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Coronavirus : le virus injecté à des volontaires

Jusqu’à 90 volontaires sains âgés de 18 à 30 ans seront contaminés dans un environnement sécurisé

Une étude qui exposera des volontaires au coronavirus, présentée comme la première mondiale du genre, doit commencer au Royaume-Uni dans les prochaines semaines, a annoncé mercredi 17 février le gouvernement, après approbation de cet essai clinique par les autorités chargées d’en vérifier l’éthique.

L’étude consistera à injecter une faible dose de coronavirus à jusqu’à 90 volontaires sains âgés de 18 à 30 ans dans un environnement sécurisé, a indiqué le gouvernement dans un communiqué.

L’essai tentera d’évaluer la plus petite quantité de virus nécessaire pour provoquer une infection, dans le but de développer des vaccins et des traitements contre la maladie.
« Bien qu’il y ait eu des progrès très positifs dans le développement de vaccins, nous voulons trouver les meilleurs vaccins et les vaccins les plus efficaces pour une utilisation à plus long terme », a déclaré le ministre chargé des Entreprises, Kwasi Kwarteng.

118.000 décès au Royaume-Uni

Il a expliqué que l’étude « aiderait à accélérer les connaissances des scientifiques sur la façon dont le coronavirus affecte les gens et pourrait favoriser le développement rapide de vaccins ».

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Didier Raoult reçoit le grand prix départemental pour la recherche en Provence

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Covid-19 – L’Union européenne commande 150 millions de doses supplémentaires de vaccin Moderna

La Commission européenne a annoncé mercredi un accord avec Moderna pour la fourniture de 150 millions de doses supplémentaires de son vaccin contre le COVID-19 en 2021, soit un quasi-doublement des volumes convenus précédemment avec l’entreprise biotechnologique américaine.

Dans le cadre de cet accord, dont Reuters avait fait état dès lundi, l’UE dispose d’une option sur 150 millions de doses supplémentaires en 2022. Soit, un total de 300 millions.

L’UE avait déjà passé commande de 160 millions de doses pour cette année. Les livraisons ont commencé en janvier avec l’objectif d’atteindre 10 millions de doses livrées d’ici fin mars. Des retards ont toutefois été enregistrés jusqu’à présent.

Avec cette nouvelle commande, qui a été confirmée par Moderna, l’UE recevra au total 2,6 milliards de doses de vaccins contre le COVID-19 auprès des différents laboratoires, a déclaré la Commission européenne.

L’UE s’est fixée pour objectif de vacciner d’ici la fin de l’été 70% des adultes qui composent sa population de 450 millions d’habitants.

« Cela nous rapproche de notre principal objectif: garantir que tous les Européens ont accès à des vaccins sûrs et efficaces le plus rapidement possible », s’est félicité la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen.

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Coronavirus: un médicament mis au point à l’hôpital de Tel Aviv guérit 96% des patients

A ce jour, le précieux remède a été testé avec grand succès sur trente patients hospitalisés dans un état grave. Chez 29 d’entre eux, l’état de santé s’est amélioré en deux à trois jours, et la plupart ont pu rentrer chez eux quelques jours après.

« Le médicament anti-inflammatoire est basé sur des exosomes qui sont libérés de la membrane cellulaire et utilisés pour la communication intercellulaire. Nous enrichissons les exosomes avec la protéine 24CD qui joue un rôle important dans la régulation du système immunitaire », explique le Dr Shiran Shapira, directeur du laboratoire du Pr Arber, qui dirige la recherche sur la protéine CD24 depuis plus de 20 ans.

« Le médicament administré par inhalation fonctionne de manière efficace et n’entraîne aucun effet secondaire. Il peut aussi être produit rapidement et à bas coût, ce qui permettrait une production mondiale en peu de temps, » a déclaré le professeur Arber.

Le nombre quotidien de nouveaux cas peine à baisser malgré le confinement général en vigueur depuis un mois qui doit prendre fin dimanche matin. Israël a franchi la barre des 5.000 décès liés au Covid-19 jeudi soir.

En parallèle, la campagne de vaccination fonctionne de manière spectaculaire, plus de 3.3 millions de personnes ayant reçu la première dose et 1.9 million les deux doses.

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Covid-19 : quels sont les profils des quatre nouveaux membres du Conseil scientifique

Trois médecins et un vétérinaire viennent renforcer le Conseil scientifique chargé d’éclairer les décisions du gouvernement sur la crise du Covid-19.

