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Un catholique peut-il voter Macron?

Un lecteur nous envoie cette synthèse sur l’impossibilité pour un catholique de voter Macron dimanche prochain.

A trois jours du deuxième tour de la présidentielle, il paraît indispensable de rappeler les raisons profondes pour lesquelles un catholique ne peut laisser Emmanuel Macron être réélu.

Extension de l’avortement à 9 mois, PMA, GPA, euthanasie, Rivotril, abandon des malades et des mourants, interdiction du culte, interdiction de l’instruction en famille, négation de la subsidiarité et de la responsabilité individuelle, 15 000 soignants suspendus, apartheid et désignation de non-essentiels et de sous-citoyens empêchés de subvenir aux besoins de leurs familles, etc.

On est loin de la doctrine sociale de l’Eglise. Le projet : la chosification de l’humain, le transhumanisme et la fin des libertés. C’est monstrueux.

Avec l’arrivée du virus chinois, ce fut l’avènement de la religion Covid où le nouvel absolu est « être en bonne santé et consommer ». Le port du masque en est le rite essentiel et le vaccin est le nouveau baptême. Respirer, exister serait devenu une menace. Peu importent les suicides des enfants qui ont augmenté de 300%, peu importent les nombreux effets secondaires et les morts.

Demain, n’en doutons pas, Macron rendra la vaccination tous les quatre mois obligatoire pour tous et instaurera le crédit social, monde où il n’y a plus que des dérogations de liberté au bout du QR code.

Alors oui, un catholique ne peut ni se soumettre, ni voter Macron. Et c’est un devoir que de s’interroger sur le sens philosophique de ce projet de société à la lumière de la Foi.

Emmanuel Macron a divisé les français en bons et mauvais. Dans le rôle des mauvais : les gilets jaunes, les non-vaccinés et les soignants suspendus. L’immense souffrance du peuple français a été ignorée, sciemment, volontairement.

Et, de la même manière, le peuple ukrainien ne compte pas. Au lieu de faire appliquer les accords de Minsk dont il est l’un des garants, Macron prend partie pour Kiev et envoie des armes. Les sanctions contre la Russie, outre leur inutilité, vont accentuer la misère de millions de Français : hausse massive des prix de l’énergie et de l’alimentation, voire pénuries.

Et que dire de l’Union européenne ? Au lieu de prévenir le totalitarisme, elle somme les pays de se soumettre à l’idéologie progressiste et devient l’instrument pour contrôler les populations à l’aide du crédit social dont le laissez-passer sanitaire ou vaccinal n’est que la première étape. Au lieu d’œuvrer à la paix, elle met de l’huile sur le feu en envoyant des armes et en soutenant un régime politique qui fait la guerre à son propre peuple et s’appuie sur des bataillons ukronazis.

Si elle n’est pas parfaite, Marine Le Pen aura le mérite de poser les bases de la réconciliation avec la réintégration des suspendus, l’abrogation des mesures « sanitaires » et le referendum d’initiative citoyenne. Elle redonnera à la France sa position de médiatrice.

Un autre avenir est possible. Il est à portée de vote. Pour nos enfants, pour la France.

Le 24 avril, je voterai Marine Le Pen. (Qui l’eût cru il y a 5 ans ?)