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Crise sanitaire : l’Etat français a manqué d’anticipation, selon la Cour des comptes

Dans son rapport annuel, la Cour des comptes juge que l’Etat français a manqué d’anticipation face à la crise sanitaire du Covid-19.

Ecoles, hôpitaux, SNCF… La Cour des comptes juge dans son rapport annuel publié ce 18 mars que le manque d’anticipation de l’Etat face à d’éventuelles crises a pénalisé l’efficacité de nombreuses administrations et opérateurs publics dans la gestion de l’épidémie de Covid-19.

Reportant au mois prochain sa traditionnelle évaluation de l’état des finances publiques, l’institution financière consacre une large part de ce rapport aux «premiers enseignements» de la crise sanitaire, concluant que «les acteurs publics n’accordent pas suffisamment d’attention à la gestion des risques, à leur préparation, quelle que soit leur nature».

Un service de santé pas prêt selon la Cour des comptes 

C’est ainsi que dans les hôpitaux, et en particulier dans les services de réanimation, dans l’organisation de la continuité scolaire durant le confinement ou en matière de prise en charge des sans-abri, «les dispositifs d’anticipation de crise n’étaient pas au rendez-vous», remarque la Cour des comptes.

En revanche, l’aide au retour des Français qui se sont retrouvés coincés à l’étranger à l’annonce du premier confinement a montré la capacité d’adaptation de l’administration. C’est d’ailleurs grâce à la «forte capacité de mobilisation» des agents que les opérateurs publics ont finalement pu globalement s’adapter à la crise après un temps de «désorganisation», que ce soit dans les hôpitaux, au sein de l’administration fiscale pour délivrer les aides, ou au sein de l’Unédic, souligne l’institution.

La Cour des comptes salue également la capacité d’«innovation» et de «réaction» des acteurs publics pour faire face à une situation inédite. Mais elle relève aussi le «coût financier élevé» de la crise, et pointe du doigt l’efficacité «discutable» de certaines dépenses du fait de l’impréparation des acteurs publics, ou le besoin de «mieux contrôler» certaines d’entre elles, par exemple le dispositif du fonds de solidarité pour les entreprises. 

La crise a aussi mis en lumière les lacunes du financement de certains services publics, comme la tarification des soins critiques (soins intensifs, réanimation…) ou le financement des services ferroviaires. 

Outre ses travaux liés à l’épidémie, la Cour des comptes s’est aussi intéressée via ce rapport à plusieurs domaines de l’action publique comme les Chambres de commerce et d’industrie et les Chambres des métiers de l’artisanat, l’inclusion bancaire, l’innovation en matière de défense ou encore la gestion de l’eau et de l’éclairage public par les collectivités.

Absente en revanche, la traditionnelle évaluation de l’état des finances publiques attendra le mois prochain, Matignon ayant commandé à la Cour un travail spécifique sur le sujet au moment où la dette publique a explosé avec l’augmentation des dépenses pour faire face à la crise sanitaire.

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Voici le coût mensuel du reconfinement de 16 départements

Les mesures de soutien aux secteurs économiques touchés par le reconfinement de 16 départements, qui entrera en vigueur à partir de vendredi à minuit pour freiner la propagation du Covid-19, coûteront à l’État français 1,2 milliard d’euros supplémentaires par mois, a indiqué le ministre de l’Économie.

«L’impact des nouvelles restrictions sanitaires sur l’économie française est de 0,2 point de PIB annuel. Les mesures de soutien coûteront 1,2 milliard d’euros en plus par mois, soit 7,2 milliards d’euros en tout par mois», a déclaré Bruno Le Maire, cité par les médias.

Distribution des fonds

Selon le ministre, sur ce 1,2 milliard, 600 millions concerneront le Fonds de solidarité, 400 millions seront déboursés pour financer l’activité partielle et 200 millions pour les exonérations de charge.

La crise sanitaire a coûté à l’État plus de 160 milliards d’euros en 2020, a indiqué mercredi le ministre des Comptes publics Olivier Dussopt.

«Entre les pertes de recettes et les dépenses que nous avons engagées pour faire face à la crise, que ce soit pour l’État en terme de dépenses, pour la sécurité sociale en terme de pertes de recettes liées à la baisse de l’activité, le coût […] peut être estimé autour de 160 à 170 milliards d’euros», a déclaré M.Dussopt devant le Sénat.

Plan de relance

Le gouvernement français a mis en place un plan de relance doté de 100 milliards d’euros dans le sillage de la crise économique consécutive à la pandémie du Covid-19. Le plan s’articule autour de trois grands axes, à savoir la transition écologique à hauteur de 30 milliards d’euros, «le réarmement industriel» (30 milliards) et le renforcement de la cohésion sociale et territoriale (35 milliards).

