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Le directeur général de la Santé annonce des autotests dès la semaine prochaine

Jérôme Salomon promet l’autorisation d’autotests en France « cette semaine ».

« On va se rassurer avec cet autotest, c’est un outil de plus. La question c’est comment on déclenche le tracing quand quelqu’un est positif . » La Haute autorité de santé va fixer les conditions d’homologation des kits de dépistage du Sars-CoV-2 à utiliser soi-même, préalable à leur autorisation par le gouvernement.

Les auto-tests contre le Covid-19 pourraient être mis en vente en France dès la semaine prochaine.

Ces auto-dépistages pourraient être mis en vente dans les supermarchés, et la question de leur remboursement est à l’étude, a ajouté Jérôme Salomon.

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ORIGINE DU VIRUS : FRANCE 2 SOULÈVE ENFIN L’HYPOTHÈSE D’UN VIRUS FABRIQUÉ EN LABORATOIRE !

« Ce jeudi 11 mars, la diffusion des nouveaux reportages d’Envoyé Spécial sur France 2 a provoqué une grande vague de réactions sur les réseaux sociaux. En effet, plusieurs preuves dans cette enquête édifiante laissent penser que la pandémie a pu être causée par la fuite accidentelle du virus depuis le laboratoire de Wuhan. Si les journalistes du service public ont laissé une place au doute, l’investigation s’appuie tout de même sur des recherches scientifiques, et a découvert qu’un coronavirus causant des symptômes très similaires à la Covid-19 était à l’étude à Wuhan depuis la pneumonie des mineurs du Yunnan en 2012, et que la personne qui avait fait les prélèvements dans la mine a par la suite participé à la création de huit coronavirus synthétiques en mélangeant le SRAS à un coronavirus de chauve-souris. Aujourd’hui, cette mine est inaccessible et placée sous haute surveillance par le gouvernement chinois. »

🧐 Pour revoir le reportage d’Elise Lucet : https://www.francetvinfo.fr/…/envoye-special-du-jeudi-11-ma…

🧐 Source : https://www.programme-television.org/…/Envoye-Special-Franc…

👉 Voir notre entretien avec la généticienne Alexandra Henrion-Caude, taxée d’être complotiste, qui émet cette hypothèse depuis des mois : https://www.nexus.fr/…/science/entretien-alexandra-henrion…/

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«Les plateformes sont devenues folles » la Russie alerte sur la censure des réseaux sociaux

Qualifiée de «censure arbitraire», la suspension de médias russes sur plusieurs plateformes va entraîner en réaction une restriction de l’activité de ces dernières dans le reste du monde, avertit la porte-parole du ministère des Affaires étrangères. La censure de contenus russes par les géants américains de l’Internet conduira à des restrictions des activités de ces entreprises à travers le monde, a mis en garde, le 13 mars 2021 sur Facebook, la porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères Maria Zakharova. Lire aussi Moscou juge «inacceptable» la censure de médias russes sur Facebook La représentante russe réagissait notamment à la restriction d’accès imposée par YouTube à un film d’Andrey Kondrashov sur la Crimée, ainsi qu’au blocage partiel du compte Crimea24 sur Instagram, à la veille de l’anniversaire de la réunification de la Crimée avec la Russie. «Les plateformes sont devenues folles. Cela va au-delà des implications politiques des actions des entreprises informatiques américaines, qui suivent les directives de Washington. La situation est plus compliquée», a souligné Maria Zakharova. «Plus les documents les plus gênants politiquement seront retirés de la circulation sur Internet et censurés par les « modérateurs », plus des restrictions rapides et strictes concernant les plateformes du monde entier seront mises en place», a-t-elle ainsi fait valoir. Une idée déjà véhiculée le 8 mars dernier par Viatcheslav Volodine, le président de la Douma (chambre basse du Parlement russe). Après la suspension par Facebook des médias russes Vzgliad, RBK TV et TASS, considérée comme un «acte de censure» par Roskomnadzor (le CSA russe), Viatcheslav Volodine avait appelé dans un communiqué au respect des lois russes. «Ce n’est pas la première fois que Facebook [agit de la sorte]. Instagram et Twitter ont fait la même chose plus tôt. Je pense que c’est inacceptable. Cela viole nos lois nationales. Nous proposerons des solutions législatives qui empêcheront de traiter les médias russes de la sorte», avait-il fait savoir. Maria Zakharova a par ailleurs noté qu’à l’heure actuelle, le contenu des plateformes américaines était «censuré arbitrairement» sans décision de justice ni autorité compétente. Selon elle, ces mesures restrictives sont prises de manière extraterritoriale et vont à l’encontre des engagements internationaux des Etats-Unis pour garantir la liberté de parole et d’expression, violant le droit des personnes à rechercher, recevoir et diffuser librement des informations. «L’objectif de Washington est évident : l’utilisation des technologies de l’information pour une concurrence déloyale dans tous les domaines», a-t-elle déclaré.

