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L’entreprise française Jouve missionnée par Bruxelles pour lancer le passeport sanitaire européen

Comme par hasard, l’ancien vice-président du Medef a été missionné par Bruxelles pour mettre en place le passeport sanitaire ! Ainsi, ils ont dans la poche l’un des représentants des patrons de France. On se demande ensuite pourquoi personne ne bouge, personne ne se révolte chez les patrons alors que leurs business s’écroulent sous leurs yeux… Pire encore, on apprend que l’étude de la mise en place de ce passeport sanitaire a commencé en 2019, bien avant le début de l’épidémie de coronavirus ! À part ce petit détail, tout va bien, le complot n’existe pas.


Thibault Lanxade, PDG de Jouve et ancien vice-président du Medef, était l’invité ce jeudi matin de Good Morning Business sur BFM Business.

Un passeport vaccinal pour toute l’Union européenne dans deux mois : c’est l’objectif que s’est lancé Bruxelles et c’est une entreprise française, Jouve, qui a été chargée de réfléchir à sa conception. Une mission qui remonte… à 2019 : avant même l’arrivée du coronavirus sur le Vieux continent, l’agence sanitaire européenne avait en effet missionné Jouve pour étudier la faisabilité d’un carnet numérique de vaccination. Un sujet qui a pris une importance stratégique avec la pandémie.

« Comment est-ce qu’on priorise ? Est-ce qu’un vaccin est prioritaire par rapport à un test PCR ? Est-ce que c’est orange, vert, rouge ? C’est une décision politique qui demande une harmonisation. Mais pour pouvoir avoir cette harmonisation, il faut un cadre interopérable. Il faut faire remonter toutes les spécificités de pays » qui ne suivent pas les mêmes règles de traçabilité sanitaire, a expliqué ce jeudi matin Thibault Lanxade, PDG de Jouve, sur le plateau de BFM Business.

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Un rassemblement devant le ministère de la Santé pour dénoncer les suicides de cinq internes en médecine

Voici ce qui arrive quand des banksters et des énarques décérébrés gèrent le pays, les jeunes internes se suicident. 5 internes ont mis fin à leurs jours en moins de 4 mois ! Les responsables sont connus, en premier lieu Macron mais aussi Véran, Buzyn, Salomon…

25% des internes français ont des idées suicidaires et le gouvernement trouve ça normal ! Rien de concret n’est fait pour y remédier bien au contraire, la baisse des moyens est continue et ne fait qu’aggraver davantage la situation. Du coup on peut déjà le dire, il y aura malheureusement d’autres suicides…


Ce samedi devant le ministère de la Santé, plusieurs dizaines de personnes ont rendu hommage aux cinq internes qui se sont suicidés depuis le début de l’année.

L’Intersyndicale nationale des internes (Isni) et plusieurs représentants d’internes réclament un encadrement du temps de travail pour ces étudiants en médecine.Une quarantaine de personnes a rendu hommage, ce samedi devant le ministère de la Santé, à cinq internes en médecine ayant mis fin à leurs jours depuis le début de l’année. « Cinq internes ont été tués par l’hôpital depuis le début de l’année. Un tous les 18 jours, c’est du jamais vu », a dénoncé au micro Gaétan Casanova, président de l’Intersyndicale nationale des internes (Isni), qui avait organisé ce rassemblement. Derrière lui, devant une entrée du ministère, avaient été disposées des pancartes noires portant leurs prénoms : Valentin, Tristan, Quentin, des XXX pour deux autres internes restés anonymes, et ceux d’Élise et Florian, décédés respectivement en 2019 et 2020.


L’hôpital et les études en médecine, déclencheur de la souffrance des internes

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Origines du Covid-19 : le mystérieux laboratoire P4 de Wuhan livre certains de ses secrets

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les restaurants pourraient réouvrir mi-mai

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Matignon annonces 15 000 places de plus en prison

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Faillites d’entreprises : la déferlante de liquidations a-t-elle commencé ?

