Dans une tribune publiée en ligne, mardi 9 mars, plusieurs syndicats de médecins et associations de patients demandent la dissolution du Conseil national de l’ordre des médecins (CNOM) qui, selon eux, « protège des professionnels de santé corrompus et maltraitants ». Les 26 organisations signataires jugent l’instance déontologique des médecins français « inutile » et « nocive ».
Pour le dire, ils s’appuient notamment sur le rapport « accablant » publié par la Cour des comptes en décembre 2019 : ce dernier pointait des sanctions trop tardives contre des faits d’agressions sexuelles et des comptes « souvent incomplets et insincères ».
Les ordres des professions médicales s’attaquent à leurs adhérents par une tribune dans le JDD du 7 mars. Ils menacent les praticiens de faute déontologique, s’ils ne se vaccinent pas. Les soignants sont pourtant les mieux placés pour connaître le risque et l’inutilité de vaccins expérimentaux trop vite mis sur le marché. Il ne s’agit certes que d’une première sommation, mais ceux qui n’obéiront pas risquent de se voir retirer le droit d’exercer.
L’Ordre des Médecins interdit de soigner
De plus, au mépris du code de santé publique et du serment d’Hippocrate, l’Ordre des Médecins, menace ceux qui veulent soigner leurs malades du Covid.
Ainsi plainte est-elle portée contre les Prs Raoult, Perronne, Joyeux et les Drs Delépine, Zeller et Rezeau-Frantz.
Le vaccin, ça peut rapporter gros !
L’interdiction de soigner le Covid sous la pression des ministres de la Santé et avec la complicité de l’Ordre des Médecins a-t-elle été prise afin de promouvoir un vaccin miracle ?
Les conflits d’intérêts, relevés par la Cour des Comptes, entre l’Ordre des Médecins et les laboratoires ne sont que pure coïncidence. Aucun rapport avec la tribune du JDD, bande de complotistes !
La corruption de l’Ordre des Médecins est de notoriété publique
L’Ordre des Médecins est mal placé pour donner des leçons de déontologie. La Cour des Comptes l’analyse comme une institution corrompue. « Approximations, manques, erreurs » et même « écritures délibérément faussées », le pré-rapport de la Cour des Comptes cité par Le Canard Enchaîné étrille la comptabilité de l’Ordre qu’elle juge « insincère ». Elle met en cause au passage l’aménagement en 2016 du nouveau siège de la rue Léon-Jost à Paris qui aurait coûté presque le double du devis initial (8,8 millions d’euros contre 4,9 annoncés).
L’Ordre des chirurgiens-dentistes est en plein conflits d’intérêts
L’Ordre des chirurgiens-dentistes est également signataire. Il a d’ailleurs beaucoup de traits communs avec celui des médecins :
Décodons les décodeurs de l’info qui nous trompent
Dans ce qui est présenté comme une désinfox, terme favori des médias au service du gouvernement, l’AFP prétend que l’utilisation actuelle des vaccins anti-covid-19 ne serait pas expérimentale et qu’elle serait conforme au code de Nuremberg. Ces deux affirmations sont mensongères !
Les vaccins anti-covid-19 actuels sont expérimentaux
Un traitement est expérimental tant que les essais phase trois n’ont pas été terminés, analysés, publiés et validés par les agences sanitaires et des médecins indépendants des firmes pharmaceutiques.
Actuellement aucun des vaccins anti-covid-19 mis sur le marché ne satisfait à ces exigences de sécuritéet ils sont donc expérimentaux. Le plus avancé, celui de Pfizer, aura son essai phase 31 terminé dans deux ans, en 2023, d’après le site gouvernemental américain qui enregistre tous les essais sur l’homme (clinicaltrials.gov/ct2).
Ces vaccins expérimentaux ont été mis sur le marché avec une autorisation temporaire dite conditionnelle qui ne deviendra définitive qu’après l’examen par les agences des résultats définitifs des résultats des essais phase 3.
Il faut espérer que d’ici là les vaccinations par ces médicaments expérimentaux n’auront pas causé trop de dégâts.
L’utilisation d’un médicament expérimental constitue une expérience médicale, même si elle est autorisée par les agences du médicament
La différence avec les essais habituels est que la vaccination à grande échelle qui se déroule actuellement n’offre pas les précautions normalement prises en cas d’essai validé par les comités de protection des personnes.
