Mois : mars 2021
Le tribunal de première instance de Bruxelles a ordonné à l’État belge d’adopter un cadre légal pour encadrer les mesures sanitaires, d’après l’ordonnance obtenue par La Libre.
Les autorités ont désormais 30 jours pour couler leurs décisions dans des textes de loi réglementaires. L’État belge, s’il ne respecte pas l’échéance actée par le tribunal de première instance de Bruxelles, devra payer une astreinte de 5 000 euros par jour.
“Un double discours de l’État belge”
Tout a commencé lorsque, le 12 mars dernier, les avocates de la Ligue des droits humains (LDH) et son équivalent flamand, la Liga voor Mensenrechten, plaidaient devant le tribunal de première instance de Bruxelles après un recours introduit contre l’État belge le 22 février.
La LDH voulait savoir si les mesures instaurées pour lutter contre la propagation du coronavirus – et donc les arrêtés ministériels adoptés pendant cette crise – respectent les prescrits légaux. Ce mercredi, le tribunal a donc donné gain de cause aux organisations de lutte pour la défense des droits humains en condamnant l’État belge.
Le jugement précise que l’État belge, représenté par la ministre de l’Intérieur, doit “prendre toutes les mesures appropriées pour mettre un terme à la situation d’illégalité apparente découlant des mesures restrictives des libertés et droits fondamentaux reconnus par la Constitution”.
L’Organisation Mondiale de la santé a étalé son incompétence pendant la crise du COVID 19: complaisance vis-à-vis des mensonges officiels de la Chine communiste, mots d’ordre successifs contradictoires, soupçons de conflits d’intérêt. Eh bien cela n’empêche pas la France de prévoir de multiplier par huit sa contribution à l’organisation internationale, contre tous les principes de la saine gestion des deniers publics.
Le gouvernement espagnol a jugé illégale une loi de la région de Galice obligeant, sous peine de lourde amende, la population à se vacciner contre le Covid-19. Il estime que ce type de décision ne peut être pris qu’à l’échelle nationale. L’Espagne va s’opposer à une loi de la région de Galice qui oblige ses habitants à se faire vacciner contre le Covid-19, estimant qu’elle porte atteinte aux libertés fondamentales, a annoncé la porte-parole du gouvernement central le 30 mars.
Pour Madrid, ce texte introduit «des limitations des droits fondamentaux» qui ne peuvent être modifiées que «dans le cadre d’une loi nationale», a justifié la ministre socialiste. Ce recours déposé devant le Tribunal constitutionnel annulera l’article de loi promulgué par le gouvernement conservateur de Galice, a précisé Maria Jesus Montero, et le tribunal aura un délai de trois mois pour ratifier ou lever cette décision.
6 personnes max en extérieur
Plus tard, les historiens seront très sévères. Pointant la folie et le mensonge médiatiques entourant les agissements misérables de Macron et des labos, visant à nous vacciner tous, malgré les dangers évidents, voire mortels de ces injections faites à la va-vite. Les uns pour se faire des c. en or. Macron déclarant ouvertement la guerre contre le peuple français…
Plus tard, les historiens seront très sévères contre la folie vaccinale, qui s’est imposée dans le champ public français depuis six mois.
Macron mène une véritable guerre de classes contre le Peuple français, à l’instar de la guerre de classes menée en 1914 par la Bourgeoisie contre les « rouges », la « révolution » prétendument menaçante, dans le cadre de la première guerre mondiale, selon la thèse brillante de Jacques Pauwels, dans son 1914-1918 La grande guerre des classes, édition Delga, 2016
D’abord, il y a le risque de modification génétique de l’individu. En ce sens, Robert F. Kennedy junior pointe les dangers génétiques de ces vaccins :
« Pour la première fois de l’Histoire de la vaccination, les vaccins dit ARN messager interviennent directement dans le matériel génétique du patient. Ils modifient son matériel génétique. Cette manipulation était considérée jusqu’à présent comme criminelle et interdite. »
Cette vaccination reste problématique. en termes de santé, de morale et d’éthique, mais aussi en termes de dommages génétiques qui, contrairement à ceux causés par les vaccins précédents, seront irréversibles et irréparables.