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Covid, 100 000 morts : mensonge !

Officiellement, c’est cette semaine que la barre symbolique des 100 000 victimes de la Covid a été atteinte, ce que Le Monde réfute, arguant que ce fut bien plus, et que le chiffre officiel était largement sous-estimé.

Cette estimation nous provient de l’INSERM et se base sur les déclarations des médecins qui ont signé les certificats de décès. Or Santé publique France prévenait déjà l’an dernier que même si le nombre de morts à domicile demeurait inconnu, l’évaluation, faite à partir de données INSEE, était « susceptible d’être surestimée » car certains décès recensés en EHPAD étaient alors des « suspicions de Covid-19 », et que seule, la mortalité « toutes causes confondues » avait été analysée.

Plusieurs familles ont depuis dénoncé la hâte avec laquelle on avait classé les décès de leurs proches comme « Covid » alors qu’ils étaient atteints de pathologies parfois très graves.

Santé publique France évoque de son côté des « certificats comportant une mention de Covid-19 parmi les causes médicales de décès ». Elle révèle que la Covid-19 n’est généralement pas la cause déterminante du décès, bien que cette infection puisse être un facteur aggravant pour le public concerné : l’âge médian des décès concernés est de 85 ans et des comorbidités sont renseignées dans 65% des cas (décès certifiés par voie électronique, données du 6 avril 2021).

Si l’on se fie d’un autre côté aux chiffres de l’Insee, l’augmentation du nombre des décès en 2020 par rapport à 2019 s’élève à 55 000, sans que l’on puisse affirmer que ce chiffre soit imputable uniquement à la Covid. Des observateurs énumèrent les autres causes possibles de ces décès, parmi elles :

  • la population vieillissant naturellement
  • les restrictions sanitaires tous azimuts
  • report d’opérations urgentes
  • isolement des personnes âgées
  • consommation en hausse d’anti-dépresseurs
  • hausse du nombre de suicides
  • utilisation du Rivotril, dénoncé par un comité de médecins
  • interdiction dans le même temps de l’utilisation de certains traitements…

Un groupe de chercheurs s’est donc penché sur ces chiffres en travaillant à partir des moyennes statistiques des décès des années précédentes.

Et leur constat est sans appel : 

la surmortalité due à la Covid n’est « que » de 3,34% pour les plus de 65 ans, aucune surmortalité n’étant constatée pour les moins de 65 ans. Ces 3,34% équivalent à 23 000 personnes mortes en 2020, et non pas 100 000 !

Soit 4 fois moins que les chiffres officiels, et rappelons-nous que Macron, toujours alarmiste, en annonçait 400 000 au début du premier confinement.

source : https://www.nice-provence.info / https://reseauinternational.net/covid-100-000-morts-mensonge/

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Économie : La vague redoutée des défaillances d’entreprises semble s’amorcer

L’année 2021 sera catastrophique au niveau économique car un grand nombre d’entreprises va disparaitre. Ceci fera exploser le chômage et fera chuter les recettes fiscales du Trésor public, ce qui obligera Bercy à augmenter les impôts de manière significative, ce qui tuera encore plus l’économie en attaquant la consommation. Rappelons que la situation économique était déjà dramatique avant le covid19…


La deuxième quinzaine de mars a été marquée par une explosion de 155% des défaillances d’entreprises par rapport à la même période de 2020.

Bruno Le Maire assure qu’il fera « le maximum pour éviter les faillites ».

L’année 2020 restera comme un paradoxe. La France avec la pandémie a vécu l’une des plus graves crises sanitaires et économiques que le monde ait connue, faisant plonger le PIB du pays de 9 % en quelques mois. Pourtant, seulement 32 184 entreprises ont sollicité et obtenu l’accompagnement du tribunal de commerce ou judiciaire, soit une baisse de 38,1 % par rapport à l’année précédente. Du jamais vu depuis 30 ans… 

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Afrique de l’Ouest et centrale : vers une «catastrophe alimentaire» ?

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