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Toulouse. Pour lutter contre la Covid-19, plusieurs secteurs de la ville désormais interdits au public

Plusieurs lieux de Toulouse, parmi les plus fréquentés, seront fermés au public à compter de dimanche 28 février 2021 et pour une période d’une semaine. Découvrez lesquels.

C’est un nouveau tour de vis dans le cadre de la lutte contre la propagation de la Covid-19Étienne Guyot, préfet de la région Occitanie et Jean-Luc Moudenc, maire de Toulouse et président de Toulouse Métropole, ont décidé de procéder à la fermeture de certains secteurs de Toulouse, par arrêté préfectoral samedi 27 février 2021. 

Les lieux concernés sont :

  • les berges de la Garonne situées en contrebas de la place Saint-Pierre, du quai Saint-Pierre, du quai Lucien Lombard, du quai de la Daurade, du quai de Tounis et correspondant à la promenade Henri Martin,
  • la place de la Daurade,
  • la prairie des Filtres,
  • le quai de l’Exil Républicain Espagnol.

Pour une durée d’une semaine

Cette mesure est applicable à compter de dimanche 28 février 2021 à minuit. Elle s’appliquera, dans un premier temps, jusqu’au lundi 8 mars 2021.

Le non-respect de cette obligation expose les contrevenants à une amende de 135 €.

La liste des lieux concernés par l’obligation pourra être actualisée en fonction de l’évolution de la situation sanitaire.

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Covid-19 : la France autorise un traitement par anticorps monoclonaux à l’efficacité discutée

Le gouvernement a annoncé jeudi que le bamlanivimab, du laboratoire américain Eli Lilly, allait être proposé en France aux patients de plus de 80 ans ou immunodéprimés. Mais les preuves de ses effets cliniques sont très limitées.

Les anticorps monoclonaux, ces molécules qui miment celles produites par notre organisme en cas d’agression virale, vont-ils contribuer à la lutte contre la pandémie ? C’est ce qu’espère l’exécutif français, qui a annoncé, jeudi 25 février, la mise à disposition, à compter de début mars, du bamlanivimab, du laboratoire américain Eli Lilly, afin de « renforcer notre arsenal anti-Covid », selon les termes du ministre de la santé, Olivier Véran.

« Quelque 83 centres hospitaliers ont déjà reçu des milliers [de doses] de ce traitement, qui pourra commencer à être administré avec prudence initialement dans un cadre hospitalier pour des patients âgés de 80 ans et plus, ou qui ont des troubles de l’immunité », a-t-il précisé lors d’un point de presse

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Les medias anglais commencent a en parler de la plandemie

Et cela vient du Daily mail qui est un des plus lus de UK

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Castex demande aux préfets le renforcement des contrôles des mesures en vigueur

Le Premier ministre français a demandé aux préfets des 20 départements où l’épidémie de Covid-19 menace de flamber un renforcement des contrôles des mesures restrictives.

Le Premier ministre Jean Castex a demandé ce 27 février 2021 aux préfets des 20 départements où l’épidémie de Covid-19 menace de flamber de renforcer les contrôles des mesures en vigueur, dont les couvre-feux, selon Matignon.

Le chef du gouvernement a «appelé les préfets à mener des concertations approfondies et à prendre des mesures à caractère immédiat : renforcement des contrôles des mesures mises en œuvre, optimisation de la campagne vaccinale, déploiement des tests salivaires dans les établissements d’enseignement et respect des directives relatives au télétravail», ont précisé ses services à l’issue d’une visioconférence de Jean Castex avec les préfets des 20 départements et les directeurs généraux des Agences régionales de santé concernées. 

Comme il l’avait twitté auparavant, le Premier ministre, avec les ministres de l’Intérieur Gérald Darmanin et de la Santé Olivier Véran, a rappelé les objectifs du gouvernement de «tout faire pour éviter un confinement national et adopter des mesures territorialisées».

Les échanges ont porté sur «les situations épidémiologiques locales, l’organisation des concertations avec les élus locaux et les premières tendances qui s’en dégagent», a ajouté Matignon, sans préciser qui du gouvernement ou des préfets allait communiquer sur d’éventuelles nouvelles mesures restrictives. 

Couvre-feu à 18h la semaine comme le reste du territoire, mais également tout le week-end : pour freiner l’épidémie, Nice et Dunkerque inaugurent ce 27 février une nouvelle variante de restrictions sanitaires qui guette d’autres grandes villes et départements, dont l’île-de-France, si la situation se dégrade.

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L’UNCAF rejette l’idée d’un passeport vaccinal

« Réserver la possibilité de voyager en avion uniquement à celles et ceux qui sont vaccinés est une idée parfaitement stupide, profondément discriminatoire, privative de liberté et qui freinera le redémarrage économique » déclare Olivier Manaut, président de l’Union Nationale des Compagnies Aériennes Françaises.

