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Une étude menée par l’équipe de John Ioannidis affirme que le confinement a aggravé la contagion

par M.K. Scarlett

Selon Valeurs actuelles, une étude, publiée le 5 janvier dernier, signée par un grand épidémiologiste de Stanford, établit que le confinement n’est pas d’une plus grande utilité que les gestes barrières.

Alors que le conseil de défense sanitaire s’est réuni ce vendredi pour décider et annoncer dans la foulée des restrictions sanitaires plus strictes, une étude publiée par la revue scientifique European journal of clinical investigation critique sévèrement l’impact du confinement.

Le confinement aurait-il aggravé la situation sanitaire ?

L’étude menée par John Ioannidis, un des plus grands experts en épidémiologie au monde et l’un des scientifiques les plus cités dans le monde, dit en substance la même chose que le Professeur Raoult dans son interview donnée à Sud Radio.

Cette étude souligne que le confinement et la fermeture des lieux culturels, bars et restaurants n’a été d’aucune utilité. Il n’aurait pas eu d’impacts sur le nombre de cas de contaminations et c’est même tout l’inverse. L’effet escompté par le confinement n’est pas là, comme le révèlent les chiffres analysés par l’équipe de John Ioannidis.

Le confinement a favorisé les contaminations à l’intérieur des foyers

Toujours selon Valeurs actuelles, pour arriver à ces conclusions, l’équipe de John Ioannidis a mis en place un protocole. Parmi les dix pays analysés par l’équipe : la France. Les scientifiques ont mis le nombre de contaminations dans l’hexagone — à partir du moment où le confinement a été déclaré- et les entreprises fermées, en face de celles de pays où le confinement n’a pas été prononcé. Comme cela a été le cas en Suède ou en Corée du Sud. Le résultat est sans appel. L’effet des mesures restrictives n’a presque pas apporté d’avantages en termes de contaminations.

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