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Chez BFM, si tu parles t’es viré

a haute direction du groupe Altice n’a pas aimé qu’un journaliste dise trop la vérité. Alors que Le Canard Enchaîné a révélé l’information selon laquelle des membres de BFM TV mangeaient au restaurant malgré les restrictions sociales, Grégory Raymond en a rajouté une couche en reprenant et en enrichissant ces allégations. Employé chez BFM TV, la haute direction l’a viré immédiatement.

Huit semaines et puis s’en va : vi-ré ! L’affaire du restaurant dans lequel les hiérarques de BFM mangeaient malgré la pandémie, révélée par le Canard enchaîné, n’en finit pas de faire des remous.

Le journaliste de Capital Grégory Raymond l’a appris à ses dépens jeudi 4 mars, lorsque BFM Business a brutalement interrompu sa collaboration tous les vendredis dans l’émission BFM Bourse, suite à la parution d’un article de son magazine économique reprenant et enrichissant les informations du Canard enchaîné.

Selon nos informations, même la chaîne n’a pas eu son mot à dire, car la décision est venue de très haut, plus précisément du directeur général d’Altice Media, Arthur Dreyfuss, proche de Patrick Drahi.

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La fabrique du mensonge » : Constance, témoin piégée par France 5, au Défi de la vérité

Constance a été bien malgré elle une tête d’affiche de l’émission « La fabrique du mensonge », diffusée sur France 5 dimanche dernier, dans laquelle elle racontait son parcours de vie, d’errance médicale en désarroi psychologique, jusqu’à ce qu’elle trouve la force de s’en sortir. Son discours qui se voulait à juste distance de Thierry Casasnovas, sujet de la deuxième partie du documentaire, et des tourments qu’elle a subis de la part de la médecine conventionnelle, a été tronqué et déformé par le montage pour en faire un témoignage à charge contre celui qui était présenté comme un « gourou » dangereux et toxique. Une thèse qu’elle réfute et des procédés qu’elle a choisis de dénoncer, en relevant le défi de la vérité. 

Thierry Casasnovas a pu lui aussi livrer sa vérité dans la foulée : Thierry Casasnovas au Défi de la vérité [publication à 19h30]

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Des escrocs profitent du dispositif de «Contact tracing» pour essayer d’arnaquer des assurés

Vous réfléchissez deux fois avant de décrocher un numéro inconnu? C’est normal, la plupart du temps il s’agit d’offres commerciales suspectes ou d’arnaques. Le dernier stratagème en date pour les escrocs, est de se faire passer pour l’assurance maladie pour faire croire à la victime qu’une personne contaminée a donné ses coordonnées, en indiquant qu’elle est un “cas contact”. Pour éviter cette arnaque, l’Assurance Maladie appelle à la vigilance: lorsqu’elle appelle un assuré, le numéro affiché sera le 3646 ou le 05 53 35 62 37 et non un numéro inconnu.

Comment savoir si un appel relève vraiment du “contact tracing” officiel?

Les escrocs demandent à leurs victimes, sous prétexte d’avoir été identifiés comme “cas contact”, une adresse postale et un numéro de carte bleue pour envoyer à domicile un kit de dépistage payant. 

L’Assurance Maladie tient à préciser que les enquêteurs sanitaires de l’Assurance Maladie ne demandent jamais de coordonnées bancaires. Le test RT-PCR ne peut être réalisé que par des professionnels de santé, comme des infirmiers, ou dans des laboratoires ou des structures de dépistages dédiées. Il est entièrement remboursé par l’Assurance Maladie et peut être réalisé sans ordonnance.

En outre, les conseillers de l’Assurance Maladie peuvent, si le malade a donné son accord explicite , donner le nom du médecin ou du patient positif à la Covid-19 avec qui la personne qu’ils appellent a été en contact.

Auteur(s): FranceSoir

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À Toulouse, le théâtre de la Cité à son tour occupé par les manifestants

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RÉOUVERTURE DES RESTAURANTS: LANCEMENT DE TESTS GRANDEUR NATURE AVEC LES QR CODES

Des tests seront réalisés dans des restaurants laissés ouverts pour les routiers. Le QR Code à l’entrée a vocation à remplacer le cahier de rappel.

Aucune date n’est encore donnée mais le processus de réouverture des restaurants semble engagé. Selon Le Parisien, le gouvernement va lancer dans les prochains jours une expérimentation du dispositif des QR Codes à l’entrée des restaurants actuellement laissés ouverts, ceux destinés aux routiers.