Les vaccinés ne sont pas enregistrés comme faisant partie d’un essai et ne bénéficient pas d’une surveillance médicale renforcée comme cela est obligatoire dans les essais cliniques officiels. Leurs complications ne sont donc pas recensées de manière systématique et les résultats de cette vaccination ne sont pas évalués, ni publiés obligatoirement contrairement aux essais traditionnels.
Il est certes admis par la Convention d’Helsinki2,3, que faute d’interventions avérées, le médecin peut recourir à une intervention non avérée si, selon son appréciation professionnelle, elle offre une chance de sauver la vie – dans tous les cas, le consentement éclairé du patient est indispensable – ou préserver la santé du patient. Les nouvelles informations doivent être enregistrées et, le cas échéant, rendues publiques.
Or ce n’est pas le cas, car les informations concernant les vaccins sont sévèrement censurées en France4, empêchant tout débat démocratique et leurs complications ne sont découvertes que si les médias indépendants les révèlent. C’est uniquement par les journaux que l’on a appris la mort, après vaccination de nombreux pensionnaires d’EHPAD en France et à l’étranger. Pour tenter d’en savoir plus, beaucoup d’entre nous tentent d’explorer les bases de données officielles, mais c’est un parcours du combattant (décès classés par maladie, par tranche d’âges, etc.)5 et ne tient compte que des cas déclarés volontairement puisque les vaccinés hors essai calibré surveillé sont « bénévoles » et non soumis à surveillance stricte.
Un vaccin expérimental injecté sans consentement éclairé reprend l’attitude de certains médecins nazis
Xavier Bioy, professeur d’université à Toulouse-1 s’insurge à l’AFP de cette comparaison.
« C’est très fort : on compare des scientifiques avec des médecins nazis qui mettaient de l’acide dans les plaies des pauvres détenus qui se faisaient torturer dans les camps ».
Il a manifestement oublié que les médecins nazis, eux aussi scientifiques, ont pratiqué de très nombreux essais sur les vaccins :
a préfecture du Nord a annoncé ce 9 mars que le confinement le week-end en vigueur à Dunkerque et sa région depuis le 27 février, sera prolongé pour les trois prochains week-ends en raison d’une situation sanitaire jugée difficile. Le confinement le week-end entré en vigueur dans le Dunkerquois le 27 février, initialement jusqu’au 7 mars, sera prolongé pour les trois prochains week-ends, a annoncé le 9 mars la préfecture du Nord. Cette prolongation, dans le Dunkerquois, et la Communauté de communes des Hauts de Flandre répond à une situation sanitaire «qui demeure particulièrement tendue et justifie le maintien de mesures fortes a ajouté la préfecture dans un communiqué.
«Les premiers effets des mesures déployées depuis le 13 février, et notamment le confinement le week-end, commencent à se ressentir, avec une baisse des taux d’incidence observés ces deux dernières semaines,» note-t-elle toutefois. Le reconfinement de Dunkerque a été annoncé sur place le 24 février par le ministre de la Santé Olivier Véran, qui s’est inquiété de l’incidence «alarmante» de l’épidémie de coronavirus. Les mesures concernent les 17 communes (dont Grande-Synthe et Gravelines) de la Communauté urbaine de Dunkerque, et les 40 communes (dont Bergues) de la Communauté de communes des Hauts de Flandre
La délégation de Pfizer a annulé sa visite en Israël parce que son PDG et certains membres de son équipe ne s’étaient pas encore fait inoculer la deuxième dose du vaccin contre le Covid-19, rapporte la chaîne N12. Leur séjour pourrait être reporté à la fin du printemps.
Le PDG de Pfizer, Albert Bourla, a annulé sa visite en Israël car il n’est pas complètement immunisé contre le Covid-19, a indiqué la chaîne de télévision locale N12.
Le chef du géant pharmaceutique américain et certains membres de sa délégation censée l’accompagner n’ont pas encore reçu leur deuxième dose, précise le média. C’est la raison pour laquelle leur voyage a été reporté.
Contacté par N12, un représentant de l’entreprise n’a pas dit s’il s’agissait de la vraie raison du report. Cependant, il a souligné que la délégation souhaitait toujours se rendre en Israël. La visite pourrait avoir lieu à la fin du printemps, a-t-il précisé auprès du média.
Ne pas passer en priorité
En décembre dernier, M.Burla, âgé de 59 ans, avait annoncé ne pas avoir l’intention de profiter de son poste pour se faire vacciner en priorité en raison de son âge et de son état de santé. Les autres dirigeants de l’entreprise ne devaient pas non plus passer avant les autres.