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Des dizaines de milliers d’emplois menacés à Roissy-Charles-de-Gaulle: «c’est une catastrophe sociale qui se prépare»

Un millier de salariés ont battu le pavé de l’aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle pour manifester ce mardi. En cause, les 20.000 à 30.000 emplois qui seraient menacés du fait de la baisse d’activité du transport aérien. Pour les syndicats, la crise sanitaire n’est qu’un «prétexte» afin de «dégraisser les effectifs». Sputnik était sur place.

«C’est un tsunami de plans sociaux, c’est proprement scandaleux quand on sait que le gouvernement a donné des milliards d’euros à Air France et qu’ADP [Aéroport de Paris, ndlr] a contracté des prêts.»

Fabrice, un militant Force ouvrière, est en colère. Comme lui, un millier de personnes ont décidé de participer à la marche pour l’emploi, à l’appel de l’intersyndicale aéroportuaire ce mardi 18 mars. Et pour cause, de nombreux postes sont menacés à l’aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle.

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Sauve-qui-peut! Les pays de l’UE tombent-ils dans le «chacun pour soi» face aux vaccins?

Plusieurs États européens se passent de Bruxelles pour tenter d’obtenir leurs lots de vaccins contre le Covid. S’il n’y a rien d’inconventionnel à cela, la politique commune d’achat qui avait été décidée en prend un sérieux coup. De quoi mettre à mal une cohésion déjà bien éprouvée par la pandémie? Sputnik fait le point.

Le Covid-19 fait-il une nouvelle fois trembler les fondations de l’Union européenne? Plusieurs pays des 27 la jouent solitaire pour obtenir leurs lots de vaccins, les multiples délais supplémentaires de livraison annoncés par les laboratoires ayant eu raison de la patience de nombreuses nations du Vieux Continent.

Alors que les États de l’UE s’étaient mis d’accord pour passer des commandes groupées au prorata des populations, et donc gérer l’approvisionnement à Bruxelles, cette stratégie a du plomb dans l’aile. Début février, la Hongrie a rompu les rangs en étant le premier pays de l’UE à utiliser le vaccin du laboratoire chinois Sinopharm, «sans avoir attendu l’approbation de l’Agence européenne des médicaments», souligne Le Monde.

«Trop de lenteur»

Pas moins de cinq millions de doses ont été commandées par Budapest. De quoi traiter un quart des 9,8 millions d’habitants. Avant le vaccin chinois, la Hongrie avait déjà autorisé le sérum russe Spoutnik V en janvier, là encore sans attendre le blanc-seing européen. Le Premier ministre hongrois Viktor Orban avait critiqué à plusieurs reprises Bruxelles pour sa lenteur dans les processus de validation et d’achat des vaccins. Il est même allé plus loin dans le pied-de-nez à l’UE en se faisant injecter celui de Sinopharm devant les caméras.

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189 000 euros de dépenses électorales non-déclarées : la Cour des comptes espagnole épingle Valls

ancien Premier ministre, parti tenter une nouvelle aventure politique en Catalogne, se retrouve dans le viseur de la Cour des comptes. Celle-ci met le doigt sur des «irrégularités» dans le financement de sa campagne pour les municipales de 2019.

Pour Manuel Valls, l’aventure politique à Barcelone n’aura décidément pas été caractérisée par son succès. Balayé par les urnes lors des élections municipales de 2019, l’ancien Premier ministre français se retrouve désormais dans le viseur de la Cour des comptes espagnole. Et pour cause, selon le journal El Pais, un rapport de cette institution fait état d’«irrégularités» dans le financement de sa campagne électorale. 

«Ce qui est indiqué compromet directement Manuel Valls»

Plus précisément, il serait question selon le quotidien espagnol de «189 500 euros de dépenses électorales non-déclarées par [la coalition entre] Barcelona pel Canvi et Ciudadanos, dirigée par l’ancien Premier ministre français et aujourd’hui conseiller municipal de Barcelone».

Ces irrégularités portent sur la campagne pour les municipales de 2019, lors desquelles la coalition des deux formations qu’il représentait aurait par ailleurs dépassé de 71% la limite de dépenses fixée par la loi, toujours d’après la Cour des comptes. Un investissement qui ne se sera pourtant pas avéré payant, puisque le natif de Barcelone n’était finalement arrivé qu’en quatrième position lors du scrutin.

