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Un grand professeur de neuroéthique de l’université de Georgetown tire la sonnette d’alarme sur la façon dont la libération de nanoparticules peut provoquer des épidémies d’AVC.

Une conférence alarmante sur les applications militaires de la neurotechnologie et sur la façon dont les nanoparticules de poussière intelligente peuvent être « dispersées » pour provoquer des épidémies d’accidents vasculaires cérébraux est devenue virale.

Dans sa conférence de 2017, le Dr James Giordano, chef du programme d’études neuroéthiques de l’université de Georgetown, a averti que même si les nanoparticules libérées ne provoquent pas d’accident vasculaire cérébral, elles peuvent néanmoins perturber à long terme les fonctions cérébrales dans des « cercles d’expansion de plus en plus concentriques ».