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Covid-19 et surveillance massive : c’est officiel, l’Etat vient de commander 650 drones pour 4 millions d’euros

L’Etat français qui avait passé, en avril dernier, un appel d’offres pour acheter 650 drones vient de trouver ses deux fournisseurs (Rivolier et Milton-Innovation). Le prix du contrat annoncé en avril dernier est estimé à 4 millions d’euros

Face à une colère sociale qui couve et qui menace sérieusement d’exploser à tout moment, l’Etat français n’exclut plus aucune mesure pour éviter un éventuel soulèvement populaire. Ainsi, malgré la vive indignation provoquée par sa fameuse loi “Sécurité Globale”, l’Etat ne recule devant rien. Sa priorité est désormais de verrouiller le pays, quitte à recourir à une surveillance massive. Et c’est exactement ce qui est en train de se passer.

En effet, souvenez-vous, en avril 2020, un article de notre média, Lecourrier-du-soir.com, avait été très largement partagé sur les réseaux sociaux. Notre média révélait à l’époque un appel d’offre du gouvernement français pour l’achat de 650 drones. Le montant total était estimé à 4 millions d’euros.

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Soignants : «S’ils m’obligent à me faire vacciner, je démissionne»

A l’hôpital Bichat, à Paris, les propos d’Olivier Véran, qui envisage d’obliger les soignants à se faire vacciner, divisent le personnel. Certains estiment l’option envisageable mais d’autres s’agacent d’être montrés du doigt par l’exécutif.«Obliger, c’est un mot un peu rude», souffle Quentin S., étudiant en cinquième année de médecine.

Ce vendredi matin, devant l’hôpital Bichat, dans le XVIIIe arrondissement de Paris, les injonctions de l’exécutif – qui appelle les soignants à se faire massivement vacciner et envisage même de rendre le geste obligatoire – fracturent la communauté hospitalière. L’étudiant reprend : «Avant d’obliger, il faudrait au moins laisser encore un mois pour voir s’il n’y a pas une augmentation des vaccinés chez nous.» Au rez-de-chaussée, Isabelle (1) prend sa pause. Infirmière à Bichat depuis une vingtaine d’années, «longtemps réfractaire», elle a reçu sa première dose d’AstraZeneca, mardi. Alors pourquoi alors avoir accepté la piqûre ? Parce qu’elle en a «assez d’entendre que les personnels soignants sont des vecteurs» de transmission. «Je ne veux plus être stigmatisée, ni qu’on me dise que je suis responsable de contaminations de patients, insiste Isabelle. On se sent vraiment pointés du doigt.»

Vu l’ampleur de la pandémie, l’infirmière aguerrie comprend que le «gouvernement informe et aille dans le sens de la vaccination», mais forcer ses collègues à faire de même n’est pas la bonne démarche à ses yeux : «Ce n’est pas parce qu’on est soignant qu’on doit le faire. Avant d’être soignant, on est humain. On a chacun nos peurs, chacun a besoin de réfléchir. Il y a toujours dans le mental l’idée qu’on va nous injecter de la maladie dans les cellules. Tout le monde ne perçoit pas cela de la même façon.»

«Un souci de liberté»

Entre deux cigarettes, elle liste les différents profils au sein de la communauté médicale : «Il y a des complotistes, des réfractaires, d’autres qui souhaitent s’immuniser naturellement… Le panel de la société se retrouve aussi dans l’hôpital. On peut donc trouver injuste qu’à un moment donné on nous y oblige.» Le cas échéant, cela poserait «un souci de liberté, un problème éthique, parce qu’on est aussi des citoyens».

Nawal et Sabah, toutes deux aides-soignantes, âgées de 21 et 34 ans, partagent cet avis. Pour la première, fraîchement débarquée à Bichat depuis un mois, la vaccination n’est pas une option. «Je ne veux absolument pas être vaccinée. S’ils m’obligent, je démissionne. Je change de milieu. Je ne vais pas m’obliger à m’injecter quelque chose pour continuer à travailler. Il y a plein d’autres boulots», fulmine-t-elle.

