


PARTAGER CET ARTICLE :Auteur(s): Pierre Lécot et Xavier Azalbert, pour FranceSoir–A+A
Vaccination et mortalité : une pétition demandant l’accès aux données des décès toutes causes selon le statut vaccinal dans le goulot d’étranglement technique du Sénat. Le 19 février 2022, l’épidémiologiste Laurent Toubiana a déposé une demande de pétition auprès du Sénat, afin d’obtenir l’accès aux données complètes des décès dans le cadre de l’enquête sur les effets secondaires des vaccins Covid-19. Il analyse et met en ligne depuis deux ans de nombreuses données sur la crise Covid-19.
Sa pétition, qui respecte pourtant tous les critères nécessaires à sa validation, est bloquée entre les mains de la commission de tri des pétitions qui décide de mettre, ou non, les pétitions déposées par les citoyens en ligne sur le site du Sénat. Le motif avancé est celui d’une « validation technique ». Ce blocage semble long au regard de l’urgence de l’analyse.closevolume_off
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Le Sénat a ouvert une commission d’enquête sur les effets secondaires suite à la pétition du Dr Julien Devilleger déposée le 14 janvier 2022. Le 10 février, avec 34 000 signatures, les sénateurs avaient décidé de ne pas attendre le seuil de 100 000 signatures déclenchant l’obligation pour les sénateurs d’examiner la pétition. Catherine Deroche, sénatrice LR observant une « dynamique » de la pétition, explique que les sénateurs s’en sont saisi pour « répondre aux inquiétudes qui s’expriment ». Elle est confiée à l’OPECST (Office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et technologiques).
La pétition déposée par Laurent Toubiana vise à adjoindre aux travaux de cette commission l’analyse des décès toutes causes afin de s’assurer que soit étudié avec attention les liens entre les décès et les injections. Pour cela, il est nécessaire de permettre à des chercheurs indépendants (sans liens avec le gouvernement ou les laboratoires), d’accéder aux données de décès par statut vaccinal. Plus d’un an après le début de la campagne vaccinale, des travaux simples vérifiant si, à âge égal, les personnes vaccinées meurent effectivement moins que les personnes non-vaccinées, et vérifiant s’il n’existe effectivement aucun lien entre la date de vaccination et la date de décès auraient pourtant dû être menées. Face au silence du Ministère, il convient que la commission d’enquête fasse toute la lumière sur ce sujet. Rappelons que la sénatrice Muller-Bronn avait déjà demandé accès aux données pour les chercheurs dans son allocution au Sénat le 13 octobre 2021.
En complément : justification de la pétition
La pétition repose sur deux éléments principaux qui justifient l’urgence de connaître le statut vaccinal des personnes décédées.
- De trop nombreux effets indésirables déclarés
- Des concordances entre les campagnes vaccinales et des périodes de surmortalité.
De trop nombreux effets indésirables déclarés
Le dernier rapport de l’ANSM [1] fait état de plus de 137 000 effets indésirables renseignés en France, dont ¼ sont considérés graves. L’ANSM ne publie pas aujourd’hui le nombre de décès ayant suivi ces déclarations d’effets indésirables. Le site Eudravigilance [2] (remontées de pharmacovigilance européenne) comptabilise plus de 17 000 décès ayant suivi une déclaration d’effet indésirable.
Table 1 : remontée des données Eudravigilance au 17/02/2022
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Des résultats similaires sont observés sur le site VAERS (remontées de pharmacovigilance des Etats-Unis).

La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a déclaré ce 27 février que les médias RT et Sputnik allaient être «interdits» de l’Union européenne. Mais une telle mesure sera-t-elle conforme aux législations nationales ? Les médias RT et Sputnik vont-ils être bannis de l’Union européenne ? C’est ce qu’ont assuré la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, et le chef de la diplomatie de l’Union européenne Josep Borrell ce 27 février. «Nous allons interdire dans l’UE la machine médiatique du Kremlin. Les médias d’Etat Russia Today et Sputnik, ainsi que leurs filiales, ne pourront plus diffuser leurs mensonges pour justifier la guerre de Poutine et pour semer la division dans notre Union. Nous développons donc des outils pour interdire leur désinformation toxique et nuisible en Europe», a déclaré Ursula von der Leyen. Un «bannissement» également promis par Josep Borrell lors d’une conférence de presse commune. Quelle légalité pour un tel «bannissement» ? La question de la conformité d’une telle interdiction, au regard en particulier des différentes législations nationales, se pose. Sur quelle base précise un média dont les employés exercent un métier journalistique peut-il être «banni» ? Le bannissement d’un média est une notion inconnue du droit Pour l’avocat de RT France Basile Ader, «le bannissement d’un média est une notion inconnue du droit, et difficilement compréhensible s’agissant d’un média français qui emploie plus de 100 journalistes français encartés !» La décision de bannir notre chaîne, dans laquelle travaillent 176 salariés, dont plus de 100 journalistes, est une violation de l’Etat de droit et va à l’encontre des principes mêmes de la liberté d’expression La présidente de RT France, Xenia Fedorova, a réagi en ces termes à l’annonce européenne : «La décision de bannir notre chaîne, dans laquelle travaillent 176 salariés, dont plus de 100 journalistes, est une violation de l’Etat de droit et va à l’encontre des principes mêmes de la liberté d’expression. Rien ne peut justifier cette censure.»
Selon une récente enquête, près de la moitié des 18-25 ans disent avoir constaté l’apparition ou l’aggravation d’un problème de la peau, pendant la crise sanitaire. Cela a pu les affecter psychologiquement
La pandémie de Covid-19 pourrait avoir accru les problèmes de peau, notamment chez les plus jeunes. C’est en tout cas ce que sous-entend une récente enquête de la Société française de dermatologie (SFD), relayée par le Huffington Post. Selon l’étude, 48 % des 18-25 ans déclarent l’aggravation de dermatose pendant la crise sanitaire. Psoriasis, acné… nombreuses sont les pathologies concernées.
Un mal difficile à gérer
Ces maladies ont toutes la particularité d’être visibles. L’étude explique donc qu’elles ont pu affecter la santé mentale des jeunes concernés, les poussant à s’isoler. Cela a pu être aggravé par les gestes barrières devenus incontournables pendant la crise. « J’ai de l’eczéma sur les mains. En plus du facteur stress que provoquait la pandémie, le lavage de mains, le masque et le gel hydroalcoolique ont aggravé mon eczéma », témoigne Dorian, 26 ans et bénévole à l’Association française de l’eczéma.

Depuis plus d’un an, nos « experts de la santé et vérificateurs de faits » de confiance nous disent que les vaccins à ARNm, dont Pfizer et Moderna, ne s’intègrent pas dans l’ADN cellulaire humain. Cependant, une nouvelle étude retentissante publiée dans Current Issues of Molecular Biology montre que les experts de la santé et les vérificateurs de faits avaient tort.