Auparavant, Benyamin Netanyahou, Premier ministre israélien, a déclaré mener des négociations avec Pfizer et Moderna sur la construction de deux usines de production de vaccins sur le territoire du pays.
La vaccination de masse de la population israélienne contre le Covid-19 a été lancée en décembre.
La science et la démarche scientifique sont des instruments importants qui aident à identifier et à résoudre des problèmes. La science a des règles très claires : Quiconque fait des affirmations doit les prouver de manière claire, compréhensible et vérifiable. Seules les affirmations vérifiables peuvent être qualifiées de scientifiques, tout le reste relève du domaine de la foi. Les actes de foi ne doivent pas être présentés comme des faits scientifiquement prouvés afin d’influencer ou de justifier des mesures gouvernementales.
Les déclarations scientifiques doivent pouvoir être réfutées pour pouvoir être revendiquées comme des faits scientifiques. Le premier devoir écrit de tout scientifique est de vérifier strictement ses propres déclarations, d’essayer de les réfuter. Ce n’est que dans le cas où cette réfutation n’aboutit pas et que cet échec est clairement documenté par des expériences témoins, qu’une déclaration peut être qualifiée de scientifique.
Toutes les mesures du covid émises par les gouvernements et les autorités subordonnées sont en fin de compte régies par la loi, en Allemagne la loi sur la protection contre les infections (IfSG), mais elles ne sont qu’en apparence légitimées par celle-ci et non justifiées. Avec le § 1 de l’ifSG, par exemple, la disposition cible soumet « scientifiquement » tous les participants en Allemagne aux règles de la science. La règle scientifique la plus importante est la tentative documentée de prouver la déclaration présentée comme vraie et scientifique. Toutes les règles scientifiques sont précédées par le respect des lois de la pensée et de la logique. Si celles-ci sont ignorées ou violées, la déclaration scientifique est réfutée et une expérience témoin est effectuée en conséquence.
La signification et le choix des mots dans toutes les publications sur tous les virus pathogènes prouvent que les virologistes ont non seulement violé les lois de la pensée, de la logique et les règles contraignantes de la science, mais qu’ils ont également réfuté les affirmations sur l’existence des virus pathogènes eux-mêmes. Si l’on a enlevé ses lunettes hypnotiques et si l’on lit objectivement et avec discernement ce que les auteurs font et écrivent, toute personne intéressée qui sait lire l’anglais et qui a acquis des connaissances sur les méthodes utilisées découvrira que les virologistes (à l’exception de ceux qui travaillent avec les phages et les virus apparentés aux phages) interprètent mal les séquences normales de gènes comme des composants vitaux et ont ainsi réfuté tout leur domaine d’expertise. Cela est particulièrement évident dans le cas des affirmations de l’existence du prétendu virus SARS-CoV-2.
Le projet élyséen à moyen terme n’est pas un bien grand secret : créer un système de QR-codes à scanner avant l’entrée dans les lieux publics pour identifier et suivre la personne. Le calcul politique est simple : les quelques récalcitrants, estimés à 20 % par la présidence, devront capituler de lassitude dans la guerre d’usure, sous peine d’être privés de restaurants, de vie culturelle, de vie sociale tout court. Par une auto-rééducation à la Skinner, ils seront alors sur une trajectoire positive qui ne manquera pas de s’exprimer en 2022.https://d-3165177106181944931.ampproject.net/2102200206006/frame.html
Intellectuellement, le raisonnement se tient. Il repose toutefois sur une grave erreur de prémisse, due à la nature endogame des décideurs : les mesures étant prises dans un entre-soi parisien de hauts fonctionnaires plus ou moins pantouflés, dont le point commun tient précisément en des revenus élevés et garantis, l’évidence même leur a échappé : une partie conséquente de la population française réelle, virus ou pas, ne va jamais ou quasiment jamais dans un restaurant officiel, jamais ou quasiment jamais dans des lieux dits culturels, et bien plus de gens qu’on ne le croit ne partent pas en vacances – ou alors chez un membre de leur famille dans un département proche. Problèmes financiers, et je pense notamment à la pauvreté rurale discrète dont on ne parle guère, ainsi que tout bonnement absence de lieux dits culturels dignes de ce nom. Quant aux salles de sport, comment réagir sinon par un rire jaune face à ces soucis parisiens.