Aide-soignante depuis 2013 venue à Bichat «en renfort Covid» courant novembre, Sarah renchérit : «Je pense que beaucoup de monde ici fera pareil. La majorité des personnes à qui j’en ai parlé ne veulent pas le faire.» Elle rejette l’argument selon lequel les soignants sont plus exposés au virus : «On a le matériel, on a tout ce qu’il faut, on fait attention

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Assez d’attente sans traitement : le Piémont conteste les directives

Dans un article d’Andrea Zambrano paru le 3 mars 2021 sur le site italien La Nouvelle Boussole (La Nuova Bussola), que nous avons traduit ci-dessous, on prend le pouls des dernières décisions juridiques en Italie obtenues par les docteurs Salvucci, Stramezzi, Szumsky et Poretti assisté par Me Grimaldi contre le ministère de la Santé et l’AIFA (équivalent de notre Agence nationale de sécurité du médicament).

Le docteur Grimaldi nous confie : « Nous avons obtenu en décembre un arrêt contre l’AIFA pour légaliser la prescription de l’hydroxychloroquine comme traitement contre la Covid ». closevolume_off

Suite à cela, le Dr Grimaldi et trois de ses confrères ont attaqué la décision du ministère de la santé et de l’AIFA avec l’avocat Grimaldi afin d’obtenir la suppression du protocole « Rester à domicile et paracétamol en cas de symptômes » . Me Grimaldi déplorait que les patients soient laissés chez eux, sans traitement, ou avec un mauvais traitement, en attendant que la situation s’empire avant d’être traités en soin intensif à l’hopital.

« On a gagné ! » nous dit-il. « Maintenant, les Médecins ont le droit et le devoir d’aller traiter les patients à la maison, selon Science et Conscience. C’est un jugement historique, même s’il dit quelque chose de simple et logique : les malades doivent être traités par les Médecins! » 


Le Piémont est donc la première région à désavouer les directives ministérielles sur la stratégie médicale choisie pour le soin à domicile contre la Covid qui prévoient de rester « chez soi » en prenant du « paracétamol en cas de symptômes ». Le nouveau protocole sanitaire régional inclut une obligation du médecin de rendre visite au patient déclaré positif ainsi qu’un traitement « en temps opportun » afin d’éviter l’hospitalisation sont inclus dans le nouveau protocole autorisé par le CTS régional. Le Conseiller Icardi dit :

« Les gens doivent être traités à domicile, le gouvernement doit les prendre en charge. »

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La Chine rend les tests anaux obligatoires pour les voyageurs étrangers

Malgré les critiques, la Chine persiste et signe. Pékin a décidé de rendre obligatoires les dépistages anaux du coronavirus pour tous les voyageurs étrangers arrivant dans le pays.

Révélée par le quotidien britannique The Times, cette décision tombe quelques jours seulement après que le Japon a appelé la Chine à cesser de pratiquer des tests rectaux sur ses ressortissants, invoquant la «profonde souffrance psychologique» provoquée par ce procédé.

En les rendant désormais obligatoires pour tous les voyageurs étrangers, Pékin a donc fait fi de cette plainte. Les autorités chinoises jugent cette méthode, qualifiée d’humiliante par certains, plus efficace pour détecter le virus, expliquant que des traces du Covid-19 restent présentes plus longtemps dans le système digestif que dans les voies respiratoires.

Elle consiste à introduire un long écouvillon de 3 à 5 cm à l’intérieur de l’anus, et de le tourner tout doucement. L’opération prend 10 secondes, assure l’agence sanitaire chinoise. Des centres de dépistage dédiés vont être installés dans les aéroports de Pékin et Shanghai, indique le Times.

Une alternative pourrait être offerte aux récalcitrants, précise le célèbre journal britannique. Lu Hongzhou, un médecin basé à Shanghai, a affirmé aux médias d’Etat chinois que les voyageurs pourraient s’ils le préfèrent fournir un échantillon de selles à l’aéroport à leur arrivée.