Le Conseil scientifique créé en mars 2020 pour accompagner le gouvernement dans la gestion de la pandémie de Covid19 compte désormais 17 membres. Quatre nouvelles personnalités y font leur entrée mercredi 17 février, comme l’indique un décret paru au Journal officiel. Ces nouveaux membres sont des spécialistes des maladies infectieuses mais aussi d’autres disciplines telles la santé des jeunes ou la gestion du grand âge.

>> Covid-19 : où sont passés les avis du Conseil scientifique ?

Cela fait un mois que le Conseil scientifique n’a pas publié d’avis sur le site du ministère de la Santé, même s’il poursuit son travail et ses réunions régulières. Le groupe d’experts présidé par le professeur Jean-François Delfraissy fonctionne par notes envoyées au gouvernement, un peu loin des promesses de transparence de départ. Il faut dire qu’aujourd’hui, ses avis sur la meilleure façon de suivre le virus et de le contenir ne sont pas forcément suivis par l’exécutif, qui mesure aussi la difficile gestion des conséquences économiques et sociales des mesures de restriction de circulation en France.

Rééquilibrer les avis

Le conseil scientifique garde ses fondamentaux avec notamment l’arrivée de l’infectiologue Catherine Chirouze, cheffe du service des maladies infectieuses au CHU de Besançon (Doubs), mais il s’ouvre à d’autres disciplines. Il fait ainsi entrer un gériatre, Olivier Guérin, chef du pôle gériatrie du CHU de Nice (Alpes-Maritimes) et président de la Société française de gériatrie et de gérontologie, et une pédopsychiatre, Angèle Consoli, qui exerce à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière, à Paris, et qui a notamment travaillé sur les troubles bipolaires.

Ces profils viennent renforcer le conseil scientifique où plusieurs disciplines scientifiques étaient déjà représentées : épidémiologie, virologie, modélisation, réanimation, infectiologie, sociologie ou encore anthropologie. Les avis du conseil seront ainsi rééquilibrés par rapport aux questions de santé mentale des jeunes ou de gestion du grand âge dans les Ehpad. Des questions sanitaires qui pèsent de plus en plus lourd dans une crise du Covid qui dure.

La présence d’un vétérinaire

Autre nouveauté, l’arrivée de Thierry Lefrançois. Il est vétérinaire, chercheur au Centre de coopération internationale en recherche agronomique pour le développement (Cirad) mais aussi spécialiste des maladies infectieuses. Il travaille notamment sur le concept One Health, une seule santé : celle des hommes, des animaux et de l’environnement. Même si l’équipe de l’OMS, lors de sa visite en Chine, n’a pas trouvé l’hôte intermédiaire qui a transmis le coronavirus de la chauve-souris à l’homme, on sait que de plus en plus de maladies infectieuses passent des animaux aux hommes.

L’apport d’un vétérinaire dans ce Conseil scientifique était réclamé depuis plusieurs mois, notamment par le député LREM Loïc Dombreval. L’Élysée s’y était engagé. La venue d’un vétérinaire permettra aussi aux autorités et aux autres membres du conseil de comprendre les leviers pour prévenir de prochaines pandémies. Une arrivée déjà saluée dans un communiqué par le ministre de l’Agriculture, Julien Denormandie.

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Antilles : les carnavaliers bravent les restrictions contre le Covid-19

Dans les Antilles, des centaines de personnes se sont réunies pour le carnaval et ce, malgré les interdictions liées aux mesures sanitaires pour lutter contre le Covid-19. Quelques tensions ont eu lieu avec les forces de l’ordre en Martinique. Malgré les interdictions de manifester pour cause de Covid-19, des centaines de Martiniquais et de Guadeloupéens ont décidé de braver toutes les règles pour défiler et festoyer durant le carnaval. Les masques et la distanciation sociale ont été mis de côté depuis le 14 février.

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Belgique – Le port obligatoire du masque jugé anticonstitutionnel

Le tribunal de police de Bruxelles a rendu un jugement, le 12 janvier dernier, acquittant un homme cité à comparaître pour non-port du masque, a indiqué jeudi son avocate, Me Hélène Alexandris. Le juge a motivé sa décision par le constat que le port du masque obligatoire dans l’espace public est anticonstitutionnel. La ministre de l’Intérieur Annelies Verlinden a précisé que le parquet avait fait appel de la décision.

Le tribunal a rappelé que les deux articles de loi relatifs à la sécurité publique, sur lesquels se fonde l’arrêté ministériel du 30 juin 2020, sur base duquel la contravention a été établie, sont des exceptions au principe de liberté de circulation.

Le juge a reconnu que la situation sanitaire actuelle justifie une restriction de la liberté de circulation et l’imposition de certaines mesures. Mais il a estimé que celles-ci doivent reposer sur des bases légales – or le législateur n’a pas légiféré pour autoriser les mesures restrictives prises par les différents ministres depuis le début de la crise – et qu’elles doivent être compatibles avec les autres droits en vigueur.

