
Le Premier ministre du Grand-Duché du Luxembourg a pris la décision d’imposer le pass sanitaire pour tous les lieux de travail du pays. Les salariés sans pass ne seront toutefois pas licenciés. Le pass sanitaire devient obligatoire à partir du 15 janvier pour accéder à son lieu de travail au Luxembourg, conformément à une loi votée en décembre après l’apparition du variant Omicron. Lire aussi Aux quatre coins du monde, l’inventivité des gouvernements pour sanctionner les non vaccinés Cette mesure, qui vise à accélérer la vaccination anti-Covid, avait été annoncée par le Premier ministre Xavier Bettel le 29 novembre. Le dirigeant libéral avait pointé du doigt un taux de vaccination «trop bas pour éviter une surcharge des hôpitaux», au moment où les informations sur la forte contagiosité de l’Omicron laissaient craindre à nouveau de fortes pressions sur le système de soins. Au Grand-Duché, 65% de la population totale est entièrement vaccinée – un chiffre plus faible qu’en France ou en Belgique – et 42% ont reçu le «booster» ou dose de rappel, selon des chiffres officiels. A partir du 15 janvier, les employés qui ne télétravaillent pas devront être en mesure de présenter sur leur lieu de travail une preuve de schéma vaccinal complet, d’un rétablissement du Covid-19 ou d’un test antigénique de moins 24 heures (de 48 heures pour les PCR). L’obligation concerne à la fois le secteur public et les entreprises privées. Le salarié sans pass ne pourra pas être licencié Le salarié qui ne présenterait pas de pass sanitaire ne pourra toutefois pas être licencié, une garantie obtenue après une concertation entre les partenaires sociaux et l’exécutif, validée par un vote du Parlement le 16 décembre. Le salarié réfractaire ou dans l’impossibilité de présenter un pass devra se mettre en congé ou renoncer à son salaire à l’épuisement de ses congés, précisent les autorités. La confédération syndicale OGBL a critiqué «l’injustice sociale» représentée par le coût des tests, pouvant s’élever jusqu’à 600 à 700 euros par mois. «Pour les salariés à revenu faible voire moyen, le CovidCheck crée de facto une obligation vaccinale», a dénoncé l’organisation. Le Luxembourg, petit Etat de 630 000 habitants situé entre l’Allemagne, la Belgique et la France, bat régulièrement des records de contaminations ces dernières semaines, avec environ 30% de tests positifs ces derniers jours. Avec 20 personnes en soins intensifs sur un total de 69 patients Covid soignés à l’hôpital, le système de soins luxembourgeois n’est pour l’heure pas engorgé.

Vous pouvez voir ci-dessous l’annonce postée sur le réseau international Indeed qui montre le salaire journalier d’un médecin vaccinateur covidiste : 1 050,00 €. Vous comprenez maintenant pourquoi d’aucuns ne se posent davantage de questions et préfèrent encaisser des sommes d’argent indécentes, très largement supérieures à ce qu’un médecin libéral peut gagner dans son cabinet en réalisant des diagnostics beaucoup plus complexes, nécessitant de réelles compétences. Reste à savoir pourquoi le conseil de l’Ordre ne réagit toujours pas face à ces dérives indignes du métier de médecin !