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En Martinique deux semaines après le carnaval il y a rien

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Ce robot sert les clients d’un bar en Espagne pour éviter les contacts .

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Fermetures de lits temporaires à l’hôpital de Châteauroux

lors que les établissements hospitaliers viennent de passer en « organisation de crise », l’hôpital de Châteauroux-Le Blanc a décidé de fermer provisoirement 14 lits de chirurgie.

La direction parle d’un « ajustement de la capacité d’accueil ». La pilule ne passe pas à la CGT.

L’annonce a été faite mercredi dernier aux soignants de l’hôpital de Châteauroux-Le Blanc : 7 lits en chirurgie digestive et 7 autres dans le service de chirurgie orthopédique vont fermer provisoirement. Pour Karine Jouhanneau, secrétaire CGT du centre hospitalier, cette situation est inacceptable alors que les établissements hospitaliers du pays viennent de passer en « organisation de crise » pour prévenir une aggravation de la situation sanitaire. « 

On ferme des lits pour récupérer du personnel, parce qu’on a un gros manque d’effectifs » précise la syndicaliste. « On nous demande de passer en « organisation de crise mais avec quelles moyens ? Ça fait un an que cette crise sanitaire à commencé, à un moment donné il va falloir que le ministère de la Santé se réveille et attribue des moyens humains aux hôpitaux et qu’on ouvre des lits de réanimation pérennes. » Avec la fermeture provisoire de ces 14 lits en chirurgie, Karine Jouhanneau déplore par ailleurs une déprogrammation des interventions non urgentes et souligne que « seulement deux infirmières sont récupérées ; ça ne va pas sauver l’hôpital ! »

Non, nous n’avons pas déprogrammé d’interventions – Evelyne Poupet, directrice de l’hôpital

Contactée par France Bleu Berry, Évelyne Poupet, la directrice de l’hôpital de Châteauroux-Le Blanc confirme ces fermetures temporaires de lits en chirurgie digestive et orthopédique : « Plus que de fermetures, je préfère parler d’une réorganisation au fil de l’eau. Nous n’avons pas déprogrammé d’interventions dans ces deux activités. Ça veut dire simplement que temporairement, nous n’allons pas admettre de nouveaux patients. C’est une réorganisation interne qui va permettre aux professionnels de se reposer alors que les vacances viennent de débuter. Quand on peut réduire la capacité d’accueil, nous le faisons, nous ajustons au fur et à mesure. »

Évelyne Poupet confirme aussi que ces fermetures temporaires de lits vont permettre également de rééquilibrer les ressources humaines et soulager un peu des services très sollicités : « On continue malgré tout à faire appel à du personnel intérimaire, qui est difficile à trouver », précise la directrice de l’établissement castelroussin.

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Covid-19 : des tests salivaires en masse dans les écoles

À partir de la semaine prochaine, les tests salivaires doivent être déployés en masse dans les écoles. Le gouvernement espère casser les chaînes de contamination.

Le gouvernement veut tester « rapidement » 300 000 enfants par semaine grâce à des tests salivaires dans les écoles. L’objectif a été édicté par Jean Castex, le Premier ministre, jeudi.

L’idée est de casser les chaînes de contamination du Covid-19 dans les écoles.

La Haute autorité de santé a donné le 11 février son feu vert à ces tests pour les personnes sans symptôme. Le gouvernement souhaite les déployer en priorité dans les écoles maternelles et élémentaires.

Moins invasif que les PCR

Les tests salivaires ont en effet l’avantage d’être moins désagréables que les PCR «classiques» qui nécessitent l’introduction d’un écouvillon dans le nez : seule la salive sera récupérée, par un crachat dans un flacon ou, chez les plus petits, via une pipette sous la langue.