« Plus spécifiquement quant au port du masque, il est manifeste que le ministre règle de manière identique des situations différentes, à savoir des cas dans lesquels des personnes se retrouvent seules en rue ou au contraire dans une artère commerçante en compagnie de nombreux concitoyens. Régler des situations différentes de manière identique constitue une violation des principes d’égalité et de non-discrimination », a établi le juge.

Le 9 août dernier, le contrevenant avait été contrôlé aux Abattoirs d’Anderlecht sans porter un masque buccal. L’infraction se base sur l’arrêté ministériel du 30 juin 2020 qui impose à la population de nombreuses mesures restreignant drastiquement les libertés individuelles, pour tenter de ralentir l’épidémie de coronavirus.

La ministre de l’Intérieur a réagi soulignant que « la décision ministérielle, qui est la base juridique pour l’application des mesures corona, demeurait. Les arrêts rendus par le Conseil d’État ces derniers mois confirment également les bases juridiques sur lesquelles reposent les mesures du décret ministériel ».

Mme Verlinden a par ailleurs précisé que le parquet avait fait appel de la décision rendue le 12 janvier dernier par le tribunal de police de Bruxelles.

source : https://www.levif.be/actualite

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Jean Dujardin interpelle la ministre de la Culture sur la fermeture des salles de cinéma – photos

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Passeport vaccinal pour les voyageurs : « Cela va s’imposer peu à peu, comme les tests PCR aujourd’hui »

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Les tests PCR du Covid peuvent-ils être un moyen d’infecter ou d’implanter subrepticement des personnes ?

Les tests PCR du Covid sont administrés à l’aide d’un écouvillon de 15 cm de long qui passe par le nez et va jusqu’au fond de la gorge. Pourquoi ? Le coton-tige touche la plaque sensible du cribriforme et accède directement au cerveau. Ces tests comportent-ils un dessein subreptice ?

Les tests PCR du Covid qui sont en cours de déploiement dans le monde entier, conformément au plan 1-3-30 de la Fondation Rockefeller, sont le principal objectif de cette phase actuelle de l’opération Coronavirus. Plus le nombre de personnes testées est élevé, plus le nombre de cas positifs enregistrés est important, ce qui alimente le discours officiel de peur et la maintient en vie pour justifier une nouvelle tyrannie. Cependant, il se peut qu’autre chose soit également à l’œuvre. Nous devons nous demander si ces tests PCR du Covid ne seraient pas en fait une ruse pour accéder secrètement à notre organisme interne, en particulier à notre cerveau. Les écouvillons nasaux utilisés — appelés naso-pharyngés ou oro-pharyngés — sont incroyablement longs puisqu’ils mesurent environ 15 cm, ce qui signifie qu’ils atteignent l’arrière de notre gorge. Existe-t-il une raison médicale pour laquelle ces écouvillons doivent être de cette longueur ? J’ai couvert dans d’autres articles à quel point les tests PCR sont imparfaits et inadaptés. Ces tests pourraient-ils être utilisés pour infecter subrepticement des personnes avec un agent pathogène quelconque, administrer le vaccin qu’ils prétendent être encore en développement, ou même implanter des personnes avec des nanotechnologies telles que les puces électroniques ?

Tests Covid : S’agit-il d’accéder à la plaque Cribriform ou de la cibler ?

Tests Covid : S'agit-il d'accéder à la plaque Cribriform ou de la cibler ?

En anatomie humaine, la plaque cribriforme est un os médian important qui fait partie à la fois du crâne et du nez et qui transmet les nerfs olfactifs qui véhiculent le sens de l’odorat. Il s’agit d’une partie du corps très délicate et fragile.

Note du traducteur : la plaque cribriforme est étroite et profondément rainurée ; elle soutient le bulbe olfactif et est perforée par des foramines pour le passage des nerfs olfactifs. Les foramines situées au milieu de la rainure sont petites et transmettent les nerfs à la voûte des fosses nasales ; celles des parties médiane et latérale de la rainure sont plus grandes – les premières transmettent les nerfs à la partie supérieure de la cloison nasale, les secondes à la conque nasale supérieure. Une plaque cribriforme fracturée peut entraîner un dysfonctionnement olfactif, un hématome septal, une rhinorrhée du liquide céphalo-rachidien (LCR) et éventuellement une infection pouvant conduire à une méningite. La rhinorrhée du LCR (liquide clair qui s’écoule du nez) est très grave et considérée comme une urgence médicale. Source

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