Catégories
Actualité

Selon l’ancien président de la commission Covid du Collège royal des médecins et chirurgiens : « C’est le plus grand canular jamais perpétré sur un public sans méfiance »

Le Dr Roger Hodkinson est l’ancien président du comité du Collège royal des médecins et chirurgiens d’Ottawa. Il a déjà été PDG d’un grand laboratoire médical privé à Edmonton, dans l’Alberta, et a occupé pendant les 20 dernières années le poste de président d’une société de biotechnologie médicale basée en Caroline du Nord, actuellement chargée de vendre un test Covid-19. Il est spécialiste en pathologie, y compris en virologie, et a été formé à l’université de Cambridge au Royaume-Uni — il est parfaitement placé pour parler de ce sujet.

Lors d’une récente réunion de la commission des services communautaires et publics du conseil municipal d’Edmonton (dont l’audio gagne actuellement en popularité sur YouTube), le Dr Hodkinson a déclaré :

« Le principal constat, c’est qu’il existe une hystérie publique totalement infondée, alimentée par les médias et les politiciens. C’est scandaleux. C’est le plus grand canular jamais perpétré sur un public sans méfiance. [Le Covid-19] n’est rien d’autre qu’une mauvaise grippe saisonnière. Ce n’est pas le virus Ebola. Ce n’est pas le Sras. C’est de la politique qui joue à la médecine, et c’est un jeu très dangereux. »

Hodkinson poursuit en soulignant qu’aucune action d’aucune sorte n’est nécessaire, à part ce qui s’est passé pendant la saison de grippe de l’année dernière :

« Si nous nous sentions mal, nous restions à la maison, nous prenions une soupe au poulet et aux nouilles, nous ne rendions pas visite à grand-mère, nous décidions quand retourner au travail ; nous n’avions besoin de personne pour nous le dire. »

Il poursuit :

« Les masques sont totalement inutiles.

Il n’y a aucune preuve de leur efficacité, quelle qu’elle soit.[Les masques] sont simplement des signaux de vertu.

Ces gens se promènent comme des lemmings obéissants avec leur masque sur le visage, sans aucune connaissance de base.


La distanciation sociale est également inutile.

Le Covid est diffusé par des aérosols, qui parcourent une distance de 30 mètres environ avant de se poser.

Les fermetures d’écoles et d’entreprises ont eu des conséquences absolument terribles.

Tout et partout devrait être ouvert demain, comme le stipule la déclaration de Great Barrington.

Cliquer ici l’article en entier

Catégories
Actualité

Covid-19 : la Galice permet d’infliger des amendes en cas de refus de se faire vacciner

Le conseil régional de Galice a approuvé une loi permettant d’infliger des amendes aux personnes refusant de se faire vacciner contre le Covid-19. Les sanctions peuvent atteindre les 600 000 euros.

C’est une décision qui risque de faire grand bruit. Comme le relaie le quotidien espagnol El País, la Galice, région du nord-ouest de l’Espagne, est devenue la première communauté indépendante du pays à mettre en place un cadre législatif pouvant sanctionner les gens qui refusent la vaccination contre le Covid-19. Le parti politique conservateur Partido Popular a fait voter son texte au Parlement régional, majoritairement à droite, qui a approuvé cette loi permettant aux autorités d’infliger des amendes allant de 1 000 à 600 000 euros. La plus lourde des amendes pourra être infligée en cas de refus « injustifié » de se faire vacciner lorsqu’il « existe un risque très grave ou une atteinte à la santé de la population. »

Cette décision a fortement été critiquée par l’opposition qui rappelle que le gouvernement central avait annoncé dans sa stratégie nationale de vaccination que comme tous les autres vaccins en Espagne, le vaccin contre le Covid-19 ne serait pas obligatoire. Les partis socialistes et nationalistes rappellent donc que cette loi « viole les droits fondamentaux et contredit les réglementations nationales. »

La vaccination forcée en Espagne, pas une première

Cité par El País, Federico de Montalvo, expert en droit de la santé et vice-président du Comité de bioéthique d’Espagne, indique pourtant que cette loi votée par le Parlement régional n’est juridiquement pas illégale. En Espagne, la vaccination obligatoire dans des situations telles qu’une pandémie est légalement soutenue par la loi de 1986 sur la santé publique. Cette loi permet en effet de prendre des mesures qui limitent les droits individuels si ces dernières profitent à l’ensemble de la communauté. 

Cliquer ici l’article en entier

Catégories
Actualité

Plus de 40 % de tentatives de suicide chez les ados.

Catégories
Actualité

La grosse arnaque du revenu universel (surtout financé par la dette)

Catégories
Actualité

Covid-19. La vaccination en entreprise débute ce jeudi, comment va-t-elle se dérouler ?

À partir du jeudi 25 février, se faire vacciner contre le Covid-19 par un médecin du travail sera possible. Mais attention, tous les salariés ne pourront pas y avoir accès dans un premier temps.