Mais pire encore, ces vaccins anti-Covid génèrent une mortalité importante, soigneusement occultée, niée par le Pouvoir en place.
Selon la banque européenne comptabilisant les effets indésirables des vaccins en Europe au 13 mars 2021, on compte 3 963 décès causés par les vaccins anti-Covid :
- Pfizer : 2 540
- Moderna : 972
- AstraZénéca : 451
3 963 décès, c’est un chiffre énorme pour des vaccins sensés nous guérir d’une maladie, le Covid, que l’on peut aussi soigner efficacement avec des antibiotiques, qui font zéro mort. Et je parle d’expérience, pour avoir eu le Covid, avoir été soignée avec succès avec des antibiotiques et des corticoïdes.
Les patients hospitalisés en réanimation pour une forme grave de Coronavirus seraient de plus en plus jeunes. C’est en effet, ce qu’a affirmé plusieurs médecins, invités de la presse mainstream, ces derniers jours, dont le Pr Karine Lacombe, chef du service des maladies infectieuses de l’hôpital Saint-Antoine à Paris. Le Pr Djillali Annane, chef du service de réanimation de l’hôpital Raymond-Poincaré à Garches (Hauts-de-Seine), affirme même que la moyenne d’âge de ces patients a baissé de près de 10 ans ces deux derniers mois dans son service. Encore une fois la communication gouvernementale lâche une affirmation approximative qui semble n’être qu’une impression collective. Le président Macron a, depuis un an, confié les rênes de la gestion de la crise sanitaire au Conseil scientifique. Les réactions, ces derniers jours de plusieurs médecins hospitaliers, amènent à s’interroger notamment sur la place de l’AP-HP dans le dispositif.
Ivermectine : témoignages
Il y a les publications scientifiques, et il y a la vraie vie. Il y a les études, qui font polémique auprès des autorités bien que toutes donnent le même résultat (mortalité divisée par 4, et symptômes disparaissant deux fois plus vite), et il y a aussi et surtout les constatations pratiques, sur le terrain, montrant les résultats du traitement à l’Ivermectine.
Commençons par une petite histoire que vous ne verrez pas dans la presse française, mais dans la presse du Zimbabwe.
Il était une fois le Dr Jackie Stone, qui traitait ses patients avec l’Ivermectine, dans un pays où, comme en France, ce traitement n’était pas officiellement autorisé. Dans cet article de presse locale, elle se fait accuser par un professeur qui s’est plaint à l’Ordre des médecins du pays « de profiter du désespoir des patients et de leur vulnérabilité pour promouvoir des traitements non fondés sur des données probantes », exigeant qu’on enquête d’urgence sur ses actions et son aptitude à exercer. Tiens il me semble avoir déjà entendu ce discours dans un autre pays.
Un mois plus tard, la voilà saluée et le gouvernement change d’avis concernant l’Ivermectine avec importation massive du médicament du Bengladesh, soulignant que « le gouvernement doit d’abord assurer la santé des patients, et ne peut pas leur refuser de schémas thérapeutiques efficaces, en accordant une autorisation d’urgence pour l’Ivermectine » ! Miracle ? Oui, l’Ivermectine est un remède miracle : Il y a eu un cluster dans le gouvernement, 4 ministres, un haut-commissaire et un haut gradé sont décédés, alors que le Dr Stone en avait soigné trois qui eux ont guéri tous les trois.
Juste après ce revirement gouvernemental, la courbe de mortalité et une grosse seconde vague ont vite été réglées :
Faudra-t-il passer par là pour que les choses changent en France ? Roselyne Bachelot est bien en train d’essayer, mais je ne sais pas si elle va y arriver. Par contre, un ce n’est pas assez. Pour les autorités sanitaires, ce n’est jamais assez, il en faut plus pour qu’ils se décident. Au moins trois ? Quatre ? Qui se dévoue ?