💥Booooommmmm💥
Le gouvernement britannique admet que les vaccins ont endommagé le système immunitaire naturel des personnes doublement vaccinées. Le gouvernement britannique a admis qu’après une double vaccination, on ne sera plus jamais en mesure d’acquérir une immunité naturelle complète contre les variantes du Covid – ou éventuellement contre tout autre virus. Regardons donc la « vraie » pandémie commencer maintenant ! Dans son « Rapport de surveillance du vaccin COVID-19 » de la semaine 42, l’autorité sanitaire britannique reconnaît, à la page 23, que « les niveaux d’anticorps N semblent être plus faibles chez les personnes infectées après deux doses de vaccin ». Il est également précisé que cette baisse des anticorps est en fait permanente. Qu’est-ce que cela signifie ? Nous savons que les vaccins n’empêchent pas l’infection ou la transmission du virus (en fait, le rapport indique ailleurs que les adultes vaccinés sont désormais beaucoup plus susceptibles d’être infectés que les adultes non vaccinés). Les Britanniques constatent maintenant que le vaccin altère la capacité de l’organisme à produire des anticorps après l’infection, non seulement contre la protéine spike, mais aussi contre d’autres parties du virus. En particulier, les personnes vaccinées ne semblent pas produire d’anticorps contre la protéine de la nucléocapside, l’enveloppe du virus, qui est un élément crucial de la réaction chez les personnes non vaccinées. À long terme, les personnes vaccinées sont beaucoup plus vulnérables à d’éventuelles mutations de la protéine spike, même si elles ont déjà été infectées et guéries une ou plusieurs fois. Les personnes non vaccinées, en revanche, acquerront une immunité durable, voire permanente, contre toutes les souches du prétendu virus après l’avoir contracté naturellement, ne serait-ce qu’une fois.
Source:https://assets.publishing.service.gov.uk/government/uploads/system/uploads/attachment_data/file/1027511/Vaccine-surveillance-report-week-42.pdf
Les premières compagnies d’assurance font marche arrière, car une énorme vague de dommages les attend.
Anthony Fauci confirme que le test PCR ne permet pas de détecter les virus vivants.
Anthony Fauci confirme que ni le test antigène, ni le test PCR ne permettent de dire si quelqu’un est contagieux ou non !!!
Tous les fondements de la soi-disant pandémie sont donc caducs.
Le test PCR était le seul indice d’une pandémie
Sans test PCR, pas de pandémie
Pour tous les collaborateurs de la presse, les médecins, les avocats, les procureurs, etc. C’est la dernière clé, la preuve ultime que toutes les mesures doivent être levées immédiatement
Macron : Le tube de l’été 2022 🤣🤣🤣


Eric Lanzarone, avocat en droit public, a déposé un recours contre le contrat signé entre l’entreprise Pfizer et l’Etat Français. Pfizer répond.
Les marchés publics c’est sa spécialité. L’avocat marseillais Eric Lanzarone dénonce la clause d’irresponsabilité imposée par Pfizer à l’Etat, dans le cadre de la vaccination anti-Covid.
« Pfizer ne sera jamais responsable des éventuelles conséquences du vaccin. Comment accepter que l’Etat ait signé un tel contrat, avec cette clause, illégale dans le contrat public? » Selon maitre Lanzarone, normalement c’est l’administration qui impose ses conditions. « Là, on a privatisé les profits et socialisé les risques. C’est l’état qui va payer pour la responsabilité de Pfizer.«
En cas de problèmes suite à la vaccination, qui indemnisera les victimes ? « Normalement c’est l’ONIAM, (l’Office National d’Indemnisation des Accidents Médicaux), mais avec cette clause, ce ne sera sûrement pas possible ».
Des clauses disproportionnées
« L’Etat s’est fait tout petit devant Pfizer en acceptant des clauses léonines ». Car autre chose chiffone l’avocat marseillais : apparement, en cas de contentieux, Pfizer ne pourra être assigné uniquement devant une cour belge, au regard du droit belge. » Pourquoi ? Je n’ai pas de réponse ! Mais il est très possible que suite au recours déposé au tribunal administratif de Paris, on me renvoie vers une cour belge ! »
Opacité dans les bons de commandes
Depuis plusieurs mois, l’avocat demande à Olivier Véran, ministre de la santé, les bons de commandes des vaccins Pfizer. « Quel montant dépensé ? Combien de doses commandées ? Ces données sont publiques normalement et libres de consultation. Mais là impossible de les avoir. Le ministère me renvoie sur Santé Public France, qui ne répond même pas« .
Alors il a décidé de saisir la CADA, la Commission d’accès aux documents administratifs, une autorité administrative indépendante chargée de veiller à la liberté d’accès aux documents. » Dans quelques mois, j’aurai normalement accès aux bons de commandes« .
1,8 milliard de doses commandées par l’Union Européenne
Comme l’explique le site « CheckNews » de Libération, l’Union européenne a commandé 1,8 milliard de doses supplémentaire pour tous les Etats membres de l’Union, entre fin 2021 et 2023 (une commande ferme pour 900 millions de doses et une option pour 900 millions de doses supplémentaires).
Dans le cadre d’un contrat négocié par la commission européenne, les prix sont alors identiques pour tous les Etats membre de l’Union, et les vaccins sont livrés au même moment dans chaque pays, au prorata de leur population.