La quasi-totalité des irrégularités porte plus précisément sur des dépenses pour un montant d’environ 188 000 euros de l’association Barcelona capital europea, une plateforme avec laquelle l’ancien Premier ministre socialiste avait lancé sa candidature catalane.

Cette somme est assimilée par la Cour à des dépenses de campagne irrégulières au profit de la coalition entre Ciudadanos («Citoyens», parti centriste) et Barcelona pel Canvi («Barcelone pour le changement», plateforme fondée par Manuel Valls). L’avocat de la coalition, Carlos Rivadulla, cité par El Pais, assure de son côté que ces dépenses ne peuvent être attribuées à la campagne électorale.

Pour sa part, Ciudadanos se désolidarise et pointe du doigt l’homme politique franco-espagnol. «[Le parti] en tant que tel n’a rien à voir avec les irrégularités mentionnées par le tribunal, puisque ce qui est indiqué compromet directement Manuel Valls», lance ainsi le service de presse de la formation espagnole. 

La Cour des comptes doit désormais décider d’éventuelles sanctions dans cette affaire. Manuel Valls, de son côté, a récemment annoncé qu’il ne briguerait pas la mairie de Barcelone en 2023, invitant son parti à se réinventer sans lui.

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Réanimation – Le gouvernement utilise des figurants pour reconfiner le pays

BFM TV bras armé de la désinformation du gouvernement a été financée à ses débuts par le fond de pension de la CIA Carlyle (appartenant à la famille Bush et Ben Laden) sous le mandat de Sarkozy (dont le frère gérait les intérêts et qui avait comme beau père Frank Wisner numéro 2 de la CIA en Europe).

Le groupe BFM (Altice Europe NV) et le laboratoire GILEAD ont en commun de nombreux actionnaires qui ont financé les interventions des médecins qui s’expriment sur l’épidémie de Coronavirus et qui se sont fait attraper dans un restaurant clandestin situé « à deux pas du siège » de BFMTV. La vingtaine de convives, tous verbalisés, seraient selon l’hebdomadaire des journalistes et des « consultants santé » de la chaîne d’info : « des cadors de l’Assistance publique-Hôpitaux de Paris et un gradé de la brigade des sapeurs-pompiers de Paris ».

Cette impunité s’apparente à celle des initiés qui contribuent à propager le mensonge de cette épidémie qui mène le pays tout droit à la faillite.

La crise sanitaire d’après le ministre des Comptes publics Olivier Dussopt, a coûté à l’État plus de 160 milliards d’euros l’an dernier.

Mais comme les Français ne sont plus dupes, et comme le vaccin produit 24% d’effets secondaires graves, il faut maintenir l’état de crise économique avec un nouveau confinement et gonfler les admissions en réanimations.

Pour cela BFM entre en piste comme au cinéma et utilise des figurants pour maintenir le niveau de stress et imposer un nouveau confinement qui nous sera fatal.

*

BFMTV : « Je ne suis pas si costaud que ça ». À 47 ans, Daniel est hospitalisé en service de réanimation pour Covid-19 (vidéo)

Pour recentrer cette affaire , nous ne disons pas que cet homme n’a pas eu le Covid, mais qu’il ne présente pas les signes d’admissibilité en réanimation.

  • « La réanimation est un service spécialisé où sont hospitalisés les patients les plus graves. Ils y bénéficient d’une surveillance constante des fonctions vitales comme la ventilation, l’oxygénation, la pression artérielle, les fonctions cardiaque et rénale. Si besoin, une assistance de ces fonctions vitales peut être mise en place afin de permettre si possible la survie du patient ».

Cet homme ne présente pas de signes graves, et de plus ils est en train de donner une interview dans un service où les précautions sanitaires sont strictes.

En hiver et hors contexte de crise sanitaire, les services de réanimation sont généralement occupés à hauteur de 80%.

Dans son discours il détaille tous les mots que nous entendons de la bouche des médecins qui interviennent sur BFM avec le nombre limite de personnes en réunion privée.

« On était 6 on a voulu faire un petit repas entre potes ».

  • « Ce n’est pas une grippette »
  • « J’étais contre l’application »tous anti-Covid«  »
  • « J’étais contre le vaccin »
  • « J’étais contre presque tout »
  • « Qui va avoir un variant, pas un variant ? »

Au niveau national les admissions en réanimation augmentent plus vite que les hospitalisations et que le nombre de cas.

La question que l’on doit se poser est : si les malades qui sont en réanimation et qui n’ont rien à y faire sont-ils placés là pour gonfler les chiffres ?

La réponse est OUI.

Que reste-t-il à notre gouvernement pour nous faire accepter le reconfinement pendant qu’Emmanuel Macron transfère des malades pour ne pas confiner l’Île de France ?