Tant que le vaccin ne sera pas accessible à tous les peuples du monde (puisqu’il n’y a pas que les Français qui voyagent par les airs), cette stratégie serait totalement discriminatoire puisque l’accès à l’avion serait uniquement rendu possible en fonction de l’âge, de la santé, de la profession et de la nationalité, critères qui représentent à ce jour les seules conditions d’accès aux vaccins.

L’autre problème sous-jacent d’une telle idée, c’est la stigmatisation faite d’un transport aérien qui finalement ne servirait à rien puisque tout le monde n’y aurait pas accès ! Les passagers se déplacent pour le loisir, pour leur travail, pour rejoindre leur famille, pour leur santé, pour faire des affaires, etc.

Le transport aérien n’est donc pas un « plus », mais une nécessité pour une grande partie des voyageurs, rappelle le président de l’UNCAF.

Enfin, et pour que la mesure soit équitable et utile, il faudrait aussi appliquer cette règle à l’ensemble des transports en commun car le virus ne préfère pas l’avion au RER, au taxi ou au co-voiturage, etc.

L’UNCAF soutient les mesures de lutte contre le COVID, si elles sont censées et justes. Le jour où le vaccin sera disponible pour tous, nous pourrons commencer à y réfléchir….

Et l’UNCAF attire l’attention du gouvernement pour ne pas mettre dos à dos les moyens de transports, tous nécessaires pour notre pays, pour l’économie ainsi que pour l’emploi qu’ils génèrent.

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France, patrie de l’économie zombie

CHRONIQUE – Oyez, braves gens, la France est le pays des miracles : le Covid 19 a fait baisser le nombre des faillites et réduit le chômage.

Les chiffres sont là : le PIB a diminué de 9% en 2020, mais pendant cette même année fatidique, le Conseil national des greffiers des tribunaux de commerce a dénombré 27 645 ouvertures de procédures collectives, soit un recul de 37,5 % rapport à 2019.

Mieux encore : la création d’entreprises a battu tous les records : 10 000 de plus en 20020 qu’en 2019 et 50 000 de plus qu’en 2018.

Quant au chômage, on craignait une flambée meurtrière. Or il s’est établi à 8% fin 2020, inférieur de 0,1 point à celui qui prévalait, en moyenne, sur les trois derniers mois de 2019, c’est-à-dire avant la récession déclenchée par l’épidémie de Covid-19.

Qui se souvient que François Mitterrand, en 1993, alors président de la République, et Grand Menteur devant l’Eternel, avait déclaré : « Dans la lutte contre le chômage, on a tout essayé. » Eh bien non ! On n’avait pas essayé la pandémie. A la décharge de Tonton, le surnom gentil et affectueux que Le Canard enchaîné avait donné à Mitterrand, on dira que lui et son gouvernement en 1981 avaient tout fait pour augmenter le chômage : 35 heures, augmentation du SMIC, hausse des impôts, programme archaïque de nationalisations, etc.

Enfin, selon une note publiée, mardi 23 février, par la Banque de France, la dette nette des entreprises, hors sociétés financières, ne s’est accrue que de 17 milliards d’euros en 2020. Soit une hausse de seulement 0,8%, alors que l’on criait au loup du surendettement

Tout va donc pour le mieux dans le meilleur des mondes possibles. Vive la France ! Vive Macron, notre bien-aimé Timonier !

Un signe toutefois devrait nous inquiéter : le déficit du commerce extérieur s’est creusé en 2020 de 7,3 milliards d’euros par rapport à 2019. Les Français se sont serrés la ceinture, ils ont gonflé leur épargne comme des Harpagons, et malgré tout ils ont plus acheté à l’extérieur qu’ils ne lui ont vendu. La faiblesse congénitale de notre économie est toujours là.

Un autre signe doit nous alerter : selon la même note de la Banque de France, la dette brute des entreprises, elle, s’est envolée de 217 milliards d’euros, soit une augmentation de 13 %. Le chiffre de la dette nette est en fait trompeur, car il est global. C’est vrai que beaucoup d’entreprises ont utilisé les prêts garantis par l’Etat pour gonfler leur trésorerie, mais il s’agit peut-être d’une minorité. Beaucoup d’autres s’en sont servi pour se maintenir à flots.

La presse est obnubilée par le problème de la dette publique, avec ce débat absurde sur son éventuelle annulation. Mais le problème de la dette privée est passé sous silence. Cette dette-là devra être remboursée, ou soldée par des faillites.

S’ajoute la dette fiscale et sociale des entreprises qui va se rappeler dans les prochains moins, voire dans les prochaines semaines, aux comptables des entreprises. Et ce rappel à la réalité risque d’être saignant, les agents du fisc et de la Sécu n’aiment pas trop qu’on les ballade.

