenant complètement incontesté entre collègues – l’ARNm était une expérience qui tourne actuellement de manière spectaculaire. Nous commençons tous à en parler publiquement aussi !! »
Mais avec le rapport de Californie
Dans le comté de Ventura, au nord de Los Angeles, les cas de problèmes cardiaques « inexpliqués », d’accidents vasculaires cérébraux et de caillots sanguins montent en flèche dans les hôpitaux de la région. Et de nombreux médecins locaux refusent de lier ces événements à l’injection du coronavirus de Wuhan (Covid-19).
Une infirmière de l’unité de soins intensifs d’un hôpital du comté de Ventura a signalé au Gardien de Conejo et a déclaré qu’il était » fatigué de toutes les conneries qui se passent ici « car l’établissement médical refuse de reconnaître l’éléphant dans la pièce.
» C’est fou que plus personne ne remette en question quoi que ce soit » , aurait déclaré la personne, qui se fait appeler Sam.
Sam dit qu’il y a eu une augmentation notable du nombre de jeunes ayant ce type de problèmes de santé graves après avoir reçu des injections d’Operation Warp Speed.
« Nous avons beaucoup de jeunes qui viennent chez nous », explique Sam. « Nous avons eu beaucoup d’accidents vasculaires cérébraux et de crises cardiaques. »

Deux semaines après la présidentielle, le dernier baromètre Viavoice – Les Assises du journalisme révèle la méfiance des Français envers le traitement journalistique de la politique. Seulement 47% d’entre eux dit avoir confiance dans le travail délivré par les journalistes concernant la politique.

EXTRAITS – Dans un essai décapant, Covid 19. Une autre vision de l’épidémie, le chercheur Laurent Toubiana explique pourquoi et comment les autorités ont, selon lui, menti aux Français pour leur faire accepter l’inacceptable.
«Ils ne pourront pas dire qu’ils ne savaient pas»: tel est le sous-titre du livre de Laurent Toubiana qui vient de paraître: Covid-19. Une autre vision de l’épidémie (L’Artilleur). Épidémiologiste et chercheur à l’Inserm (Institut national de la santé et de la recherche médicale), l’auteur est d’un naturel discret voire timide. L’anti-Raoult, en quelque sorte. En deux ans, il est pourtant devenu l’une des figures clés de cette mouvance hétérogène (elle court des antivax aux antipasse, en passant par les sceptiques et les anars) qui conteste la gestion sanitaire du coronavirus.

Dans le pays de l’informaticien psychopathe, où il y a de vrais médias de contre-pouvoir comme les émissions de Tucker Carlson dont je vous passe souvent des extraits, il ne peut raconter autant de mensonges. La preuve, le peuple américain n’est plus dupe. Pour les plus de 5 ans, 257 millions ont fait la 1ère dose, 54 ont refusé. 219 la 2ème 92 o,t refusé. 100 ont fait la 3ème 182 ont refusé… https://dailyexpose.uk/2022/05/04/74million-unvaccinated-231million-not-boosted-usa/

Un avocat marseillais assigne devant le tribunal d’Aix-en-Provence le laboratoire Pfizer pour faire reconnaître le lien de causalité entre le vaccin anti-Covid et des effets secondaires indésirables. L’audience aura lieu le 31 mai 2022.
Maître Lanzarone n’en est pas à sa première bataille contre le laboratoire Pfizer. L’avocat marseillais a déjà engagé des poursuites pour dénoncer la clause de non-responsabilité qui dédouane le laboratoire en cas d’effets secondaires indésirables liés à son vaccin anti-Covid.
Cette fois, Eric Lanzarone assigne Pfizer et l’Office Nationale d’indemnisation des accidents médicaux (ONIAM) au tribunal judiciaire d’Aix-en-Provence en référé-expertise. « Je demande au juge de nommer un collège d’experts médicaux pour qu’ils évaluent toutes les pathologies dont souffre ma cliente et qu’ils puissent établir le lien de causalité entre la vaccination et ces effets indésirables », explique l’avocat.
De la nausée à l’épuisement
Professionnelle de santé, la plaignante a dû se conformer à l’obligation vaccinale des soignants. Elle a reçu une première injection du vaccin Pfizer le 16 avril 2021. C’est là que ses problèmes ont commencé.
Dès les jours suivants, la praticienne ressent d’importantes nausées, une sensation d’ébriété, les oreilles bouchées en permanence comme en altitude, des maux de tête…
Un mois après l’injection, amaigrie et épuisée, elle doit cesser de travailler. Prises de sang, IRM cérébrale, IRM des conduits auditifs… les consultations de spécialistes s’enchaînent. Rien ne permet pourtant d’expliquer ses symptômes persistants. Un neurologue prescrit un angioscanner thoracique, qui révèle un emphysème modéré. Un pneumologue atteste un « syndrome post-vaccinal anti-covid durable ».

