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3e dose de vaccin anti-Covid : la Commission n’endossera pas de responsabilité en cas de problème

L’exécutif basé à Bruxelles a rappelé jeudi que l’Agence européenne des médicaments n’avait pas encore validé le principe d’une troisième dose, même si huit pays l’ont décidé.

Les pays membres de l’Union européenne (UE) ayant décidé de lancer des campagnes de rappel vaccinal contre le Covid-19 pourraient s’exposer à des risques juridiques accrus, dans la mesure où l’administration d’un rappel n’a pas encore été recommandée par l’Agence européenne des médicaments (AEM), a rappelé jeudi 26 août 2021 la Commission européenne.https://www.ultimedia.com/deliver/generic/iframe/mdtk/01124706/zone/62/showtitle/1/src/qqklxlf

L’AEM, régulateur européen du médicament, a fait savoir à de nombreuses reprises qu’elle ne disposait pas de données suffisantes pour pouvoir se prononcer sur l’éventuelle nécessité d’un rappel vaccinal contre le Covid-19 et son calendrier d’administration.

Les doses de rappel ne figurent pas à l’heure actuelle dans les autorisations de mise sur le marché des vaccins contre le Covid-19 et n’ont pas encore fait l’objet d’une évaluation scientifique par l’AEM faute de données suffisantes​, note la Commission européenne dans un communiqué adressé à Reuters jeudi. La responsabilité d’inclure les rappels dans les campagnes vaccinales nationales relève donc des États membres​, a précisé la Commission dans son message.

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Ecoutons avec le Dr Lenny Da Costa, comment ils ont fait en Inde pour vite stopper cette vague de Delta

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Résistance – Les chauffeurs routiers australiens s’engagent à bloquer toutes les routes principales dans le cadre d’une grève radicale contre le confinement

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Pass sanitaire : levée de boucliers des cafés et restos

Publié le 24/08/2021 à 05:10 , mis à jour à 06:43

l’essentielUne centaine de restaurateurs et cafetiers lancent une tribune pour dénoncer les conséquences du pass sanitaire sur leur activité et les contrôles d’identité par la police nationale.

Obligatoire dans les restaurants et les cafés, le pass sanitaire continue à faire débat. Un point devenu particulièrement épineux avec le passage de plus en plus fréquent de la police nationale, afin de vérifier l’identité des clients. Des contrôles censés faire barrage à la multiplication des faux pass sanitaires. Une situation très mal vécue par une centaine de restaurateurs et cafetiers toulousains qui ont décidé de lancer une tribune pour demander l’arrêt des contrôles de police qui ne font que crisper salariés et clients en accentuant la baisse d’activité. « Depuis dix-huit mois nous subissons des restrictions dans nos métiers alors que la grande majorité a parfaitement respecté les consignes gouvernementales pour faire reculer l’épidémie, martèle Yannick Grabot, gérant du bar Breughel l’Ancien. Une situation fortement dégradée depuis l’arrivée du pass sanitaire et pire, des contrôles d’identité des clients par la police. Vous pensez que le client a envie d’être contrôlé lorsqu’il vient déjeuner ! C’est désormais une ambiance de suspicion qui règne dans nos établissements. Nous demandons donc par le biais de cette tribune, l’arrêt des contrôles de police et que l’Etat nous fasse confiance. Autrement dit, laissez-nous gérer nos affaires ».

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«ll faut retirer cette loi de la honte» : la mobilisation anti-pass sanitaire persiste malgré l’été

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Le Danemark supprime son pass sanitaire à partir du 1er septembre

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Canada un syndicat de police refuse la vaccination !

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Il est encore temps pour certains, de ne plus être complices passifs,

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Le Ministre de la Santé Allemand a été hué par la foule. « Nazi raus ! » Traduction : Les Nazis dehors !

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COVID 19 – Est-il « complotiste » de dire qu’on nous prive de traitements qui marchent ?

Déclaration du Pr Perronne sur CNews :
« Il y a des études sérieuses qui montrent que si on prend de la vitamine D, on réduit de moitié le risque de mortalité de la Covid.



Il y a des études qui montrent que les gens qui ont une carence en zinc meurent davantage. »

COVID 19 - Est-il « complotiste » de dire qu’on nous prive de traitements qui marchent ?

En direct, le Pr Perronne confirme aussi l’efficacité de l’hydroxychloroquine, de l’ivermectine et même de la plante Artemisia Annua.

Le journaliste Pascal Praud est interloqué :

« Mais quel serait l’intérêt d’un gouvernement de nous plonger (dans le confinement) – c’est ça que je ne comprends pas ! »

Robert Ménard, sur le plateau, renchérit : 

« Je veux bien critiquer le pouvoir mais il n’y a quand même pas un complot – si c’est simple de soigner, je suppose qu’on nous l’aurait dit ! »

Nous comprenons leur réaction.

S’il existe des traitements efficaces contre la Covid-19, pourquoi ne seraient-ils pas recommandés par les autorités ?

C’est la question qui tue.

Et il faut y répondre. 

Prenons l’ivermectine : grâce à plus de 20 études randomisées, nous savons avec certitude que cette molécule a une très grande efficacité contre la Covid-19 – en prévention, en traitement précoce et à l’hôpital [1].

Et pourtant, ces dernières semaines : 

• L’Autorité européenne du médicament (EMA) a déconseillé ce médicament (« les données disponibles ne soutiennent pas son utilisation pour le Covid-19 en dehors d’essais cliniques ») ;

• L’Organisation mondiale de la Santé (OMS) a conclu que les preuves d’efficacité n’étaient pas « concluantes » et a déconseillé son utilisation en dehors d’essais cliniques ;

• Et l’Agence française du médicament (ANSM) a refusé d’accorder à l’ivermectine une « recommandation temporaire d’utilisation », estimant qu’on ne peut pas « présumer d’un bénéfice/risque favorable ».

C’est d’autant plus ahurissant que le risque de l’ivermectine est nul : il n’y a strictement aucun risque sérieux aux doses recommandées, ce qui est très rare pour un médicament.

Contrairement au vaccin AstraZeneca, par exemple (qui a notamment tué un étudiant en médecine en pleine santé), l’ivermectine ne cause pas d’effet indésirable grave. On le sait avec certitude, grâce à trente ans de recul et plusieurs milliards de doses prescrites, y compris à des enfants et des personnes âgées.

Il n’y a donc aucun risque à essayer (risque = 0), et plus de 20 études randomisées [2] qui montrent que l’ivermectine réduit la charge virale, évite les hospitalisations et sauve des vies (bénéfice = +++).

Et nous ne vous parlons même pas de son utilisation en Inde, au Zimbabwe ou au Mexique, où l’ivermectine a donné des résultats impressionnants sur les hospitalisations et la mortalité.

Mais si tout cela est vrai…

…cela voudrait dire que l’ANSM, l’EMA et l’OMS sont soit des imbéciles, soit de grands criminels.

Car dans cette hypothèse, ces agences seraient en train de déconseiller un traitement qui sauve des vies. 

Pour la plupart des gens, c’est un peu difficile à avaler.

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