En un mot comme en cent, beaucoup de nos entreprises qui sont en état de survie sont des entreprises zombies, un terme devenu à la mode chez les banquiers et autres affreux financiers.

Pour faire simple, on dira qu’une entreprise zombie est une entreprise qui persiste à survivre, pour le grand soulagement de ses salariés, alors qu’elle aurait dû disparaître. Mais ces entreprises continuent à capter des ressources humaines et capitalistiques qui auraient dû aller vers des entreprises d’avenir, et donc entravent leur essor. Pire : dans leur fuite en avant, elles ne créent plus d’emplois durables, recourent systématiquement à des contrats de travail courts, des intérimaires plutôt que de créer des emplois permanents. Le processus de destruction créatrice du capitalisme, souvent cruel, est entravé. Et finalement tout le monde est perdant. Le futur est sacrifié pour la survie dans le présent.

Le risque est donc qu’un grand nombre d’entreprises françaises entraîne notre pays dans une sorte de momification, sur la voie d’un nouveau déclassement, alors que beaucoup d’autres firmes, en Amérique ou en Asie, voire même en Europe, sont déjà de plain-pied entrées dans le monde de demain.Auteur(s) : Philippe Simonnot, journaliste pour FranceSoir – 27/02/2021 – 15:30
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Belgique, les robocops et 1984 en marche Pas de rassemblement, pas d alcool et surtout pas de musique

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Pays-Bas : la justice invalide l’annulation du couvre-feu

Alors qu’un tribunal avait ordonné au gouvernement de mettre fin au couvre-feu, la Cour d’appel de La Haye a invalidé ce jugement, estimant que l’exécutif était dans son droit en l’instaurant en raison des «circonstances extraordinaires».

Le gouvernement néerlandais avait le droit d’instaurer le couvre-feu en vigueur depuis le 23 janvier 2021 pour lutter contre le coronavirus, a estimé ce 26 février une Cour d’appel de La Haye, rejetant ainsi un jugement antérieur.

Il y a deux semaines, un tribunal de première instance avait plongé le pays dans la confusion en ordonnant au gouvernement de lever immédiatement le couvre-feu, une mesure controversée qui avait conduit à des émeutes lors de son instauration.

Le gouvernement avait ensuite fait adopter une nouvelle loi par le Parlement, soumise à une procédure accélérée, afin d’assurer le maintien du couvre-feu même s’il perdait l’affaire en appel.

Des «circonstances extraordinaires» qui permettent l’introduction du couvre-feu

En première instance, le tribunal avait statué que la loi spéciale sur laquelle s’était initialement reposé le gouvernement pour imposer un couvre-feu était prévue pour des «circonstances très urgentes et exceptionnelles», telles que l’effondrement d’une digue.

Le couvre-feu «peut se baser» sur cette loi spéciale, a cependant tranché la Cour d’appel de La Haye, ce 26 février. «La Cour d’appel a jugé qu’il existe des circonstances extraordinaires qui permettent l’introduction du couvre-feu», a-t-elle indiqué dans un jugement écrit. «La pandémie de coronavirus est une raison suffisante», a ajouté la Cour.

Malgré l’ordre donné le 16 février de mettre fin au couvre-feu, ce dernier a toujours été maintenu, le gouvernement ayant aussitôt interjeté appel et la Cour d’appel ayant ensuite suspendu le premier jugement dans l’attente de sa décision. L’affaire avait été portée devant la justice par Viruswaarheid (Vérité sur le virus), un groupe qui a organisé de nombreuses manifestations aux Pays-Bas depuis le début de la crise sanitaire.

Le couvre-feu, en vigueur de 21h à 4h30 jusqu’au 15 mars au moins, est le premier aux Pays-Bas depuis la Seconde Guerre mondiale. Son instauration avait conduit à trois jours de graves émeutes, les pires qu’a connues le pays depuis plusieurs décennies.

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Malgré la pression, l’Australie adopte une loi forçant les Big Tech à rémunérer les médias

Après une bataille entre Facebook et le gouvernement australien autour d’une loi visant à réguler les relations entre les médias traditionnels en difficulté financière et les géants du net, un accord a été trouvé sur les contenus d’actualité. Facebook a annoncé ce 23 février la levée du blocage en Australie des contenus d’actualité après un accord de dernière minute avec le gouvernement au sujet de la loi visant à contraindre les géants du numérique à rémunérer les médias pour leurs contenus. 

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Facebook/Australie : «Une bombe à retardement démocratique où le grand perdant sera l’utilisateur»

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EN DIRECT – COVID-19: LE CONFINEMENT LOCAL DÉBUTE DANS LES RÉGIONS DE NICE ET DE DUNKERQUE