Pour Jean-Michel Sterdyniak, secrétaire général du Syndicat national des professionnels de la santé au travail, ce lancement devrait même ressembler à un faux départ. « L’instruction du ministère du Travail est arrivée le 16 février ; le 25 février les vaccinations ne commenceront pas, personne n’est prêt, nous assure-t-il. On en saura plus dans quinze jours. »

En attendant, on fait le point sur les critères, les conditions et les droits de la vaccination pour les salariés.

Quel sera le vaccin administré ?

Il s’agit du sérum d’AstraZeneca/Oxford, autorisé en France depuis le 2 février. C’est un vaccin à vecteur viral : il prend comme support un autre virus (un adénovirus de chimpanzé) qui a été transformé et adapté pour combattre le Covid-19.

Son efficacité est de 60 % à 70 % chez les moins de 55 ans, d’après une étude parue le 8 décembre 2020 dans la revue scientifique The Lancet. Ses résultats sont moins flatteurs que ceux de ses concurrents Moderna et Pfizer (autour de 90 %). Néanmoins, cela reste un taux supérieur à la plupart des vaccins contre la grippe.

Concernant ses effets secondaires, l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) faisait état, au 16 février, de  363 cas de syndromes pseudo-grippaux souvent de forte intensité (fièvre élevée, courbatures, céphalées) chez des personnes vaccinées  ​avec le sérum d’AstraZeneca. Ces cas ont pour la plupart été repérés chez des personnes âgées de moins de 50 ans, ajoute l’ANSM.

Cependant, l’agence estime que ce bilan  ne remet pas en cause le rapport bénéfice/ risque du vaccin ​. Devant la réticence affichée par certains patients et médecins, le Pr Alain Fischer, coordinateur de la stratégie vaccinale du gouvernement, tient à rassurer.  C’est un vaccin pour lequel le taux d’efficacité est très bon et non un vaccin de seconde zone ​, a-t-il déclaré le 18 février sur Europe 1 .

Cliquer ici pour lire l’article

Catégories
Actualité

Ordre des médecins et liberté de prescription, de pensée, d’expression.

Nous relayons ce jour une tribune du Dr Gérard Maudrux publiée ce 23 février 2021 sur son blog en réponse au Conseil de l’Ordre des médecins qui l’a convoqué récemment. Rappelons que le Conseil de l’Ordre a entamé une campagne de convocation de certains médecins ayant comme point commun d’avoir traité leurs patients avec de traitements précoces en respect de leur serment d’Hippocrate.closevolume_off

Le Dr Gérard Maudrux est un iconoclaste parmi les médecins, dans une première vie chirurgien urologue libéral à Grenoble, il a présidé pendant 18 ans et jusqu’à la fin de 2015 la Caisse autonome de retraite des médecins de France, la CARMF. Il tourne la page avec un seul regret : avoir encore des choses à dire, une vision non conformiste du système de santé à présenter. Car ses idées (il a fondé Action santé pour lutter contre la loi Evin en 1991, il veut bloquer la fuite en avant des charges, est favorable à une retraite à la carte…), le Dr Maudrux les a toujours défendues le verbe haut, au besoin seul contre tous.

Dans un debriefing récent, le Dr Maudrux nous expliquait que les médecins avaient peur et se taisaient.  De son coté, il n’a pas hésité à saisir le Conseil d’Etat avec l’assistance de Me Teissedre pour une requête pour une recommandation temporaire d’utilisation pour l’Ivermectine.

Dans son post il reprend tous les éléments qu’il a adressé devant le Conseil de l’Ordre à commencer par le seul traitement proposé le Doliprane et le « restez chez vous ».

Cliquer ici pour lire la suite de l’article

Catégories
Actualité

La République tchèque impose un double masque ou un respirateur dans les lieux publics

Depuis lundi, le port de respirateurs FFP2, de masques faciaux nanofiltrés ou de deux masques chirurgicaux en même temps est obligatoire dans les transports en commun et autres lieux publics de la République tchèque, en vertu d’une décision prise par le ministère de la Santé.

Les masques ou foulards faits maison ne sont plus acceptés depuis le 22 février dans les transports en commun et les lieux publics de la République tchèque, a fait savoir Radio Prague International.

Les Tchèques seront ainsi obligés de porter, dans les lieux publics à forte concentration de personnes, des masques de type FFP2 ou KN95, ainsi que d’autres masques en nanofibres. Comme alternative, il est possible d’utiliser deux masques chirurgicaux à la fois.

Ces mesures sont destinées à assurer une meilleure protection des voies respiratoires contre la propagation du variant britannique du coronavirus, a expliqué vendredi le ministre de la Santé, Jan Blatný.

Une mesure qui fait des émules

Les Centres pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC) ont récemment conseillé aux Américains de mettre un masque en tissu par-dessus un masque jetable. Ces recommandations ont été entendues en Norvège, où les autorités sanitaires ont suivi l’exemple de leurs confrères américains après avoir d’abord accueilli avec scepticisme l’idée du port de deux masques.

Les CDC ne recommandent pas cependant de porter deux masques médicaux à la fois ni de combiner les masques KN95 avec d’autres types de masques.