Un bobard supplémentaire inventé par le cabinet de conseil McKinsey.

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La France donne son feu vert pour le vaccin AstraZeneca pour les plus de 55 ans seulement

Après le feu vert donné au vaccin AstraZeneca par l’Agence européenne des médicaments, c’est au tour des autorités françaises d’autoriser la reprise de son utilisation. Il ne sera toutefois recommandé que pour les plus de 55 ans seulement.

La Haute autorité de santé (HAS) française a donné son feu vert à la reprise «sans délai» de la vaccination avec AstraZeneca, mais recommande de le réserver aux personnes de 55 ans et plus, dans un avis publié ce 19 mars. Un changement radical puisqu’il n’était autorisé par la HAS en février que pour les moins de 65 ans.

Cette restriction a été décidée car les graves mais rares troubles de la coagulation qui avaient motivé la suspension de ce vaccin dans plusieurs pays européens ont uniquement été observés chez des moins de 55 ans, a précisé l’autorité de santé française. Il y a eu trois cas en France, a-t-elle ajouté.

Ce vaccin était jusqu’ici recommandé pour les personnes âgées de 50 ans et plus. L’Agence européenne des médicaments (EMA) a jugé le 18 mars le vaccin du laboratoire anglo-suédois «sûr et efficace», mais «estime que la possibilité de lien entre le vaccin et des cas de coagulation intravasculaire disséminée (trouble de la coagulation) et de thrombose veineuse cérébrale (formation de caillots dans des veines du cerveau, NDLR) ne peut être écarté à ce jour», a souligné la HAS.

Des pathologies «rares» mais «graves»

Ces pathologies sont «très rares», mais «graves», et n’ont «rien à voir» avec les thromboses habituelles telles que la phlébite, a expliqué le Pr Dominique Le Guludec, présidente de l’autorité sanitaire, lors d’une conférence de presse.

A la date du 16 mars, 25 cas ont été recensés en Europe, entraînant 9 décès chez des moins de 55 ans «dont une majorité de femmes». En France, un cas de coagulation intravasculaire disséminée a été observé chez une femme de 26 ans, et deux cas de «thrombopénies associées» – déficit de plaquettes sanguines – chez un homme de 51 ans et une femme de 24 ans. Le tout sur 1,4 million de doses administrées, selon la HAS.

Dans l’attente de «données complémentaires», les moins de 55 ans devront se faire vacciner avec d’autres produits, en l’occurrence à ARN messager, recommande-t-elle.

Le Premier ministre Jean Castex a annoncé le 18 mars que la France reprendrait les vaccinations contre le Covid-19 avec le AstraZeneca après les conclusions du régulateur européen. Plusieurs pays européens, dont la France le 15 mars, avaient suspendu son utilisation en raison des craintes suscitées notamment par des cas de formation de caillots sanguins.

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des passagers algériens bloqués depuis trois semaines à l’aéroport de Roissy CDG

Alors que l’Algérie a officiellement suspendu ses liaisons aériennes et maritimes avec la France, quelque 26 Algériens sont bloqués à l’aéroport de Roissy Charles-de-Gaulle en attendant de s’envoler à destination d’Alger.

Bloqués en zone internationale depuis le 26 février, 26 citoyens algériens en provenance de Londres vivent dans un terminal de l’aéroport de Roissy Charles de Gaulle en attendant de pouvoir prendre un vol pour Alger. Ainsi que le rapporte l’AFP, les autorités algériennes refusent en effet de les laisser embarquer sur un vol d’Air Algérie car depuis le 17 mars 2020, l’Algérie a officiellement suspendu ses liaisons aériennes et maritimes avec la France, décision étendue au reste du monde quelques jours plus tard.

A la fermeture des frontières, les autorités avaient bien organisé des vols de rapatriement pour leurs ressortissants, mais sous conditions. Et la récente émergence du variant anglais a encore compliqué la situation : les vols ont même été suspendus pour toute la durée de ce mois de mars.

Munis d’un passeport, test PCR et attestation de rapatriement, Air Algérie leur refuse l’embarquement

«Depuis le 26 février, 26 Algériens en provenance de Londres sont bloqués à l’aéroport CDG. Munis d’un passeport, test PCR et attestation de rapatriement, Air Algérie leur refuse l’embarquement», a témoigné sur place notre journaliste Mona Hammoud-Elhor, images à l’appui.

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Un an après le premier confinement, la France souffre toujours sur le plan économique

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Quand les bars et les restaurants ne peuvent pas ouvrir alors qu’on est 400 à manger les uns sur les autres dans un avion