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Des milliers et des milliers de personnes périront de leurs cancers » dans les « 5-6 ans », prévient Axel Kahn

« Il y aura des milliers et des milliers de personnes qui périront de leurs cancers qui n’auraient pas dû en mourir » dans « les 5-6 ans », prévient mardi 9 mars sur franceinfo Axel Kahn, président de la Ligue contre le cancer, alors que l’Agence régionale de santé (ARS) d’Île-de-France demande la déprogrammation de 40% des opérations dans les cliniques et hôpitaux. Selon lui, les retards de diagnostics amoindrissent les chances de survie lorsqu’on est atteint d’un cancer : « On sait que par mois de retard, il y a une perte des chances de 10% par type de cancers », affirme-t-il.

franceinfo : C’est difficile pour un malade du cancer de s’entendre dire qu’il va falloir attendre pour se faire soigner ?

Axel Kahn : C’est très difficile et ça l’est d’autant plus que ce parcours d’obstacles, presque ce calvaire, le mot est un peu fort, mais pas si excessif que cela, que connaissent les personnes malades du cancer se poursuit depuis maintenant près d’un an. Effectivement, il y a un afflux considérable des personnes qui sont atteintes de la Covid-19. Toutes les personnes qui sont atteintes de maladies qui sont plus graves, plus anciennes et différentes que le Covid-19 ont vu leur priorité diminuer. Et dans le domaine du cancer, on commence à avoir fait les comptes. On sait qu’en dehors de la reconstruction, et un retard de reconstruction est extrêmement difficile, qu’il y aura des milliers et des milliers de personnes qui périront de leurs cancers qui n’auraient pas dû en mourir.

Il y a aussi les cancers qui ne vont pas être détectés…

Ce risque-là que vous soulevez est très fort aujourd’hui du fait de la multiplication des foyers infectieux intra-hospitaliers, avec les risques et la réalité des infections nosocomiales. Tous, nous avons entendu de nombreux malades du cancer qui ont été contaminés par le Covid-19 à l’hôpital et nous avons également quelques cas de personnes malades du cancer qui sont décédées du Covid-19 contracté à l’hôpital. Effectivement, cela n’est pas très incitatif. Le risque réellement d’être infecté par le Covid-19 est bien moindre que le risque de ne pas faire traiter son cancer, il n’empêche que cela contribue au retard des diagnostics du début du traitement.

« Ces opérations non urgentes qui sont repoussées, il y a évidemment les opérations de reconstruction post-chirurgie, mais il y a des opérations pour cancer, retardées parce qu’on considère que ce n’est pas une priorité. En réalité, on sait que par mois de retard, il y a une perte des chances de 10% par type de cancers. »Axel Kahn, président de la Ligue contre le cancer 

à franceinfo

Et donc, nous l’avons calculé, il y aura donc des milliers de morts supplémentaires par cancer dans les 5-6 ans qui viennent.

Comment jugez-vous la volonté d’Emmanuel Macron de tout faire pour ne pas reconfiner dans un tel contexte ?

C’est une décision politique. Je pense que lorsque le président de la République a vu qu’il y avait une perspective en effet de soulager les Français en leur disant qu’on n’allait pas reconfiner, il s’est engouffré dans cette brèche, en quelque sorte. D’un point de vue purement sanitaire, il n’est pas sûr qu’il ait eu raison. Et en dehors de toute analyse, ça n’est pas mon rôle d’analyser. Le prix à payer est incroyablement lourd. Nous sommes d’ores et déjà à 89 000 morts et je vous rappelle que le premier confinement et le premier pic épidémique n’avait que 30 000, c’est-à-dire que l’on va arriver à bientôt 60 000 morts de la situation de la deuxième vague, alors même qu’il y a la possibilité qu’une troisième s’enclenche. Et puis, ces retards qui se prolongent les uns après les autres dans le domaine des soins, on n’en parle pas assez. Le fait que dans les réanimations qui se remplissent très rapidement aujourd’hui, il y a beaucoup de personnes jeunes et j’espère qu’on les sauvera en grand nombre. Mais les séquelles laissées par la Covid-19 sont des séquelles qui sont cruelles et durables, et même des séquelles chez des gens qui n’ont pas des formes si graves. 

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Tests PCR : comment se passe la recherche des variants ?

Comment la recherche des variants a changé l’organisation des laboratoires d’analyse ? Quels changements cette recherche a-t-elle occasionnés pour les laboratoires concernés ? Numerama a demandé au laboratoire Cerba d’expliquer plus en détails ces métamorphoses.

Le dépistage du coronavirus SARS-CoV-2 est l’une des clés dans la maitrise de l’épidémie. Les laboratoires ont été mis sous tension ces derniers mois face à l’afflux d’analyses PCR à mener.  « Le rythme a changé. On court toute la journée, en parcourant tout le laboratoire », confiait une biologiste dans un reportage Numerama, en juillet 2020.

Avec la progression des variants du coronavirus, les laboratoires d’analyse se sont vus confier une nouvelle tâche : identifier la présence de variants dans les échantillons. Ces « tests de criblage » se développent en France depuis fin janvier 2021. Ils nécessitent un matériel particulier et une organisation adaptée. Ces ajouts logistiques ne rendent pas leur usage possible partout, ni automatiquement.

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