Cliquer ici pour lire la suite de l’article

Catégories
Actualité

11 mois que les Français sont privés de liberté : ça suffit !

par Nicole Delépine.

Ne laissons plus le président et les apôtres de la tyrannie sanitaire être les maitres des horloges et imposer les sujets dont on parle aux JT, sur les chaines d’info continue mais aussi malheureusement beaucoup trop sur les réseaux sociaux et les médias alternatifs.

La première des priorités est de briser nos chaines.

Les sujets aussi importants qu’ils soient, mis en première ligne par le pouvoir par la décision de dissoudre une association comme Génération identitaire ou les victimes réveillés par me too ou encore les universités dévoyées, vont pouvoir occuper des heures les médias, mais tristement aussi les réseaux sociaux et les journaux web. Ces derniers médias relativement libres ne consacrent plus assez de place à l’agonie de la France et des français étranglés par la peur (qui n’a plus de raison d’être) et les mesures prétendument sanitaires (stupides et mortifères).

Et pendant ce temps là les Français sont toujours en prison, les étudiants se suicident et les internes des hôpitaux, les pauvres sombrent dans la misère extrême, les enfants sont masqués de plus en plus perturbés mais « tout le monde s’en fiche ». Parlez-moi d’autre chose. Eh bien NON.

Il est urgent de parler de ce qu’occultent des dissertations sans fin sur des faits divers sordides1 : la maltraitance permanente des Français par un pouvoir tyrannique dont une grippe un peu sérieuse n’est que le prétexte.

VOILÀ PRESQUE 11 MOIS QUE TOUS LES FRANÇAIS SONT VICTIMES DE VIOLENCES PSYCHOLOGIQUES MAJEURES, PRIVÉS DE LIBERTÉ, ENFERMÉS PRESSURÉS PAR DES CONTRAVENTIONS ABUSIVES

L’URGENCE EST DE SE BATTRE POUR SUPPRIMER MAINTENANT TOUTES LES MESURES LIBERTICIDES TOTALEMENT INEFFICACES ET GRAVEMENT DÉLÉTÈRES

Elles bloquent toute contestation véritable et forte. Tant que le pays n’est pas libéré, les autres sujets ne peuvent qu’être effleurés et sûrement pas approfondis, ni résolus, ni débattus avec l’ensemble du peuple.

Cliquer ici pour lire la suite de l’article

Catégories
Actualité

La Ligue des droits humains porte plainte contre l’Etat belge en raison des mesures anti-Covid-19

La Ligue des droits humains et son équivalent néerlandophone la Liga voor Mensenrechten portent plainte contre l’Etat belge. Elles contestent la légalité des arrêtés ministériels pris pour lutter contre la pandémie de covid-19. La Ligue des droits humains (LDH) et la Liga voor Mensenrechten (LvM) intentent une action en référé contre l’Etat belge. L’affaire a été introduite le 22 février 2021 devant le tribunal de première instance francophone de Bruxelles. Les organisations souhaitent que la justice tranche la question de la légalité de la gestion de la crise de Covid-19 par arrêtés ministériels. Les associations considèrent qu’un débat parlementaire est nécessaire pour lutter contre la pandémie. Comme le rapporte la Rtbf, Olivia Venet, présidente de la LDH, a publié un communiqué où elle souligne l’importance du rôle du pouvoir législatif dans les prises de décision : «Cette concentration des pouvoirs entre les mains du pouvoir exécutif, sans qu’aucun contrôle parlementaire n’intervienne, n’est plus tolérable. Les vagues promesses d’un cadre légal qui interviendrait en juin 2021, et qui n’aurait vocation qu’à régir les prochaines épidémies, sont loin d’être suffisantes.»

Cliquer ici pour lire l’article en entier

Catégories
Actualité

Les Bruxellois baissent le masque… La police baisse les bras !

Les Bruxellois mettent bas les masques et la police constate qu’il est impossible de verbaliser tous ceux qui ne respectent pas les mesures sanitaires

Le nombre ne fait pas la Vérité. Mais le nombre peut se révéler bien précieux pour faire infléchir certaines pratiques iniques. La leçon nous en a été donnée ce week-end à Bruxelles et devrait valoir pour la France et pour le reste de l’Europe soumise à l’hystérie covidienne.

Avec le beau temps, tous les espaces verts bruxellois, et notamment le Parc du Cinquantenaire et le Bois de la Cambre, ont connu une très importante fréquentation dimanche. Et une très grande proportion des promeneurs ont baissé le masque dans un mouvement spontané de libération et ce sans plus aucun respect des fameuses distances sociales.

Face à l’ampleur du phénomène, la police a renoncé à verbaliser les nombreuses personnes ne respectant plus les restrictions sanitaires.

Observation : beaucoup de gens sans masque. La police veille mais ne peut pas être partout malgré le déploiement de patrouilles supplémentaires“, a laconiquement déclaré Ilse Van de Keere, porte-parole de la police de Bruxelles-Capitale/Ixelles. Et d’avouer : “Il était impossible de verbaliser tous ceux qui ne respectaient pas les mesures.”

Médias-Presse-Infos, le 22 février 2021