Ces tests, qui seront organisés de façon aléatoire et répété, ou dans les zones où le virus circule beaucoup, doivent permettre de renforcer la politique de dépistage du Covid-19 et rompre au plus vite les chaînes de contamination.

Selon le ministre de l’Education, Jean-Michel Blanquer, «entre 50 000 et 80 000» tests devaient être réalisés dès cette semaine. Par exemple, dans les cinq départements de l’ex-Aquitaine, près de 2 500 tests salivaires sont prévus en deux jours sur quinze établissements scolaires.

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À l’hôpital, Franzi, robot nettoyeur, chante et papote avec les patients

En temps de pandémie, sa compagnie est très appréciée. Franzi fait le ménage, rappe et distrait au passage les patients de la clinique de Munich qui l’emploie.

Dans la clinique de Munich qui l’emploie, Franzi exécute impeccablement son travail de nettoyage des sols. Mais en pleine pandémie de coronavirus, ce robot volubile a trouvé une autre fonction : donner le sourire aux patients et au personnel.

« Je veux vraiment nettoyer ! »

« Peux-tu te mettre sur le côté s’il te plaît ? Je dois nettoyer ! », demande la machine en allemand, d’une voix aiguë, à ceux qui se mettent sur son chemin programmé à l’avance.

Gare aux réfractaires, Franzi insiste d’une voix plus forte :  « Tu dois te pousser ! Je veux vraiment nettoyer ! ». Et, si cela ne suffit pas, elle finit par verser quelques larmes digitales de ses yeux figurés par deux LED qui changent de couleur.

« Avec la pandémie, les visites sont interdites alors Franzi distrait un peu les patients », décrit Constance Rettler, de la firme Dr. Rettler, qui effectue le ménage dans la clinique Neuperlach et qui a fourni le robot.

Trois fois par jour, celui-ci sillonne le hall d’entrée de l’hôpital, avec, en guise de pieds, une serpillère automatique. Des patients, amusés, le prennent en photo. D’autres « discutent » avec l’appareil d’environ un mètre de haut.

« Née » dans une entreprise de Singapour, Franzi s’appelait Ella et parlait anglais avant d’arriver à Munich en début d’année.

Mais son allemand est parfait lorsqu’elle raconte à ses interlocuteurs ne « jamais vouloir grandir » et que le ménage est sa passion. Sur demande, elle peut également chanter une chanson de rap ou quelques classiques allemands.

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Scientifiques : La vaccination avant chaque départ en vacances peut être nécessaire

Des scientifiques de l’université d’Oxford ont suggéré que les gens pourraient avoir besoin de se faire vacciner contre le coronavirus non pas une, ni deux fois, mais à CHAQUE fois qu’ils veulent quitter leur pays d’origine.

Des scientifiques ont publié la semaine dernière un rapport dans le Royal Society Journal qui reconnaît qu’il y a peu de données sur l’efficacité ou la durée de vie des vaccins actuels, et il est donc probable que les pays auront besoin d’une vaccination récente.

Se faire vacciner à l’infini alors qu’il n’y a aucune indication sur l’efficacité des vaccins ou sur leurs effets secondaires à long terme peut sembler absolument mental, mais c’est ce que l’on suggère.

S’adressant au London Telegraph, l’épidémiologiste Christopher Dye, l’un des principaux auteurs des rapports, a déclaré : “Si nous pensions que la durée de la protection n’était qu’une question de mois, alors le type de critères qui pourraient être introduits – nous ne disons pas qu’ils devraient l’être – est que lorsqu’on voyage à l’étranger pour un court séjour, en vacances par exemple, on est vacciné chaque fois à cette occasion pour ce voyage particulier”.

Les scientifiques ont également déclaré que les passeports de vaccination sont “réalisables”, mais seulement lorsque des normes mondiales peuvent être convenues.

“Un système efficace de passeports vaccinaux qui permettrait le retour aux activités pré-Covid, y compris les voyages, sans compromettre la santé personnelle ou publique, doit répondre à un ensemble de critères exigeants”, a déclaré M. Dye.

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