Contrairement à ce que des sources ministérielles ont avancé comme explications en début de journée, le cafouillage constaté aujourd’hui autour de la disponibilité des vaccins Pfizer dans plusieurs centres de vaccination, n’est pas dû à des impératifs de planification des rendez-vous.
Selon nos informations, le vaccin a été provisoirement (24 à 48 heures) suspendu le temps d’établir un rapport après le décès d’une jeune fille à Rabat. « Il s’agit d’une mesure de pharmacovigilance qui est appliquée de manière systématique », précisent nos sources, « affirmant à ce stade qu’il n’y a pas de cause à effet entre l’injection du vaccin et le décès de la fille ».
J.R.