Si les Israéliens sont perturbés par le fait que leur gouvernement les traite comme des animaux de laboratoire, s’ils se demandent pourquoi leur liberté de voyager, de socialiser ou même de gagner leur vie s’est évaporée, le PDG de Pfizer, Albert Bourla, a donné hier une véritable réponse. Dans une interview sur NBC, Bourla a déclaré :
« Je crois qu’Israël est devenu le laboratoire du monde en ce moment parce qu’ils n’utilisent que notre vaccin dans cet État et qu’ils ont vacciné une très grande partie de leur population, de sorte que nous pouvons étudier à la fois les indices économiques et sanitaires ».
Je n’ai aucun problème avec les expériences médicales impliquant des humains si les participants sont pleinement conscients de toutes les circonstances et considérations possibles liées à leur consentement. Ce n’est pas ce qui s’est passé en Israël. Au moyen de « passeports verts », le gouvernement menace pratiquement de pénaliser toute personne réticente à participer à une expérience de « laboratoire » pour une société pharmaceutique géante dont le bilan est très problématique.
Les résultats de cette expérience Pfizer-Israël ne sont pas nécessairement encourageants. Bien qu’il soit possible, comme le suggèrent certaines études, que la plupart des personnes vaccinées bénéficient au moins d’une protection à court terme contre le Covid-19, personne ne peut nier le fait étonnant qu’en seulement 8 semaines de vaccination de masse, le nombre total de décès dus au Covid-19 dans l’État juif a presque doublé par rapport au nombre accumulé au cours des dix mois précédents.
Depuis qu’Israël s’est transformé en une nation de cobayes, un virus qui s’attaquait autrefois aux personnes âgées et à celles souffrant de graves problèmes de santé a maintenant complètement changé de nature. Après seulement deux mois d’une campagne de vaccination de masse « réussie », 76% des nouveaux cas de Covid-19 ont moins de 39 ans. Seuls 5,5% ont plus de 60 ans. 40% des patients en phase critique ont moins de 60 ans. Le pays a également détecté une forte augmentation des cas de Covid-19 chez les femmes enceintes, dont plus de quelques-unes sont dans un état critique. Au cours des dernières semaines, le nombre de nouveaux-nés atteints de Covid-19 a connu une forte hausse de 1 300% (de 400 cas chez les enfants de moins de deux ans le 20 novembre à 5 800 en février 2021).
Dans une lettre datée du 5 mars, Olivier Véran, ministre de la Santé, a exhorté les soignants à se faire vacciner rapidement
L’Etat français accélère la cadence pour faire vacciner immédiatement les soignants dans les plus brefs délais. Si ces derniers refusent, alors il n’y a aucun doute qu’Emmanuel Macron le leur rendra obligatoire, comme cela a été confirmé ces dernières heures par plusieurs médias dont Le Monde qui a révélé que l’Elysée étudie sérieusement l’hypothèse d’une vaccination obligatoire pour les personnels soignants.
Le militaire a écopé d’un blâme, l’une des plus lourdes sanctions qui puisse être infligée à un officier français, pour être sorti de son devoir de réserve en publiant un livre.
Puni pour avoir dit tout haut ce que beaucoup pensent tout bas. Récemment, le capitaine de gendarmerie Hervé Moreau a publié un livre pour dénoncer l’explosion de la délinquance et les manquements de la justice. Baptisé Vérités d’un capitaine de gendarmerie, ce brûlot édité à compte d’auteur s’est déjà vendu à 5 000 exemplaires, sans aucun diffuseur, rapporte Le Figaro, qui dresse le portrait de l’officier. Pour être sorti de son devoir de réserve, Hervé Moreau savait qu’il allait écoper d’une sanction. Mais il ne s’attendait pas à une telle sévérité, comme il le confie au quotidien.
Trente ans sous les drapeaux
En effet, sa hiérarchie lui a infligé un blâme, l’une des plus lourdes sanctions qui puisse être infligée à un officier français. Pour faire un exemple ? « Je suis tout simplement abasourdi. Je m’étais préparé à des arrêts de rigueur, mais pas à ce désaveu terrible de la part d’une institution que je sers fidèlement depuis près de 30 ans, dans l’armée de terre, puis dans la gendarmerie nationale », confie ce saint-cyrien au Figaro. « Désormais, je suis prêt à prendre tous les risques pour donner la parole aux gendarmes qui vivent des situations de plus en plus intenables et aux victimes que l’incurie de notre système judiciaire muselle et bafoue », ajoute-t-il