En attendant, on ne change rien. À L’Isle d’Espagnac on a appris qu’un confrère avait “osé” donner de l’Ivermectine à ses patients face à une épidémie dans son Ehpad. Quel idiot ! Pas futé du tout et irrespectueux vis à vis des consignes ! 47 patients positifs sur 96 (quelques jours après la vaccination…). Il avait deux cartons d’Ivermectine, et il s’est dit que comme ce médicament était sans danger, il pouvait essayer de donner une chance à ses patients et en sauver quelques-uns, au cas où cela marcherait. Cela ne coûtait rien : au pire, rien, au mieux des vies sauvées.
Pas d’effets secondaires, pas de mort, pas de plainte, mais une enquête a été diligentée à son encontre par l’ARS. Mais qu’est-ce qui lui est donc passé par la tête ? J’ai honte pour les con(frère)s qui le critiquent et se sont plaint. Qui aurait imaginé il y a 1 an que nous pourrions arriver un jour à vivre ce genre de situation délirante avec notre système de soins bien huilé et performant. Pas moi en tous cas. Inimaginable, un pays de fous.
Par contre dans cette Ehpad de Moselle de 60 lits, 16 décès après vaccination, démission de presque tous les traitants avant vaccination, démission du médecin coordinateur après ces décès, officiellement pour « changement d’orientation », vous pouvez être sûrs qu’il n’y aura pas d’enquête !
Déjà 3 Ehpads en France avec des résultats indiscutables de l’Ivermectine (sans compter ceux qui se cachent), et on ne bouge pas. Il y a aussi le résultat des Ehpads soignées par l’IHU, mais chut. Le traitement précoce pour éviter hospitalisations et décès, s’il est autorisé selon l’ANSM, reste interdit dans les faits, avec une police politique qui pousse à la délation auprès des pharmaciens, voir le Quotidien de Pharmacien. Décidément, il est clair qu’on ne cherche pas à soigner et qu’on en est encore à la chasse aux sorcières, comme au moyen âge.
Toujours dans les Ehpads,à l’étranger, ce témoignage du Dr David Chesler. Il a traité dans une première Ehpad 34 patients positifs, 0 décès et dans une seconde, avec 110 positifs, il a eu 2 décès alors que son collègue qui ne traitait pas en a eu 17.
Vous avez également lu ici au fil des commentaires plusieurs témoignages de confrères qui ont adopté l’Ivermectine (+ Azi), toujours avec les mêmes résultats, et qui ne changeront de traitement pour rien au monde. Le confrère qui m’a fait découvrir l’Ivermectine et que j’ai cité quand il en était à 30 patients, en a maintenant 139 (tous symptomatiques) depuis le 6 avril 2020 (il n’est pas dans une zone rouge). Résultats : 0 hospitalisation (statistiquement il aurait dû en avoir entre 15 et 20) et 0 Covid long.
Autre témoignage intéressant. Vous vous souvenez des clusters importants dans les abattoirs en début d’épidémie, lieux particulièrement prisés par le virus ? Ce problème est mondial, et une entreprise agro-alimentaire au Brésil, spécialisée dans le traitement de la viande et confrontée à ce problème, a décidé de traiter à titre préventif ses 12 000 employés. Trouvant les mesures classiques pour éviter les contaminations insuffisantes, bien que sérieuses dans ces établissements (plus de 5 000 morts dans le monde dans les abattoirs), le médecin de l’entreprise et le Conseil d’Administration ont décidé de passer à l’Ivermectine en prophylaxie. En moins de 4 semaines, les positifs sont passés de 10-15 par jour à 0. Plus de cas dans l’entreprise.
Alors si l’Ivermectine ne marche pas dans le cerveau de certains, manifestement ça marche dans la vraie vie, et comme Saint Thomas, je crois ce que je vois. Combien de morts faudra-t-il encore pour que certains ouvrent les yeux ? Malheureusement il semble qu’il y ait beaucoup d’aveugles dans notre pays, à moins qu’il ne s’agisse d’une épidémie d’onchocercose. Au fait, savez-vous quel est le traitement de l’onchocercose ?