Le personnel de l’hôpital d’Oloron a été informé d’une fermeture des urgences, qui surviendrait du samedi 7 mai en soirée jusqu’à la fin de l’été. Seule la ligne de Smur serait conservée.
Une vive émotion s’est emparée subitement du personnel des urgences de l’hôpital d’Oloron, ce vendredi 6 mai. Les salariés ont en effet appris une triste nouvelle sur le devenir de leur service au beau milieu d’un rassemblement citoyen organisé devant l’établissement de santé.
« On nous a annoncé que les urgences fermeraient du samedi 7 mai à 19h jusqu’à la fin de l’été », explique une hospitalière qui tient à rester anonyme. « Seule la ligne du Smur (Service mobile d’urgence et de réanimation, ndlr) serait conservée pendant ce laps de temps ».
« Comment va-t-on s’occuper de la population ? »
« Cela impactera 9 temps pleins infirmiers, 6 temps pleins aides-soignants et 3 hôtesses d’accueil », poursuit la salariée. « Tous les membres du service sont très inquiets pour la suite : comment va-t-on s’occuper de la population du Haut-Béarn ? »
Le manque de médecins impacte durement l’hôpital d’Oloron depuis plusieurs mois. Cette pénurie a justement conduit à une fermeture des urgences durant 24 heures, du 6 mai à 9h au 7 mai à 9h. Une cinquantaine de personnes s’étaient rassemblées devant le service vendredi matin en signe de protestation.
Le personnel a demandé une « réunion d’urgence » avec la direction de l’hôpital d’Oloron dès ce vendredi à 14h.
« Cette situation va se prolonger », confirme seulement l’ARS
Contactée à de très nombreuses reprises, l’Agence régionale de santé n’a pas donné suite à nos demandes d’entretien. Dans un communiqué quelque peu laconique, l’ARS confirme toutefois ce vendredi soir qu’« à compter du samedi 7 mai 19h et le dimanche 8 mai : seul le SMUR d’Oloron sera opérationnel pour garantir la prise en charge des urgences vitales du territoire. Le service des urgences sera quant à lui fermé. La population ne doit pas se rendre aux urgences, mais appeler obligatoirement le 15 pour être orientée par les médecins régulateurs ».
Et de conclure : « Cette situation va se prolonger, le CH d’Oloron et l’ARS continuent d’explorer toutes les pistes pour favoriser une réouverture du service des urgences ».

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Le 15 avril 2022, l’Organisation mondiale de la santé a émis une alerte mondiale concernant une nouvelle forme d’hépatite aiguë sévère d’étiologie (cause) inconnue affectant des enfants auparavant en bonne santé au Royaume-Uni au cours du mois dernier. Des cas ont également été notifiés en Espagne et en Irlande. Les tests ont exclu tous les virus de l’hépatite précédemment connus.
L’annonce est intervenue après que l’Agence britannique de sécurité sanitaire (UKHSA) a récemment détecté des taux d’inflammation du foie (hépatite) plus élevés que d’habitude chez les enfants.
Au 25 avril, il avait été confirmé que les infections à l’hépatite avaient touché des enfants dans douze pays différents, la majorité de ces cas ayant augmenté au Royaume-Uni. Au moins 169 cas avaient été signalés à cette date et 17 enfants avaient nécessité une greffe du foie. Malheureusement, au 25 avril, 1 enfant avait malheureusement perdu la vie.
L’hépatite est une affection qui affecte le foie et peut survenir pour un certain nombre de raisons, notamment plusieurs infections virales courantes chez les enfants. Cependant, dans les cas sous enquête, les virus courants qui causent l’hépatite n’ont pas été détectés.
Les symptômes de l’hépatite comprennent :
- urine foncée
- caca pâle et gris
- la peau qui gratte
- jaunissement des yeux et de la peau (jaunisse)
- douleurs musculaires et articulaires
- une température élevée
- se sentir et être malade
- se sentir anormalement fatigué tout le temps
- perte d’appétit
- douleur au ventre
Une étude précédente menée pour le compte de Pfizer au cours du second semestre 2020 a révélé que le contenu des injections de Covid-19 et la protéine de pointe qu’ils ordonnent aux cellules d’une personne de produire, ne restent pas au site d’injection et circulent plutôt vers toutes les parties du corps pendant au moins 48 heures. Cependant, le temps qu’ils circulent/accumulent pourrait être beaucoup plus long, mais les scientifiques qui ont mené l’étude n’ont pris des observations que pendant 48 heures.
